> [Love_kisa], new - 05/11 -Cher journal (HP) chap 2
love_kisa
posté Jan 13 2006, 10:37 PM
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love_kisa
posté Jan 13 2006, 10:42 PM
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Amour interdit…

Le vent s’engouffrait dans ses cheveux, il venait de l’immense vide, à quelques pas d’elle. Elle en avait envie, se jeter du toit de cet immeuble, ne faire qu’un avec l’air et le ciel, la fraction de seconde qui la séparerait de la vie. Disparaître de ce monde dont elle se serait volontiers passée, jamais elle n’aurait voulue naître pour vivre ainsi, depuis bien longtemps elle cherchait la fin, sans jamais oser l’approcher. La seul personne qui rattachait son corps sur terre était son frère. Il symbolisait tous ce qu’elle aimait, lui seul faisait apparaître un sourire sur son visage continuellement fermé. A chaque fois qu’elle parcourait la distance séparant le ciel de sa maison, le ciel lui semblait sombre et triste, mais la vue du garçon réchauffait son cœur. Du haut de ses 17 ans, il n’y avait qu’une personne qui faisait battre son cœur, rien qu’une personne….qu’elle aimait. Son frère. Pourtant même lui venait de l’abandonner.
A la mort de leur parents, quand ils étaient encore petits, son frère lui avait juré qu’il vivrait pour elle et avec elle, eux deux, seul. La jeune fille l’avait cru ce jour là, rêvant un jour de pouvoir lui parler de ses sentiments cachés. Mais cet homme, qu’elle chérissait plus que tout, cet homme l’avait trahie…
« _ Sarah, je te présente Camille !
Il avait un sourire rayonnant, jamais pareil visage n’était apparue avec sa sœur, pour sa sœur. Il lui annonça qu’elle vivrait avec eux, qu’ils s’aimaient. Ces mots les fis rougir et ils se prirent par la main dans un interminable sourire,sans se quitter des yeux, chacun des deux vivait son paradis, plongé dans le regard de l’autre. Cet instant lui donna la nausée, elle monta dans sa chambre , les nerfs à vifs, une douce folie s’empara de son esprit, embrumant ses pensées, se nourrissant de sa tristesse. Elle n’avait qu’une envie, mais c’est si dur d’envisager cela, pourtant une partie de son esprit le lui ordonnait.
La nuit tomba, sombre et silencieuse, pas un souffle de vent ne parcourait le feuillage des arbres, les lampadaires illuminaient la ville de leur pâles rayons qui attirait de nombreux insectes de nuit. Elle se dirigeait lentement vers la chambre d’invités, la femme dormait, la respiration tranquille. Elle leva le couteau tranchant et savoura la sensation de l’objet s’enfonçant sous la peau en direction du cœur, les yeux exorbités de sa victime. Le sang qui coulait lentement le long du corps.
Le frère entendit un bruit, il tâtonna pour allumer sa lampe de chevet, il sursauta en voyant la fillette et l’arme suspendue au dessus de lui :
_ petite…sœur…
Elle lui dit d’une voix sombre :
_ avant de partir, embrasse moi…

Et ce fut tout, elle n’avait pas eu son baiser et avait tuée la personne qui lui était chère. Tendant les bras au dessus d’elle, fermant les yeux, elle laissa son corps tomber du haut de l’immeuble. Des mains semblèrent la rattraper, de longues ailes blanches apparurent dans son dos et la jeune fille s’envola pendant que son enveloppe charnelle allait s’écraser sur la route en bas.
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love_kisa
posté Jan 13 2006, 10:44 PM
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Quand la lune brille


La lune est clair, sa lumière baigne la ville dans un sentiments de mélancolie. Comme tous les soirs à 22h00, Elua rentrée chez elle, ses cours supplémentaires la faisait finir à des heures tardives mais elle avait refusée d’arrêter. Comme d’habitude elle s’arrêta devant l’allée qui menait à la maison 19…c’était ici qu’habitait Katsué, son amie d’enfance, et son petit ami. Elle les observaient à travers leur baie vitrée, ombres du soir qui se mouvaient. De là, elle voyait leur disputes, leur réconciliations,leur baisers. C’était comme si un feuilleton,n se diffusait devant elle, c’était un couple qu’elle respectait, Tomoe avait des cheveux noirs, un peu long, des yeux bleus dans lesquelles tous le monde pouvait y plonger. Katsué, des cheveux bruns aux épaules et des yeux verts, oui ils s’aimaient plus que tout. C’était du respect que Elua témoignait à ce couple lorsqu’elle rentrait le soir, puis, peu à peu, le respect s’est changé en obsession. Katsué était sa meilleure amie alors pourquoi ? pourquoi son cœur se mettait il à accélérer lorsque Tomoe se trouvait seul devant la baie vitrée ? Ce sentiment grandissait de plus en plus, prenait de l’ampleur et de l’espace. Alors quand Katsué la regardait sans rien savoir, lui souriait si chaleureusement…que pouvait elle faire ? Elle tournait la tête quand son amie rentrait avec le garçon et elle espérait, dans cette allée , tous les soirs, une dispute finale. Mais voulait elle réellement la fin de ce couple ?
« _ Elua…dit moi que pense tu de Tomoe ?
La jeune fille stoppa son activité, la question l’a prise de cour. C’était le matin, la veille, une dispute avait éclaté chez Katsué mais ils s’étaient rapidement embrassés, fougueusement et Elua était rentrée chez elle. Pourquoi cette question, personne ne l’avait vue pourtant. Katsué n’était pas dans son état normal, Elua s’assit près d’elle :
_ et bien, il est gentil…il t’aime…
Ses derniers mots eurent du mal à sortir, et Elua s’en voulait terriblement. Alors elle ne pouvait même pas rassurer son amie ? car elle aimait son petit copain :
_ c’est vrai il est…gentil, et il m’aime, dit Katsué
Elle battit des paupière et sourit à son amie :
_ pardon c’était idiot je dit n’importe quoi !
Elle la remercia et sortit de classe précipitamment, Elua se demandait…si c’était idiot, pourquoi son amie avait elle des larmes dans ses yeux ? Tant de question restaient sans réponse, elle sortie à sa suite…le lendemain, Katsué était morte.
La cérémonie se passa sous une pluie de cerisiers en fleurs, les pétales blanches tombaient doucement sur la tombe en marbres. Le nom de Katsué était taillée à tout jamais, sa mère pleurait, s’accrochant au cercueil vernie comme à une bouée de sauvetage. Ses larmes n’exprimait que trop bien les sentiments des personnes présentes, son mari la retenait fermement, il se voulait dur et réconfortant mais son visage était crispé, la tristesse s’accumulait en son âme. Tomoe pleurait, ses yeux ne quittait pas le coffret de bois qui s’enfonçait sous terre, ses oreilles entendait les crie de sa belle mère, il était encore ici…et ailleurs, Elua serrait fortement le mouchoir en papier trempée dans sa main, ses yeux toujours écarquillés et remplie de larmes, toute leur classe était réunis ici, beaucoup pleuraient mais le mal été fait…d’après les autorités, la jeune Katsué KETO s’était tuée, en s’enfonçant un couteau dans le ventre.
Elua n’allait plus en cours depuis une semaine, le chagrin restait. Ses parents lui proposaient des sortie hors de leur ville, elle refusait. Ses amis venaient la voir pour la faire sourire, elle restait de marbre. Un jour elle marchait dans la rue, ses parents avaient réussis à l’envoyer faire des courses pour qu’elle se change les idées. Mais Elua ne faisait rien pour changer, ses sacs à la mains, elle traînait des pieds, le regard vide et le visage pâle. Elle recevait des encouragement affectueux de tous côté mais rien n’y faisait, la vie n’avait plus de goût, elle n’aurait jamais imaginait que c’était si dur de perdre une personne qui nous est cher. Katsué…elle l’a considérer comme sa meilleure amie, amie d’enfance avec qui Elua avait tout partagé, dans les coups dur elle se soutenaient mutuellement, le sourire de cette fille lui laissait un amère souvenir, des souvenirs heureux qu’elle ne voulait plus voir. Elle ne voyait plus rien d’ailleurs…
Elle sentit un choc devant elle et se retrouva à terre sans se rendre compte de ce qui c’était passé, ses courses étaient vidées du sac et éparpillées sur le sol, elle les ramassa machinalement quand elle sentit le contact chaude d’une main sur la sienne au moment où elle ramassait un aliment. Lentement elle leva le regard, ses yeux s’écarquillèrent, Tomoe se trouvait devant elle et la regarder surpris.
Les retrouvailles avec le garçon étaient plus qu’inattendue, doucement, Elua se mettait à sortir plus. Elle retrouvait Tomoe et ensembles ils discutaient de Katsué, ce qu’elle avait été, ce qu’elle avait fait…ses souvenirs devinrent moins difficiles à exprimer, en quelques temps Elua avait retrouvé de la couleur, et l’on pouvait apercevoir de vagues sourire se dessiner sur son visage, elle avait repris les cours au soulagement de sa famille :
_Elua, dit Tomoe
_oui ?
Ils étaient au parc, les fleurs s’étaient épanouies aux rayons du soleil, les oiseaux chantaient des symphonies dont eux seuls avaient le secret, les papillons voletaient allègrement autour des quelques visiteurs. Tomoe avait invité la jeune fille et celle ci était arrivée, la vue du garçon l’avait fait sourire, de grands signes de mains l’avaient accueillis. Ils étaient tous les deux sur un banc :
_ je voulais te dire, depuis quelques temps je…
Elua le regarda mais des lèvres se posèrent sur les siennes, le bonheur laissa place à la surprise, elle ferma les yeux et entoura de ses bras le cou du garçon, qui fit de même avec elle. Cet instant, elle en avait tant rêver, pour la première fois depuis la mort de son amie, Elua ne pensa pas à elle, elle vivait son plus grand souhait.
Tous ce passa si vite, comment en étaient ils arrivé là ? quelques semaines après elle se trouvait déjà chez lui, les rideaux étaient tirés ne laissant que la faible lueur du soleil filtrer un pâle éclairage, la pièce se trouvait presque dans la pénombre, mais Elua ne voyait que lui, Tomoe, torse nu en face d’elle. Elle se sentie attirée par lui, ses bras entourèrent rapidement son cou, le garçon détacha délicatement chaque boutons de la chemise de son amie, elle retira le vêtement et se coucha sur celui qu’elle aimait tant, juste au dessus de lui, leur voluptueux mouvement dans un élan de caresse, de long baisers dans la tendresse et la chaleur du lieu. Il l’embrassa et commencer à parcourir de ses mains, le dos de la jeune fille. Elle se laissa faire, écouta les battements de cœur de celui qu’elle aimait, ferma les yeux quand la main passa délicatement le long de ses cheveux, pourtant une image se superposa à ses yeux fermés. Un lointain souvenir, un rire résonna à ces oreilles, Katsué, ce rire c’était le sien, ce sourire qu’elle voyait, était celui qui se trouvait sur son visage. Tout lui revint en mémoire, elle l’avait refoulé, vivant son bonheur avec Tomoe mais ce qu’elle avait de plus précieux c’était bien ces instant passés avec elle :
_ Elua tu pleure ?
Oui elle pleurait, elle se retira du corps du garçon, prit sa chemise, la reboutonna les mains tremblantes, le garçon la regardait avec un regard inexpressif. Elle se leva, de chaudes larmes coulaient à présent le long de ses joue :
_ pardon, mais je ne suis pas encore morte. Moi je peux vivre, je peux faire perdurer son souvenir, je…JE NE L’EMPORTERAIS PAS AVEC TOI !
Elle avait crié ses mots avant de courir en dehors de cet endroit, laissant Tomoe, un couteau dans la main. Le garçon observa l’arme avec un regard tremblant :
_ Katsué, murmura t il

Le journal du matin annonçait une bien triste nouvelle, Elua l’avait lue, elle était allée s’excuser sur la tombe de Katsué, y avait versée ses dernière larmes en son souvenirs :
« ce matin le jeune Tomoe Hirashima, s’est suicidé, un mois juste après sa petite amie mademoiselle Katsué… »

Il ne faut jamais oublier les êtres disparus, il ne faut pas se laissé allé à la tristesse et au désespoir de leur visages disparus. Il faut vivre pour eux, et continuer son chemin. Quand la lune brille de tout son éclat, c’est votre récompense.
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love_kisa
posté Jan 13 2006, 10:45 PM
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La noirceur de l'eau

Iselia, une ville coupée du monde, un lieu sourd, non atteint par la civilisation qui grossit à l’extérieur. Iselia, ville d’eau et de pureté, ses habitants ne sont ni humains, ni animaux, ni monstres, ils sont justes eux même, mais séparés de l’humidité ambiante de leur ville ils s’évaporent. Les iséliens ne savent pas ce qu’il y a au dehors et ils s’en fiche, personne ne se doute qu’une ville entourée d’eau puisse exister. Un fleuve qui passe à l’intérieur de la ville, sans se couper, qui passe devant les petites fondations de pierres.
Endia ressortie de la plus haute maison, elle revenait de la « hutte des anciens », ceux qui parlent dans les esprits et qui voient avec leur cœurs le futur imposants de chaque Iseliens. Quand leur avenir était trop important, ils le convoquait et lui parlait de ce qu’ils avaient vus :
« Ton destin est noir comme le ciel la nuit
Car un jour tu seras trahie
Le noir envahira nos maisons
Ce jour là nous partirons »
Endia se remémorait tous cela sur le chemin du retour, qui l’a trahirais ? comment et pourquoi ? Elle commença à avoir mal à la tête, traversant un petit pont de pierre elle regarda la petite cascade construite par les enfants du village, un sourire se dessina sur son visage et la jeune fille alla s’accroupir prés de celle ci. L’eau tourbillonnais en bouillonnant et en rebondissant sur de petits cailloux. Elle se pencha légèrement, son regard se voilà, elle tendit la mains ouverte vers le ciel, prête à recevoir n’importe quel élément. L’eau se leva, tel une liane translucide et tourna sur soi même au creux de sa paume, sa main devint aussi translucide que le liquide, déjà elle se sentait partir, le seul moyen d’oublier ses soucis. Elle ferma les yeux mais une voix la tira de sa rêverie :
_ Endia non ! attend c’est pas juste !
La jeune fille rompit le contact aussi sec et se tourna, Kimiko se tenait dans son dos, sa petite sœur l’a regardait en boudant. Ses cheveux beige comme l’écume et ses yeux vert comme les plus pures des algues, elle observait sa sœur en grognant :
_Part pas maintenant ! maman nous attend et Kasuka est là !
_ Kasuka ?! s’étonna Endia, elle est rentrée !

Une seule personne osait s’aventurer à l’extérieur, la sœur de Endia, Kasuka. Elle avait osé l’impensable et fait l’impossible, suivant le cour d’un petit ruisseau où le fleuve de la ville prenait sa source, elle restait plusieurs mois dehors et quand la jeune fille revenait c’était toujours un moment de fête dans la ville comme chez elle. Des cheveux vert pâle et des yeux sombre, Kasuka avait l’intérêt de plusieurs garçons mais la jeune femme refusait tout, elle voulait découvrir le monde et ne se lassait pas de le faire. Kimiko entra en coup de vent dans la maison et hurla :
_ENDIA EST LA ENDIA EST LA !
_ petite sœur ! claironna Kasuka
Sa vois n’avait pas changée, toujours aussi clair, aussi belle. Endia fut rapidement étouffée dans les bras de sa sœur mais ne participait pas à l’enthousiasme générale, d’ordinaire la fillette aurait sautée sur les tables et crié sur tous les toits le retour de Kasuka mais là, son esprit se trouvait encore dans la hutte des anciens, sa sœur le remarqua :
_ maman m’a dit que les anciens t’avait convoqués, je sais que tu n’a pas le droit de me dire pourquoi mais est ce que c’était grave ?
Endia regarda sa sœur dans les yeux, un regard compatissant et emplit d’inquiétude à son sujet. Elle réussie à sourire et s’exclama :
_ parle moi plutôt de ton voyage cette fois d’accord ?
Alors elle raconta, elle raconta le contact d’une eau inconnue sur son corps, parla de la pluie qui lui avait permis de voir le monde, un monde laid avait elle déclarer. Partout de gros bâtiment fait en grosse pierre disgracieuse, mais elle avait vue aussi les humains, comme eux mais aussi différents.
Endia s’endormie le soir avec toute cette histoire en tête, sa sœur avait ajoutée qu’elle resterais plus longtemps, cela l’a rassura. La jeune fille regarda par la fenêtre, une envie irrésistible de sortir lui tenaillait l’esprit et le corps, mais la respiration de sa jeune sœur, Kimiko, à ses côté l’a convainc de rester couchée, et, doucement, elle plongea dans les bras de morphé. Le soleil scintilla à travers la vitre, sa lumière remplis la pièce de chaleur, les deux sœurs se réveillèrent doucement, Endia se décida à partir tôt, elle devait retrouver Tomoe. Quand elle descendit la rue pour se retrouver au point de rendez vous elle ne vit personne, normal, il n’y avait qu’elle et Tomoe pour se lever à l’aube et voir les dernières étoiles du ciels. La jeune fille s’avança vers l’eau qui bougeait un peu trop pour elle, elle observa et se jeta d’un coup pour attraper un pan de tissue dans sa main :
_ Tu devais m’attendre ! cria t elle
Elle tenait dans son poing fermé une chemise blanche dans laquelle flottait un garçon, seule la haute moitié de son corps était dans le vêtement, le reste se confondait avec l’eau qui luisait sous les rayon du soleil, il se détacha et sortit. Il resta translucide un court instant avant d’apparaître entièrement, les cheveux en bataille et le regard pâle, il fixa son amie d’enfance qui boudait :
_ je t’attendais, assura t il, tu viens ?
Tomoe prit Endia par la main et ils disparurent ensemble sous la surface liquider du fleuve, sans se lâcher, transparent et silencieux. Fixant le ciel sans se séparer, deux corps confondus dans le plus pur des élément, ils se sentirent transportés et profitèrent de ce moment rien qu’à eux…
_ Endia !
La jeune fille se retourna, dans son dos se tenait Kasuka, elle haletais, sa sœur avait courue. Cela faisait 5 jours qu’elle était revenue et Endia essayait d’oublier cette prophétie qui devra bientôt se produire. Elle ferma les yeux et la regarda :
_ Je ne sais pas Kasuka, je voulais juste prendre un peu l’air, prés de l’eau…
Elles s’assirent toutes les deux au bord de l’eau, laissant leur pied se confondre dans le courant qui poursuivait sa route, Kasuka se tourna vers sa sœur :
_ dit moi, tu sais que nous pourrions tous partir ?
Endia sursauta, les anciens lui avait bien dit qu’ils « partiraient tous », était ce dans le sens positif du terme ? son cœur battit plus vite, sa ville disparaissait sous son regard mais ses oreilles percevait le récit de sa sœur :
_ moi je sais que si on enlève le mauvais élément on pourrait s’enfuir…tu sais ! le monde extérieur est quand même beau, s’exclama t elle, il y a de l’herbe des villes des habitants, cela s’étend à l’infinie ! Tous ce qu’on à en plus nous c’est de disparaître sous l’eau…
Son ton devint triste :
_ alors que si tu les voyaient, eux il couraient dans l’eau avec leur jambes, ils plongeaient et remontaient toujours entier alors…
Les deux sœurs se regardèrent, Endia savait, elle attendais juste :
_ veux tu bien sauver ton peuple petite sœur ?
Du sang noir comme l’encre des pieuvres s’envola en nuage, brisant la pureté infinie de l’eau, comme par un signal, les habitants sortirent et se regroupèrent autour du corps de Endia, qui plongeait dans l’abysse dans un nuage sombre et Kasuka, les pieds apparaissant sous la surface du lac. Tous se mirent à toucher avec cette sensation nouvelle leur fleuve. Mais les anciens arrivèrent et déclarèrent :
_ nous devons partir, cet endroit est maudit à présent…
Les habitants disparurent, seul une silhouette se tient devant la tache d’encre où repose le corps de son amie, Tomoe attend et attend toujours.
Petite fleur blanche dont les racines puisent leur énergie dans la vitalité d’un cœur ami…
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love_kisa
posté Jan 13 2006, 10:46 PM
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Sommeil


Elle s’amusait, elle riait et courait légèrement dans la neige fraîche, puis le voyage de retour, c’est dommage ils étaient bien ainsi, ensemble. Mais voilà qu’ils devaient rentrés, et puis elle poussa un cris, tous alla si vite. Elle ferma les yeux si fort que des lumières surgirent devant ses paupières et quand elles les rouvrit le paysage avait changé. Où était le blanc immaculé qui jonchait les côtés de la route ? où était la route et le lieu qu’elle venait de quitter ? Tous était sombre et noir, glacé et lugubre, il n’y avait pas de sol, pas de ciel ni de murs. Ce n’était pas une pièce et ce n’était pas un paysage, c’était juste un lieu sombre et froid.
Elle essaya d’avancer mais ses jambes restaient bloquées sur le sol inexistant, elle tourna alors la tête pour discerner autre chose mais rien ne vivait ici, sauf elle. A cette pensée elle frissonna, elle ne pouvait pas être seule dans cet endroit ? Doucement elle se baissa, s’accroupit et fixa le vide. Doucement ses pieds se libérèrent pour permettre à ses bras d’entourer ses jambes, elle fixait toujours le vide, son regard devenant plus sombre à chaque minutes qui semblaient s’écouler. Comme une fontaine scintillante les larmes coulèrent lentement, suivant la douce courbe de ses joues, se retrouvant sur le menton pour tomber, gouttes après gouttes, et se perdre dans l’infini.
Comme en réponse à ses pleurs toujours plus fort une silhouette apparut, floue, légère, fragile mais qui se tenait debout devant elle avec une dure expression sur le visage. Doucement elle leva le regard, elle fixait l’apparition d’un œil absent, c’était une humaine, elle lui rappelait vaguement quelqu’un mais sa tête sonnait creux, était vide de toute existence passé ou futur. La personne qui venait de surgir possédait des cheveux blond et des yeux vert, deux émeraudes lumineuses dans la pénombre du lieu, des rayons de soleil dans un endroit qui ne le connaissait pas, la jeune femme n’avait pas peur, mais elle n’avait pas confiance non plus :
« _ je suis toi, dit simplement l’apparition »
Mais cela lui était égale, elle se rembrunit, resserra son étreinte autour de ses jambes et re-pleura :
« _ pourquoi pleures tu ? il serait inutile que tu quitte cet endroit »
Une infime conscience s’éleva dans son esprit, « quitter » se libérer de ce lieu, elle se redressa et se leva machinalement. Elle ne pensait qu’à partir vers un endroit qu’elle avait quitté, sa main s’approcha pour toucher son alter ego mais la femme s’effaça, le lieu sombre disparut. Elle ferma les yeux si fort que des lumières surgirent devant ses paupières, et quand elle les rouvrit ce fut pour les refermer immédiatement, aveuglé par un blanc éclatant.
Elle battit des paupières, deux personnes se tenait là, mais ces visage ne lui disait rien. Elle distinguait des couleurs, l’émerveillement devant ses fleurs au reflets bleus, vert, jaune ; le parfum délicats des pétales épanouies. Le vent sui soufflait sur son visage, un vent chaud sous un soleil lumineux, jamais elle ne voudrait que la nuit tombe à nouveau, ce paysage l’enchantée :
« _ Ineshima-san, vous êtes à l’hôpital… »
Son regard se tourna vers le vieil homme, dont les cheveux grisonnant disparaissaient déjà, une femme se tenait à ses côtés, elle était jeune, belle, vivante…et elle souriait :
« _ vous avez eu un accident vous êtes dans le coma depuis 3 mois… »
L’homme continuait, il expliqua qu’il était médecin et lui demanda si elle comprenait, mais la femme ne répondait rien. Il lui parla un peu du temps qui était passé mais la femme s’ennuyait :
« _ j’arrête de parler, dit il en souriant, mais vous savez, votre mari est venus tous les jours, pendant plusieurs heures. Il est encore là, voulait vous lui parler ? »
Elle ouvrit grand les yeux, ils n’étaient pas seul, ici. Mais une question lui brûlait les lèvres et elle parla, presque en murmurant des paroles qu’elle re-prononçaient pour la première fois :
« _ s’il vous plait, qui suis je ? »

FIN
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posté Jan 13 2006, 10:48 PM
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le destin qui s'achève

Le manoir soma se trouvait au centre d’un merveilleux jardin, d’ordinaire les oiseaux y venaient souvent, petites tâches colorés dans un ciel changeant. L’herbe, toujours bien coupé, sentait la fraîcheur au moment où le vent poussait leur douce odeur vers les personnes qui y passaient. Ils habitaient tous là maintenant, une vie comme avant mais dans leur manoir, avec leur chef et Tohru, tant de chose s’était passé depuis. Yuki s’avança jusqu’au centre du jardin, ses yeux mauves dégageant une lueur de colère, ses cheveux gris volant légèrement sur ses épaules, il tourna le regard vers sa droite, Kyo et Tohru se tenaient chacun un membre qui saignait abondamment, Hatori devait rester à l’intérieur avec les autres, le rat regarda de nouveau son cousin et son amie, leur épée étaient tombé prés d’eux, ils ne pouvaient pas se battre. Il savait ce qu’il adviendrait de ce combat, le monstre en face de lui empestait la mort et la pourriture. Une sorte de chien de plus de 4 mètre qui grognait, dévoilant ses dents jaunâtres acérer, un filet de bave coula et disparu dans ses poils long et hirsute. Deux petites cornes lui sortait du haut de la tête entre les deux longues oreilles dressés vers le ciel, une queue terminé par une pointe fendant l’air dans son dos, découpant la chaleur de l’été. Le froid engourdit ses membres mais il ne se laissa pas faire, il ne pourrait pas lui faire face longtemps, il sentait déjà que son sang bouillait en lui, Yuki voulait se battre , voulait sentir le sang couler le long de son bras mais il devait attendre, ce n’était pas à lui de faire le premier pas. Le monstre grogna, Yuki fit un signe de tête à ses amis qui, convaincus qu’ils ne pourraient plus rien faire, s’éloignèrent du futur carnage. D’où venait cette bête ? personne ne le savaient mais une chose était sur, il fallait le tuer, ils en avaient vus tellement depuis…ce jour, mais celui la serait le dernier, Yuki releva le menton, le monstre s’avança, c’était commençait.
Déjà le garçon ne sentait plus rien, n’entendait plus rien, juste une voix lointaine…Kyo :
« surtout fait attention ! »
Il ne ferait pas attention, il allait le tuer. Il sentit la sensation d’un contact frais sous son bras droit, il tendit le bras devant lui et dans un éclair apparu la lame d’acier puis l’épée en entier, de ses omoplates sortirent deux ailes blanches encore fatigué par leur dernière fuites. Il était prêt, il s’envola, loin dans le ciel, au dessus du monstre. Laissant le vent glissant sur ses ailes, il montait toujours plus haut et plongea en piquer sur le monstre, brandissant son épée, il fouetta l’air horizontalement mais la bête baissa la tête au dernier moment, déstabilisé il perdit l’équilibre et se stoppa avant de se briser une ailes, mais ce fut pour recevoir la queue de son adversaire en plein ventre. Le choc l’envoya directement contre un arbre, qui perdit plusieurs branche lorsque le garçon s’y fracassa en grand bruit. Tohru et Kyo se relevèrent, tenant leur membre blessés qui laissaient de long sillons rouge sur le sol, ils allèrent chercher leur ami qui, s’appuyant au tronc, se jeta sur eux en évitant de justesse une nouvelle attaque du monstre, ses croc s’abattirent sur l’arbre qui s’écroula sur le sol soulevant un nuage cotonneux de sable. Kyo tira les deux adolescent un peu plus loin :
_ Yuki désolé on a pas réussi à l’arrêter, se pressa t il, c’est le dernier si on le tu c’est fini, l’antidote sera prêt à être fabriquer. Ce sera fini !
_ Tu seras comme avant après ça Yuki, souri Tohru
Derrière eux, la bête se relevait en s’approchait doucement en grognant, dissimulé sous la poussière :
_ A la fin de ce combat tout sera fini, murmura Yuki, promettez moi de rester tel que vous êtes
Il leur sourit et sauta, volant à peine, au dessus du crâne du chien géant. La bête inclina d’un seul coup sa tête et le chassa comme un insecte gênant, Yuki se stabilisa sur le sol et plongea sa lame dans la gueule du monstre au moment où celui ci s’apprêtait à lui arracher un membre.
Le sang gicla, le monstre hurla, ce n’était qu’une petite blessure pour lui mais fort douloureuse, ça ne lui tuerait pas, Yuki le savait. Mais il ne s’attendait pas à voir son bras brûler sous le sang qui s’écoulait du palais de son ennemis, suivant la lame de son arme. Le garçon lâcha prise, il hurlait en même temps que la bête, son bras se désintégrer, rongé par un sang aussi puissant que de l’acide, la douleur lui brouillait le regard et les sens, inconsciemment il avait lâcher son épée, il l’a distingua dans le brouillard de sa vision et n’hésita qu’une seconde avant de se couper le membre. Sa vue se recentra sur le monde alentour mais il se vidait rapidement de son sang, le monstre en face de lui hurlait à la mort, la gorge sans protection. Le garçon saisit l’arme de la main gauche et trancha la gorge de son adversaire.
Il ne voyait rien de plus qu’un brouillard blanc, le poids de son épée s’était envolé, la douleur s’était envolé, il poussa un dernier soupir.

Tohru lui tenait la main gauche, ne réalisant presque pas qu’elle pleurait, entouré de la famille soma. Kyo fixait le corps de son cousin, sur le bras gauche demeurait la marque qu’on lui avait infligé il y avait quelque temps, enlevé avec Tohru dans un laboratoire ou l’on y faisait d’horrible expérience, Kyo les avaient retrouvé mais avait bien remarquer que Yuki y avait subi autre chose que Tohru et lui même. Le chat avait reçu comme son amie une piqûre, qui lui avait donné des ailes et une arme mais ils n’avaient pas reçu le symbole sur le bras.
Yuki était resté le même mais avec une envi insatiable de tuer qu’il essayait de contenir du mieux qu’il pouvait, il tuait lorsqu’il en avait l’occasion lorsqu’il avait perdu sa concentration continuelle. Mais le soir Kyo l’entendait bien frapper le mur de rage.
A cet pensé il se mit à fracasser son poing sur le sol, un grand trou s’y découvrit, il regarda son bras ou le bracelet avait disparu. Cela avait sceller leur amitié, il savait les perles d’os humains dans son bras, la vraie forme du chat à jamais en lui qui ne sortirait plus. Il prit Tohru dans ses bras qui avait détourner le regard du garçon au ailes blanche qui reposait sur le sol dans une flaque de sang.
Un ange avec une âme de diable.

FIN
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posté Jan 13 2006, 10:51 PM
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L'éffrontée


Le tissue du coussin commençait à se tacher d’humidité, des gouttes d’eau salé tombaient sans s’arrêter laissant de petites tâches sombres. Une masse de cheveux bruns, éparpillé sur un cousin d’où s’échappait de petit son de respiration coupé, tremblotait de tristesse. Elle releva son visage devenue rouge, ses yeux verts luisaient de larmes, ses lèvres rouges étaient écrasé sous la pression des dents, la jeune fille pensait à ce qui s’était passé plus tôt, et encore plus tôt, tous ça ne changerait plus et pourtant…pourtant son seul rêve était de tout recommencer, si elle n’avait pas frapper à ce moment là, ou parler ce jour ci, si elle s’était empêcher de marcher dans cette direction en rentrant une fois. Rien ne serait arrivé, sa vie n’aurait pas pris la tournure qu’elle ne voulait pas, en étant une fille, on l’a considérait faible, même en ne l’étant pas, elle n’avait pas de respect que du mépris. L’intérêt d’un garçon se retrouve balayé pour une amie si ces copains le poussent, et ça elle venait juste de le comprendre. La jeune fille se leva péniblement, elle vivait heureuse, des parents attentionnés et rien ne lui manquait mais elle, elle ne s’aimait pas. Elle observa son reflet dans une glace posé au dessus de son bureau, l’image qui s’y reflétait était celle d’une adolescente au cheveux long, avec des yeux vert et dont les marques de ses pleurs étaient encore ancré dans des joues rouge. Sa condition l’a répugnait, si elle avait put choisir…si seulement….
L’effrontée remarqua la paires de ciseaux prés d’elle, elle se regarda dans la glace…une jeune fille en pleur, dehors le noir, chez elle la tristesse…elle regarda son reflet dans la glace, une fille. Elle jeta un coup d’œil aux ciseau avant de les empoignés fébrilement, le vent souffla, faisant gémir les arbres, les larmes ne coulaient plus, avec précautions et douceur elle coupait sa longue chevelure, abandonnait un statut qu’elle haïssait pour redresser le visage, des cheveux court…le premier pas de ce qu’elle appelé intérieurement, sa folie. Son sol, recouvert de fin fils bruns sans vie et sans âmes, la paire de ciseaux à côté, la jeune fille fit un sac rapide où elle y mit juste une photos, un tee-shirt et un pantalon. Elle alla dans sa salle de bain pour y prendre des bandelette, marchant sans pitié sur ses cheveux, se passant la main dans sa tignasse courte, elle retourna dans sa chambre, se colla face au miroir et enleva son haut. Avec grand soin, elle calla un bout de bande sous son bras et commença à entouré sa poitrine, elle avait mal de tant serré mais elle continuait, plus jamais elle ne voulait vivre ça et s’était la dernière solution. L’enfant réussi tant bien que mal à bloquer la bande et se redressa, elle resta ainsi quelques minutes, ses formes légèrement caché par une bande de tissue, le regard effronté de l’innocence, les cheveux court dresser sur sa tête, elle avait peur, peur qu’on la reconnaisse, qu’on la prenne pour une folle où elle ne savait quoi d’autre. Et pourtant, en se mettant de profil, elle réussit à sourire timidement, peut être qu’elle s’y ferait, elle se sentait fière de son travail. Elle mis un tee-shirt ample, un gilet fin pour compacter encore plus sa poitrine, un pull et un vieux jogging. Elle attrapa le petit sac où se trouvait ses maigres affaires et sortit sans un bruit de chez elle, le cœur battant à tout rompre dans un corps qui venait de changer, elle se retourna une dernière fois au bout de sa rue et murmura :
_ Akiko Kuhira n’existe plus…
Levant le visage vers l’horizon, la où elle savait, se trouvait un orphelinat elle repris :
_ Je suis désormais Shinji, tout court, Shinji, sans voix…

_ Que se passe t-il ici ? madame Kohime qui est cet enfant ?
Seito Sechiro, le responsable de l’orphelinat « life » était de mauvaise humeur, réveiller à 4h du matin par un professeur il s’était levé en hâte, maugréant contre ses employés incapable de se débrouiller à leur tour de garde. Il savait Kira Kohime très adulte pour ses 26 ans et autonome mais la femme l’avait quand même appelé. Arrivé dans la pièce ordonné de la femme, un enfant était sur la chaise face au bureau, une casquette sur la tête, un petit sac, les mains crispé dessus comme accroché à un rêve. Il ne disait mot et attendait, le regard baissé que cette personne si autoritaire en face de lui se taise. Kira, exaspérer devant le silence de son auditeur, soupira lorsqu’elle vit le directeur entrer. Elle se précipita sur l’homme :
_ D’après cette feuille il s’appelle Shinji, Seito-san, déclara t elle en mettant devant les yeux de son patron, un bout de papier où quelques lettres s’y trouvait griffonné à la hâte.
_ Kohime-san, demanda l’homme, avait vous réussis à avoir son nom de famille ? d’où vient il ?
_ Il était sur le pas de la porte, grelottant des pied à la tête avec le vent qui lui fouettait le visage, il avait cette casquette déjà vissé sur son crâne et il n’a pas dit un mot depuis qu’il est là…environs 1h, ajouta t elle en regardant sa montre, il ne parle pas et à juste voulu écrire son prénom sur la feuille. Il s’agirait d’un garçon mais il garde le visage baissé et on ne sait jamais, avec tous ces gosses qui traîne dehors d’où il pourrait venir…
Elle reprit son souffle et jeta un regard à l’enfant sur la chaise, le directeur s’approcha et essaya de lui faire dire un mot, sans succès, il observa alors ce petit bonhomme assis et déclara que cela était sûrement bien un garçon, car ces cheveux étaient bien court et qu’il n’avait apparemment pas de poitrine. La femme acquiesça et décida de l’emmener à une chambre vide pour ne pas réveiller les autres pensionnaires. Elle l’y déposa, lui donna une chemise simple en guise de pyjama et lui souhaita bonne nuit.
La fillette s’assis sur le lit, une chance que cette casquette fut oublié sur la terrasse d’un jardin, cela aurait été trop simple de savoir qui elle était sans ça, elle s’étonna à peine du fait que son « déguisement » semblait bien marcher, elle enleva ses vêtements, cacha ses bandes au fond de son sac et s’allongea sur le lit, la petite pièce sentait le renfermé et la poussière mais ce n’était rien, elle était tellement fatiguée…si elle parlait sa voix la trahirait, trop aigu, si elle parlait elle serait découverte…ses yeux papillonnèrent un instant, alors elle ne parlerait pas…sa tête s’enfonça dans la mœlleure de l’oreiller…elle resterait un garçon…sans voix…
Doucement elle tomba dans les bras de Morphée.

_Debout les garçons !
Kira se tenait devant la porte du dortoir n°5, 4 forme essayait vainement de se dépêtrer de leur couvertures respectives. Elle secoua vigoureusement quelques flemmards avant de s’attaquer aux autres chambres. Kaï Futaho sauta dans ses chaussons et tira d’un geste sec la couette de son voisin, qui grogna intérieurement et se leva, les cheveux court en bataille :
_ Shinji-kun ! dernier couché dernier levé !
La jeune fille cligna des yeux et s’extirpa avec ses camarades, de son lit pour aller se doucher.
Les premiers jours n’avait pas était facile, après maintes disputes qui s’était tenue en une matinée, il était décider que la fillette resterait, personne n’ayant remarquer que derrière Shinji, un petit garçon timide qui se lier difficilement aux autres à son arrivé se cachait une jeune adolescente, qui avait abandonné son ancien statut. Les douches étaient individuelle, mais elle entendait quand même des discussions de garçons à ses côtés, et avait vraiment peur que l’un d’eux décide d’entrer dans sa cabine comme cela arrivait à d’autres, mais cela ne se produisait pas, ils savaient que leur camarade ne parlait pas et attendaient patiemment que tous est finis pour aller déjeuner. Elle mit ses bandes, il lui fallait maintenant moins de temps pour les mettre et en achetaient en cachette leur samedi libre, afin de ne pas avoir de problème.
Le réfectoire était la seconde salle la plus grande de la résidence avec le salon, les enfants passaient avec leur plateaux avant de s’asseoir pour manger, Kaï et Nami Ojita étaient les deux meilleures amis de la fillette. Cheveux sombre et yeux noir, Nami était regardait de toute part par les jeune hommes de l’orphelinat mais elle s’amusait à jouer les timide avant de les envoyer balader, seul Kaï, ancien yankee d’un groupe qui s’était dissout, lui avait résister et avait décider de se lier d’amitié avec elle, invitant aussi « Shinji ». Ils se trouvait ce jour là ensemble en train de manger une tartines de pain, Nami leur parlait de son dernier prétendant :
_ Tenso-sempaï ? s’écria Kaï, je le crois pas ! et après ?
Nami mastiqua délicatement une bouché de pain avant de poursuivre :
_ Il m’a sortit que depuis qu’il m’avait vu il ne dormait plus, alors j’ai fait ma mimique préférer
Elle fit un clin d’œil, baissa la tête dans une expression de gène et les regarda avec une impression qu’elle était une enfant triste et fragile :
_ trop fort ! hurla son ami
_ attend, la j’ai dit : « Tenso-sempaï, vous avait un gros bouton sur le nez… »
Son auditeur tomba de sa chaise, Shinji le releva, les histoires de Nami étaient toujours aussi drôle, surtout lorsqu’elle mimait l’action :
_ complètement paniqué le type, reprit elle, il a sortit un miroir de sa poche et s’est retourné pour se regarder, alors je lui est collé un coup de pied dans le derrière et j’ai éclater de rire avant de partir…
_ Nami-chan, comment ça se fait qu’il y en est toujours qui t’aime ? tu es une sorcière…t’en pense quoi Shinji-kun ?
La fillette sortit un petit carnet et écrivit :
« Elle va garder du succé de toute façon, mais tu nous a pas dit que tu t’était trouvé quelqu’un ? »
Le garçon se claqua la main sur son visage et se cacha dans son assiette vide, Nami prit ses deux amis par les bras et les emmena dans le parc pour écouter. Kaï ne s’attarda pas sur le sujet en disant qu’elle avait fui avant qu’il est dit quoi que ce soit, sa réputation d’ancien loubard lui collait encore à la peau, ses cheveux étaient décolorer, Shinji trouvait que cela lui allait bien, mais se garda bien de le dire…il ne fallait pas qu’on la croit gay :
_ Et toi Shinji-kun ? demanda Nami pour chasser le visage triste de Kaï, tu évite toujours les filles a part moi, tu ne veux personne ?
Elle secoua négativement la tête, elle voulait que ces jours heureux passés avec ses deux amis dure éternellement, elle n’avait plus revue ses parents et n’y pensait plus. Elle ne pensait plus au garçon et au situation qui avait d’elle ce qu’elle était maintenant mais cela ne la dérangeait pas, elle était heureuse. Ils se mirent à réviser leur devoir qu’ils devraient faire le lendemain, insouciant du futur.

_ Shinji-kun sait tu pourquoi nous t’avons convoqué ? demanda le directeur
L’enfant secoua le visage pour dire « non », son cœur battait fort, il était très tard quand on l’avait réveillé et demandé de s’habiller rapidement pour aller dans le bureau du directeur, elle avait enfilé son gilet pour comprimer sa poitrine mais n’avait pas put mettre ses bandes et cela l’angoissait :
_ nous avons fait quelques recherche Shinji, lui dit Kira, ou plutôt…Akiko Kuhira non ?
Le silence tomba, le monde s’écroulait aux pieds de la jeune fille, tout devient noir, ils savaient, elle devrait partir, aller s’expliquer…elle devrait quitter cet endroit, Nami, Kaï et tous les autres…ils sauraient son secret, ils lui en voudraient…
_ Pourquoi as tu fais ça ?
La voix du supérieur de Kira résonna, la jeune fille lui répondit juste qu’elle en avait eu marre…et ce fut tout…

Akiko-chan descend s’il te plait, cria Kira, c’est ton premier jour au lycée aujourd’hui !
Une élégante jeune femme descendit les escalier, des cheveux mi-long flottant derrière elle, habillé d’une jupe d’uniforme et d’une chemise blanche avec un petit nœud marin bleu marine autour du cou. Deux ans après son départ en secret, elle avait habité chez Kira, qui devint rapidement comme une mère pour elle. Elle avait tout oublier, une nouvelle vie démarrer, Kira avait démissionner de l’orphelinat pour se consacrer à sa protéger, aux dernière nouvelle, plus personne ne parlait d’elle la bas, et cela était sûrement mieux ainsi.
Dans les couloirs blanc du lycée, elle se frayait un chemin vers l’auditorium à travers la masse compact d’élèves qui affluait dans la même direction qu’elle, elle essaya un chemin qu’elle prit pour un raccourcit mais cogna contre quelqu’un et tomba, elle entendit juste une voix de fille qui se plaignit de la personne contre qui Akiko venait de se cogner :
_ ahlala pas doué toi ! bon aide la, je vais retrouver Heiko-kun ! il m’a promis qu’après la cérémonie d’entrer on irait faire un tour ensemble, à plus !
Elle s’éloigna et Akiko ne vit pas son visage, elle se releva et une main lui tendit son sac :
_ pardon, tient ton sac était tombé, lui dit un garçon
_ Merci, dit elle, je suis Akiko, Akiko Kohime
_ Tu es très jolie
Akiko rougit et lui renvoya le compliment, ils se rendirent ensemble pour la cérémonie en discutant gaiement, les cheveux blond d’un ancien yankee prés de cheveux brun d’une jeune fille qui recommençait tout.

FIN
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posté Jan 13 2006, 10:52 PM
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"le sens caché de la Terre" (en cliar c'est le contre coup d'une emission sur le Laos v_v)

Toi, tu étais mon frère. Tu n'as pas mangé
à ta faim mais c'est la faim qui t'as rongé
conscienceseument, séparé la chair de tes os qui ont du
devenir blancs, lavés par le sang dont la faim s'abreuvait
chaque jour.
Toi, c'est une balle qui t'as achevé, tu as eu crier fort,
longtemps à voir tes camarades tombés, à voir tes parents
pleurer; elle s'est figé au centre de ton front, tu es
tombé, une marque rouge sous une mèche de cheveux.
Vous êtes morts tous les deux, vous alliez avoir 9 ans

"douleur étoilé" (titre by PTT ^^ ) *écrit en cour*

Jamais plus, il ne veut ressentir cette douleur. Le vent frais de la nuit, entrant dans son blouson de cuir noir, le fait grelotter, cachent ses mains qui tremblent de douleur et de tristesse. Un plaie dans son coeur, encore à vif, lui brûle démesurement les membre et lui brouille l'esprit. Il va s'assoir sur un banc de bois sombre, il rejette la tête en arrière afin de regarder une derniére fois les étoiles, là où "elle" se trouve à présent. Il ferme les yeux et s'efface, ses veines sont ouvertes, un filet rouge coule doucement. Jamais plus, il ne ressentira de douleur.

"une fin" *écrit en cour*

Le bruit de la neige fraïche qui s'écrase sous les pas de sa course effrénée, ses cheveux qui s'éparpillent dans son dos sous le souffle de la vitesse, son coeur qui bat dans sa poitrine et son souffle qui forme une buée froide et glacial. Ses yeux pleure de frois et de fatigue, les traces des larmes qui on coulée la veille forment de fins sillons sec et brillants sous le pâle soleil d'hiver.
Elle arrive prés du gouffre et choisie la mort plutôt qu'une vie qu'elle imagine impossible sans l'homme qu'elle a perdu, sans son esprit qui s'est éteint. Elle s'envole, loin du monde et de la Terre, elle s'envole dans une pluie de plumes blanches."
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posté Jan 13 2006, 10:53 PM
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Je compléte cette page avec mon dernier one ^^

Vie...

_Jouons tant que l’on peut jouer et courons tant que nos jambes marchent…

Un enfant envoya une balle en l’air, elle cacha le soleil tel une éclipse avant de retomber mollement dans ses bras jeunes, derrière lui un garçon courait comme si ça vit en dépendait, ils avaient le même âge et courait tout seul. Un instant l’idée fugitive de le suivre s’empara de l’enfant, mais il se ravisa avec cette naïveté qu’on les jeunes en se disant que leur mondes n’avait pas besoin d’être chamboulé. Il relança son ballon…


_ …il faut rencontrer des gens, il ne faut pas les effrayer…

Une fille d’environs 17 ans se cala contre le mur tagué, elle observa en face d’elle, indifférente, son chemisier blanc transparent laissant voir ses proportions élégantes, une jupes courte bleu pâle, des chaussure rouge. Un adolescent de son âge passa en coup de vent devant son regard et elle se réveilla, se redressa et suivit des yeux ce garçon qui ne s’arrêtait pas et elle pense : Alors il n’y à pas que mon apparence qui compte ?
Elle se dit que finalement elle aussi pourvait bien se mettre à courir, jusqu’à oublier les préjuger, ne pas s’arrêter et se sentir libre de tout. Sa jambe droite se leva, mais elle se retourna avec cet air dédaigneux qu’on les asolescent lorsqu’ils réalisent qu’ils ne son pas assez occupé d’eux xmême, elle envoya un textos de son portable et attendit son prochain rendez vous.

_…et le monde continue de tourner, et les saisons se succéde…

Un homme de 40 ans alluma sa cigarette, la première depuis la veille, il s’était pourtant juré d’arrêter de fumer. Derrière lui se dressait l’immeuble ou il travaillait sans relache la journée, et ou, d’ahbitude, il partait pour retrouver sa femme. Si il n’avait pas but cette huit la, si il n’était pas sortie avec cette inconnue, si il ne l’avait pas ramener chez lui, sa femme serait encore la. Il souffla une bouffé de fumé, qui disparut alors qu’un homme aussi agé que lui passa en courant devant ses yeux. Il pensa alors quitter cette routine, retenter une chance, s’excuser, écraser ce qu’il avait dans la main et reprendre une résolution…mais il «était l’heure de travailler, et avec ce sens égoiste qu’on les adultes, il fini en vitesse sa cigarette et retourna dans son bureau, il irait sûrement au bar d’en face ce soir, il trouverait bien une jeune fille qui l’aimerait…l’espace d’un instant.

L’homme s’arrêta de courir, il posa ses bras sur ses genoux et souffla intensement, son cœur battait à tout rompre :
_ voulez vous de l’eau mon brave ?
Il releva la tête, et accepta la bouteille d’eau sans hésitation, et il sourit à ce vieux couple…qui reprient leur boisson avec cet air si sage qu’on les personnages agés, quand ils se rendent compte de leur vis passé…

_…alors je me suis arrêter, et j’ai réaliser que ce n’est qu’à la fin de sa vie que l’on est pardonné.


Agenda

Lundi 26 décembre

Mika à voulu que je l’accompagne faire les magasins, elle s’est faite une nouvelle coupe. Maintenant ses cheveux ondulés sont encore plus souples et un peu plus court (aux épaules alors qu’avant ils lui arrivaient aux omoplates), elle s’est faites une couleur un peu différente de sa couleur d’origine aussi. De sa teinte « miel » originelle, elle arbore à présent un roux pâle. Ca lui va bien ! Je devrais peut être aller chez le coiffeur aussi, mes cheveux arrivent jusqu’à mes côtes quand je les laissent détacher (c’est rare mais quand même !). Sinon c’est le début officiel des vacances ! Mon début officielle car nous sommes en début de semaine et que normalement elles débutent vraiment le vendredi soir…mais bon ! Pas cour pendant deux semaines ! Happy ! Mon appart’ est en grand maison de passe, entre mes feuilles de dessins qui son rangé par piles, mon ordi autour du quel trône mes cahiers de cour et mes feuilles imprimé de leçon (mais bon n’y pensons pas pour le moment), y a aussi mon lit qui est complètement défait. Je suis vraiment bordélique. Ho Ho, il est déjà 16h53 je vais me dépêcher de retrouver Kaede, elle déprime sec.
Il y à un grand soleil dehors, un vent un peu frais et moi, Sachi Makoto, vais fêter le nouvel an avec mes amis dans une semaine !

Mardi 27 décembre

J’ai revu un ami à qui je n’avais pas parlé depuis longtemps ! Kei ! Il à pas changé (à part le fait qu’il à grandi de 10 centimètre…) J’ai du paraître idiote j’ai rien trouvé à lui dire de très intéressant, enfin bon j’y peut rien non ? Sinon Kaede va un peu mieux, en fait elle s’est encore disputée avec son père. Il à eu sa garde et enfin bon y a eu une sérieuse dispute ! Mais elle à bien éclaté de rire que Mika, qui nous avait rejoints, s’est cassé la figure alors qu’elle était debout et bien droite sur ses deux jambes ! (C’est un peu son défaut, elle à l’art de tomber par terre n’importe quand !)
Mon appart’ est toujours en grand désordre et je ne sais pas quoi me mettre. Il est 8h et j’ai déjà tout déballé de ma journée alors que je suis en sous vêtement et enroulé dans une couverture avec un croissant dans la main gauche et mon stylo dans la droite. Mon programme de la journée :
_boucler mon unique devoir, un exercices…
_ faire des courses (lait, œufs et autres…)
_dormir
Saine journée je devrais peut être ranger ma chambre aussi. Bon j’ai trouvé un tee-shirt correct ! (Il dépasse de sous la chaise en face.) Avec un jeans et hop ! C’est parti !
Il pleut un peu on va mettre un manteau chaud mais j’aime la pluie !

Mercredi 28 Décembre

J’ai l’impression de couvrir un sacré rhume, j’avais encore de la fièvre ce matin c’est pourquoi je suis sous mes couverture avec une lampe de poche a 23h30 pour écrire (même si je suis seule dans cet appart’ c’est un de mes petits plaisirs ! ) Et pourtant je suis en plein débordement de bonheur. J’ai du annuler mon rendez vous avec Mika (à cause de ma fièvre, j’ai mis 3 plombes à prendre un aspirine…) et elle à A-BSO-LU-MENT voulue que je prenne sa « super tisane aux herbes médicinales ». J’ai éloigné le portable pour la laisser s’égosiller (de toute façon j’entendais très bien) et pour que je ne m’augmente pas mon mal de crâne. Par contre j’habitait un peu loin pour elle alors elle à déclaré qu’elle me trouvais un « messager » pour sa tisane…A peine avais je ouvert la bouche pour protester qu’elle avait raccroché. Et qui j’ai vue surgir à travers la porte ? KEI ! Il m’a fait bouillir l’eau rapidement, et est resté avec moi une bonne partie de l’après midi. J’était tellement rouge et gênée que ma fièvre à du augmenter sur le coup. Là ça va déjà beaucoup mieux ! La nuit est fraîche et je me sens capable de me lever…les herbes de Mika sont vraiment efficace en fin de compte.

Jeudi 29 Décembre

Je n’ai plus d’eau dans mon corps tant j’ai pleuré, pourtant des demain je re-pleurerais sûrement et encore et encore…J’ai les yeux rouge et gonflé, je suis fatiguée, vidée et je ne veux plus bouger d’ici. En sortant faire des course je suis tombé sur Mika et Kei en train de s’embrasser. J’aurais du tout simplement partir en les laissant tranquille, mais j’ai pleuré après trois mètre ou ma gorges étaient douloureusement nouée. J’ai pleuré tout le long du trajet…je ne sais même pas pourquoi. D’ailleurs pourquoi elle et pas moi ? Pourquoi lui et pas un autre ? Pourquoi les revoir des demain soir pour le nouvel an…
Je vais m’arrêter là je devrais tout arrêter. Mais en fait je me suis engagée et je devrais peut être le faire…Enfin ça y est ce carnet devient un vrai brouillon ! C’est juste l’état actuel de mon cerveau je pense. Demain je les verrais pour le nouvel an, et j’aurais rangée et aéré cet appartement à présent humide et sombre…Le ciel est dégagé et les étoiles brillent avec, au centre, la lune. Ronde et jaune…

Vendredi 31 Décembre

Ou plutôt Samedi 1 Janvier ! Il est 3h24 du mat’ mais par habitude d’écrire au jour le jour j’ai mis Vendredi. Je m’attendais à une soirée catastrophique sur le contrôle de mes humeurs et sentiments, En fait tous c’est si bien passé ! Kaede est arrivé la première, assez tôt, et nous avons finie ensemble de tous bien préparé. Kei et Mika sont entré à leur tour 2h après. Je l’ai trouvé beau malgré moi, il n’avait qu’une tenue simple, chemise blanche et cravate pour l’occasion…Mika avait une petite robe bleue pastel et son collier d’or…ils se tenaient par la main. Je n’ai rien dit, je les ai fait entré. Et tout s’est enchaîné, la soirée, les rires…J’était triste et heureuse. J’ai retenue Kei avant qu’il ne parte à la suite des autres. Et je lui ai dit franchement que je pensais être amoureuse de lui, il m’a sourie, moi, qui devait lui faire pitié. Et il à ajouté : « merci pour cette soirée » avant de partir en me faisant un signe de la main…
J’ai voulue ranger mon appartement, je voulais même le faire en me réveillant demain (tout à l’heure) Mais en fait il va rester dans cet imposant désordre encore un moment, car après toutes les larmes qu’il à absorbé, il y garde aussi la trace d’un chaleureux instant. Bonne année.
new?
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posté Jan 13 2006, 11:15 PM
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Un second espoir

Chap 1
Disclaimer : les perso de fruits basket ne m’appartienne pas malheureusement…mais Azalée est à moi ! et rien qu’a moi ! euh…oui je m’emporte alors…BONNE FIC !


Un avion qui descend, une jeune fille qui regarde par la fenêtre .Ses yeux vert regarde la piste d’atterissage qui, maintenant se rapprochait. Le Japon, cela faisait 3 ans qu’elle n’y avait plus mis les pied, étudier en France n’était pas une si bonne idée mais maintenant elle serait de retour dans son pays natal et rien ne lui faisait plus plaisir. Un crissement de pneus, et la voilà enfin arrivée, la jeune fille remarqua une personne avec un panneaux portant son nom et se dirigea vers celle-ci qui pris ses valises et l’emmena à la pension ou elle avait réserver avec ses parent depuis un mois.
Obtenir la permission de venir vivre au Japon seule avait été difficile , mais à force de persuasions elle y était arrivée.
La pension, une petite maison qui possédait au moins 3 étages, chaques volet se balançait doucement sous la brise comme pour lui souhaiter la bienvenue dans cette nouvelle vie, elle poussa la porte et une dame d’environs 25 ans se posta devant elle .Son regard était bienveillant :
-mademoiselle Azalée je suppose ?
-oui ! je suis enchanter de faire votre connaissance.
-mais tout le plaisir est pour moi voyons tu es au 1er étage, suis moi je vais te montrer ta chambre. C’est un peu petit bien sur mais tu l’aménagera comme bon te semblera.
-merci madame, répondit Azalé
-surtout pas de Madame ! j’ai l’impression d’avoir 50 ans ! appelle moi jeanne.
-bien Mad…euh Jeanne
-très bien
La visite de la chambre fut rapide .En effet la pièce était vide c’était le moins qu’on pouvait dire mais la fillette avait pris toutes les choses auquels elle tenait en France, et surtout des posters qui rendrait bien sur le mur blanc.
Il y avait deux pièces, la salle de bain/toillette et une cuisine. Déjà Azalé se sentit mal à l’aise. La cuisine et elle ce n’était pas du tout son truc mais bon elle se débrouillerais !
Sur son lit se trouvait son uniforme et un plan de la ville avec son lycée et la pension entouré en rouge, une attention que ces parents avait envoyés en express.
Jeanne redescendit et la jeune fille regarda son costume scolaire :
-Mince ! pourquoi est ce qu’elle portent TOUTES une jupe ici ?
En effet la jeune fille ne mettait jamais de robe ou de jupe en France mais ces habitudes allaient sûrement changées ici. Il était trop tard pour un tour des lieux, elle se décida donc à déballer ses valises et à décorer sa chambre. Sitôt dit , pas sitôt fait ! une heure plus tard elle y était encore .
~ mince je meurt de faim ! qu’elle heure il est ?~
Azalé jeta un œil sur le radio réveil qu’elle avait réussi à brancher, le cadran indiqué 19 h30
~Si tard ? bon je finis de ranger mes vêtements, je fait mon lit et j’entasse tout le reste dans un coin…je finirais demain !~
Son petit ménage finis elle se retrouve devant le gros problème de la soirée…la cuisine. Après plusieurs essais elle réussi à rien du tout ,son meilleur résultat fut un œuf au plat plutôt brouillé et cramé sur les bord. Elle l’avait immédiatement jeté mais devant ses dernières « œuvres » elle regrettait.
~ A bas un repas splendide ! je fêterais mon arrivé plus tard ! bon une soupe en poudre dans de l’eau chaude ça devrait suffire !~
Après son « repas » la jeune fille se coucha sans aucune cérémonie, le voyage avait était long. Elle pensa cependant qu’elle se trouvait très très loin de chez elle, qu’elle ne connaissait pas du tout la ville, qu’elle était seule et que c’était ses repas qui l’inquiétait.
Elle esquissa un sourire et s’endormit.

Le lendemain, ailleur :
-RETIRE CA TOUT DE SUITE SALE RAT !
-Pourquoi ? je le pense vraiment.
-LA FERMEEEE
-calme toi Kyo s’il te plait, demanda Tohru avec un visage triste, pourquoi tu ne fait que te battre ?
La réaction fut immédiate, le chat se calma et s’assit en face de son cousin qui lui jeta un regard froid. Shiguré descendit les escaliers, halerté par le bruit régnant dans sa maison. Il vit un Yuki silencieux, un Kyo rouge de honte et Tohru un peu perdue :
-Encore une dispute de couple ? demanda t- il avec un sourire dont il a le secret, allons, allons lequels de vous deux est le fautif einh ?
Yuki fini son petit dejeuner en silence et monta chercher son sac pendant que Shiguré essayer de sous-titré des information au chat qui se contenta de le frapper et d’aller lui aussi chercher son sac. Tohru fit la vaiselle en compagnie du « prince » qui reste galand malgré tout et il partirent tous les trois pour le lycée.
Une journée banale en quelques sorte.

Les arbres en fleur, les petits oiseaux et le soleil une journée magnifique que rien ne pourrait gacher à part :
~ Mais pourquoi est ce que j’arrive en retard ????? ~
Bah oui si il y a UNE chose qui gâche une belle journée c’est bien le fait d’arriver en retard à sa premiére journée de cour !
Azalée grimpa les marches des escaliers une par une et fonça à travers les couloir avant de s’arréter…elle ne savait ou aller. Devant elle, des portes fermées et un couloir, d’abord repérer « l’accueil » de l’école.
Elle couru et fini par voir l’unique petite piéce accessible. Après un rapide renseignement quelqu’un se décida pour l’accompagner jusqu’à sa salle. Il la laissai quand elle fut arriver devant sa porte :
~ on inspire un grand coup et…~
-BONJOUR JE SUIS AZALEE MISSO PARDONNEZ MON RETARD !



A suivre…

Chap 2

Vingt paires d’yeux se tournérent vers la jeune fille qui répéta plus doucement :
-je suis la nouvelle élève.
Le professeur (madame Mayuko) se tourna vers elle :
-Au moins je n’ai pas eu à te présenter.
Goutte de sueur sur le front d’Azalée qui sourit .Madame Mayuko la présenta briévement et lui dit de s’asseoir à côté d’une fille aux cheveux long et brun avec de grand yeux.
La classe n’arrêtais pas de la regarder comme un poisson rare dans un aquarium tout public. Enfin la cloche de la récréation sonna et Azalée…ne sut plus quoi faire :
-He ! si t’est paumée vient avec nous !
Elle se retourna et vit une blonde au cheveux longs qui lui souriait, à ses côté il y avais une jeune fille…toute noir (yeux, cheveux et même le vernis à ongles) Azalée frissonna :
-Tu es Azalée c’est ça ? lui demanda la fille à côté de qui elle était assise
-oui, répondit elle, je m’appelle Azalée MISSO et je viens de France.
-Azalée, dit la fille, moi c’est Tohru HONDA
-moi c’est Arisa UOTANI, répondit la blonde, et elle son nom c’est Saki HANAJIMA.
L’intéréssée regarda longuement Azalée avant de dire « bonjour » d’une voix totalement neutre qui lui dressa les cheveux sur la tête :
-euh…salut. Je dois aller quelque part pour remplir mon formulaire d’inscription alors je vous laisse.
Elle n’avait pas fait deux pas que Arisa cria :
-Tu sais ou c’est au moins ?
Arrêt net de la jeune fille qui réalisa qu’elle ne savait pas ou se trouvait :
-…le bureau des délégués ! c’est la que je dois aller !
-ba t’a de la chance, répondit Arisa avec un sourire, c’est le « Prince » qui va t’emmener.
-il y a un Prince dans ce lycée ??
-Mais non, lui dit Tohru, c’est un surnom que l’école lui à donné. Son vrai nom c’est Yuki SOMA.
-ah…je me disais aussi et ou est –il ?
Saki tourna la tête vers elle et d’une voix dénuée de sentiments :
-ne t’inquiéte pas, je les empécherait de te faire du mal.
-qui ?? si ce lycée est dangereux j’en change !
Elle s’imaginais déjà un groupe de garçon armé de pistolets et de baton…puis elle revint sur terre :
-De qui veut tu me protégée ?
-du fan club de Yuki.
Grosse goutte de sueur :
-un…fan club ? et ça lui plait à Yuki d’avoir ça ?
-Oh non mais on s’y fait !
Azalée se retourna tellement vite qu’elle entendit son cou craquer. Devant elle se trouvait un garçon…étrange. Il avait des yeux violet et des cheveux gris, mais il était très beau ! c’est la premiére chose que l’on pense en voyant Yuki :
-Yuki ! s’exclama Tohru, bonjour peut tu ammener Azalée pour qu’elle finisse de remplir son formulaire ?
-Mais bien sur, lui dit il, mais tu n’as pas vu ce sale chat ? J’ai un message de Kagura pour lui.
Azalée se sentit à part dans cette conversation mais Tohru la remarqua :
-Azalée, tu devrais y aller vite avant que la cloche ne re-sonne. Yuki on va trouver Kyo .
C’est quoi le message ?
-« Je t’aime et je passerais ce soir »
-c’est vrai ?? s’écria Tohru, mais alors qu’est ce que je vais faire a manger ??
On aurait dit qu’elle allait sécher les cours pour s’occuper de la cuisine :
-Tohru ? demanda Azalée, tu habite chez eux ?
-oui ^^. Ma mére est morte dans un accident de voiture il y a un ans et mon pére était mort quand j’était toute petite. La famille SOMA m’a receuillie.
-oh, escuse moi
-Mais tu ne le savais pas voyons !
Le « prince » intervint et fit remarquer qu’ils devaient se dépêcher si il ne voulaient pas arriver en retard.
Azalée suivit donc Yuki mais en passant dans le dernier couloir elle trébucha et tomba sur le garçon. On entendit un « POUF » puis plus rien…


A SUIVRE !!

Chap 3

« POUF »

Azalée se retrouva la tête par terre, heureusement que personnes ne se trouvait dans le couloir pensa t elle
~ on me dévisage déjà comme une extraterrestre alors il manquerait plus que ça~
Elle se leva doucement :
_ escuse moi Yuki je voulais pas je …

Mais le garçon avait disparu, et elle ne vit plus que ses…vêtement !
~einh ???? ou il est ? ~
L’angoisse s’emparat d’elle et la fillette recula doucement quand elle entendit des cris qui venaient de son côté :
_ Mais Kyo qu’est ce qu’il y a ? tu n’est pas content de la voir ?
_ AH PLUTOT CREVER ! DIT AU CLEBS QUE JE ME BARRE POUR LA NUIT !
_ s’il te plait Kyon Kyon tu vas quand même pas lui briser le cœurs non ?
_ LA FERME HARU !
Azalée se précipita à l’angle et rentra en collision avec…un garçon aux cheveux oranges. Enfin , ce fut la seule chose qu’elle vit avant d’entendre un autre « pouf » et de se retrouvait à nouveaux sur le sol :
_ Azalée tu vas bien ?
_ euh…oui merci Tohru mais Yuki ! je suis tomber sur lui et il à…disparut !
_ ben non je suis toujours la.
Azalée se retourna et vit effectivement Yuki, elle allait de nouveaux s’excuser quand elle entendit :
_ QUI EST L’IDIOTE QUI M’EST RENTREE DEDANS ???

Aux pied de la jeune fille se trouvait les vêtements du garçon qu’elle venait de heurté, et dans les vêtements il y avait un chat…qui parlait !
_ c’est pas vrai, soupira le Prince, j’avais pourtant assez bien réussi jusqu’à ce que tu ouvre la bouche.
_ la c’est sur c’est pas malin.
Le garçon qui venait de parler avait des cheveux blanc avec des racines noirs, des yeux noir et une attitude que l’on califirait de « cool » :
_ Je…je veux savoir ce qu’il se passe ici, demanda la fillette.
Ce fut Yuki qui répondit en prenant les choses en mains :
_ Plus tard les explications ! Azalée viens avec moi pour ton formulaire, Haru retourne en classe et préviens Momiji de nous retrouver sur le toit pour le repas tout à l’heure ok ?
_ pas de problème j’y vais.
_ Tohru tu repartira avec Kyo des que le mal sera…disons réparer pour prévenir Mayuko.
_ euh d’accord
Le garçon fit signe à Azalée de le suivre et ils partirent dans le couloir.

Quelques heures plus tard, le petit groupe se retrouva réunis sur le toit du lycée, l’endroit favoris pour discuter et être au calme .Arisa était partie défier des garçon aux cartes et Saki est partie étudier les ondes de personnes jusque la, inconnu pour elle. Donc sur ce toit Azalée vit tout les Soma plus Tohru qu’elle connaissait. Il y avait dabord Yuki, qui la fixait de ses intense yeux violet, Tohru qui lui souriait gentiment, Kyo qui boudait à 1 métre du groupe en leur tournant le dos, le dénommé Hatsuharu ,(Haru pour faire plus court^^) qui paraissait plongé dans une méditation profonde de son panier repas et un blondinet que la jeune fille n’avait encore jamais vu et qui lui faisait un immense sourire. Yuki ne semblait pas prêt à ouvrir la conversation donc Azalée risqua une question qui lui brûlait les lèvres :
_ Euh…pourquoi vous avez ces teintes de cheveux dans votre famille ?
Une gène tomba soudainement sur le petit groupe…ce qu’ils redoutait le plus se produisait :
_C’est notre couleur naturel ! hurla le blondinet d’une voix joyeuse.
_MOMIJI, cria Kyo, tu peut pas te la fermer oui ?
et il lui asséna un magistral coup sur la tête .La réponse ne se fit pas attendre et le garçon pleura de toute ses force en répétant :
_KYO M’A ENCORE FRAPPER
Une goutte de sueur perla derrière Azalée qui retenta une approche :
_Momiji c’est ça ?
_ oui oui ! je suis Momiji Soma ! enchanter de te connaître !
_ moi aussi, repondit-elle prise au depourvu, moi c’est Azalée Misso.
_Je peux te donner un surnom ? demanda Momiji d’une petite voix…s’il te plait
_ Momiji, reprit Haru, je crois pas que ce soit le moment pour ce genre de chose.
_ moi ça ne me dérange pas…mais je repose ma question : pourquoi vos cheveux son teint de cette manière ?
_Et moi je reprend la réponse du Lapin…c’est not’ couleur NATUREL !
_Kyo calme toi, supplia Tohru
_ Et puis ça m’énerve je vire !!!!!!!!
Si tôt dit si tôt fait, le garçon repartit en courant :
_ j’ai dit quelque chose de mal ?
_ mais non Azalée ne t’en fait pas seulement c’est vrai c’est notre couleur naturel.
_ Mais c’est pas une couleur normal ! reprit t-elle
Un silence, Yuki était sur que cette remarque tomberait il le savait, de toute façons qu’ils lui racontent l’histoire ou pas… > exigera que l’on lui efface la mémoire.
Cette phrase lui rappela un ancien souvenir…le souvenir ou personne ne se rappelait de lui…ou il était seul. Ce fut Haru qui répondit en voyant le visage de son cousin se fermer comme autrefois :
_ Azalée, pour des animaux notre couleur est naturel.


Kyo se trouvait l’étage en dessous. Ils était tous stupide de recommencer, si cela s’était bien passé avec Tohru, cela pouvait très bien mal se passer avec elle. Si il avait fait gaffe aussi ! Et Kagura qui venait manger le soir même :
_ AIE SALETER DE MUR QU’EST CE QUE TU FAIT ICI ???
_ ça fait longtemps qu’il est la kyon kyon, il serait tant de t’habituer à sa présence, lui dit Arisa.
_ sale yankee c’est pas ma faute si j’était dans mes pensées !
_ Tu pense ?! non alors ça c’est trop fort !
Elle se retourna et cria aux gens dans son dos :
_ET LES GARS KYON KYON IL PENSE !
_ ferme la !
_viens te battre je t’attend !
Kyo fonça sur la yankee, non pas pour se battre mais pour partir au dernier moment quand il se retrouva sur le sol avec…un seaux d’eau sur le crâne :
_ Madame c’est pas juste j’ai rien fait !
_Peut être mais tu était sur le point de frapper ta camarade donc je t’ai puni
Ecumant de rage il parti aux toilette espérant se retrouver un petit peu seul un moment.
Mais ce ne fut pas la solitude qu’il trouva ce fut…Yuki. Il allait se manifester quand il le vit sortir un calendrier de sa poche :
_je m’en doutait ,murmura t-il
Kyo ne comprenait pas il chercha quel jour ils étaient…le 14 septembre. Pourquoi avait t-il l’air malheureux aujourd’hui ?
La cloche le tira de ses pensées et il courut en classe avant que sont cousin ne se soit retourné.
En chemin il se dit :
~ bizarre comme histoire faudra que je me renseigne..ah mais s’il est descendu c’est qu’il on fini les explication la haut ! Voilà Tohru ~
_Et Tohru, cria t-il, attend j’ai une question !
La jeune fille se retourna et lui sourit :
_oui Kyo ?
_comment ça c’est passer ? elle l’a bien prit ?
La jeune fille eu un sourire d’escuse :
_en fait elle n’est pas encore vraiment au courant.
_comment ça ?
_ et bien Haru lui a dit que pour des animaux votre couleur de cheveux est normal et c’est à ce moment que Yuki s’est levé et qu’il est descendu…le voilà !
cette phrase prit le garçon au dépourvu et se retourna juste avant que Yuki n’entre en classe le regard vide :
_qu’est ce qu’il a ? il est malade ??
ça j’en sais rien, dit Kyo mais Shiguré doit savoir quelque chose…on lui demandera tout à l’heure les cours sont presque fini.
_oui, repondit Tohru avant de rentrer à sa suite
~ quand même..que s’est t-il passé avec ce rat le 14 septembre ?~


A SUIVRE

Chap 4

De retour en classe, Azalée ne pouvait s’empêcher de fixer les Soma. Ce qu’elle avait vue et entendue l’avait troublée, comment des être humain pouvait –il se transformer ? Elle allait le savoir quand Yuki était partit d’un seul coup. Il lui avait sembler que ce garçon était inébranlable, mais quelque chose ne lui à pas plus…elle ? non c’est impossible, c’était lui qui avait pris en charge le fait qu’elle soit mise dans la confidence des Soma.
Tohru fixait Yuki et semblait inquiète :
~ Donc j’ai vue juste. Son comportement de tout à l’heure n’était pas normal~
Kyo Soma aussi fixait le garçon mais pas avec un air inquiet, plutôt un air d’étonnement. Apparemment lui et Yuki ne s’entendait pas bien du tout…mais pourquoi ?
_Azalée ?!
l’intéresser se redressa. Toute la classe avait les yeux tourner vers elle et la fillette se rendit compte qu’elle était sur le point de s’endormir sur sa table :
_ excusez moi Madame. Pouvez-vous répétez s’il vous plait ?
Le professeur la regardait en souriant :
_ Tu es nouvelle certes, mais sache qu’a l’école, chez nous en tout cas, nous ne sommes pas censé dormir en cour. Je ferme les yeux cette fois mais la prochaine je serais sans pitié…allez Kyo Soma ! c’est toi qui répond.
_ah pourquoi toujours moi ?!
_Ne me parle pas comme ça Poil de carotte !
_J’EN AI MARRE DE CE SURNOM !
Le salut arriva à ce moment la, un doux son d’alarme incendie, la cloche signalant la fin des cours. Tous le monde nota ses devoir en quatrième vitesse et sortirent.
Azalée s’approcha de la table de Tohru ou se trouvait déjà Kyo :
_Viens vite Tohru ! ce sale rat à une réunion des déléguer mais il rentrera pas très tard !
_oui Kyo je suis la ! répondit Tohru un sourire au lèvre, a ton avis c’est grave ?
_ah ça je m’en fou !
_alors pourquoi tu ne faisais que le regardait il n’y a pas 10 min ? ajouta Azalée un sourire malicieux aux lèvres
Le chat ne répondit rien, mis son sac sur son épaule et partit en direction de la sortit. Les deux filles le suivirent en discutant. Tohru promit à Azalée qu’elles reprendraient leur
conversation des que possible. Cela rassura la jeune fille qui n’aimais pas vraiment être sur le point d’apprendre un secret sans le savoir pour autant, elles croisèrent Saki et Arisa et leur dirent « à demain » tout en gardant Kyo dans leur champ de vision :
_au fait ou habite tu ? demanda Tohru
_dans une pension pas très loin, d’ailleurs je tourne la, à demain Tohru !
_au revoir Azalée !
Et elle courut rejoindre le chat qui s’était entre temps arrêté pour l’attendre. Le chemin du retour se fit dans le silence, il traversèrent le petit pont de bois et se retrouvèrent chez eux.
Kyo ouvrit la porte quitta ses chaussure dans l’entrée, posa son sac et se dirigea d’un bon pas vers le bureau de son cousin. Tohru l’imita et ils frappèrent à la petite porte coulissante du bureau :
_ oui ! entrez !
Les deux adolescents entrèrent dans la petite pièce encombrer de feuille et de livres. L’endroit était tellement plein qu’ils se demandèrent comment faisait Shiguré pour y travailler. Le chien les regarda avec un sourire et leur parla d’une vois théâtrale comme lui seul à le secret :
_ A qu’elle plaisir de vous voir venir me passer un bonjour ! Ne me féliciter pas d’avoir deviner je suis écrivain j’ai du talent ! je suis le meilleur je suis…
_ Ferme la Shiguré ! c’est pas pour ça qu’on est la !
_ Pourquoi alors mon petit Koko ?
_ARRETER DE M’APPELER COMME CA !
_c’est que, commença Tohru, Yuki ne s’est pas sentit très bien tout à l’heure et nous pensions que vous seriez au courant.
L’écrivain, d’ordinaire joyeux et plaisantin se tu et regarda son calendrier, il prit un air grave et sérieux qui ne lui ressemblait pas :
_ Je vois, il s’est renfermé c’est ça ?
_ t’est au courant ? hurla Kyo
_mon minou j’ai vécu très longtemps au manoir Soma avec Yuki et le reste de la famille, sans toi bien sur, alors je suis au courant de certaines choses. Comme Haru par exemple.
_et bien dit le !
_tu t’inquiète pour lui maintenant ?
Kyo arrêta de parler et mis un certain temps à répondre :
_c’est pas ça baka, c’est juste que…euh…Tohru est inquiète alors tu vas me dire ce qu’il a !
_ Excuse moi Tohru mais c’est à Yuki de vous l’avouer, il a un souvenir très difficile qui le torture. Ne vous inquiétez pas, il ira mieux dans 5 jours.
Kyo allait questionner son cousin encore une fois mais ils entendirent la porte de l’entrée s’ouvrire, des pas s’approcher et s’arrêter. Le chat perçut une main qui se pose sur un mur, comme si le rat allait avoir un malaise mais les pas reprirent, montèrent l’escalier et la porte de la chambre de Yuki se ferma.
_ allez vous changez, leur dit Shiguré, Kagura arrive dans 3h00 je croit, vous avez encore du temps.
Ils le remercièrent et montèrent les escalier pour allez dans leur chambre respective. Celle de Tohru étant à côté de celle du rat.

Azalée se trouvait devant son bureau et commençait à désespérer, plusieurs problèmes de haute importance se bousculait dans sa tête :
D’abord son exercice de math qui était incompréhensible et sur lequel elle bloquait depuis déjà 30min, ensuite sa leçon d’histoire qui était sournoisement planquée dans son sac et enfin …le repas du soir :
~ en plus j’ai pas fait de courses, c’est la galéreuh !!~
Elle se re-pencha sur son exo :
~ Calculer la valeur de B en sachant que AC fait 35cm…MAIS QU’EST CE QUE J’EN SAIS MOI ??~
Elle alla s’allonger sur son lit et pensa à sa première journée de cour, Tohru, Arisa et Saki, Azalée espéra qu’elles deviendraient amies, et puis les SOMA. Doucement ses yeux se fermèrent et doucement elle s’endormit.

Tohru venait de finir ses devoirs et descendait les escaliers afin de se rendre à la cuisine. Elle avait le temps de faire un bon repas pour Kagura. Cela faisait longtemps que la jeune fille ne l’avait pas revue et elle se faisait une joie de ses retrouvailles inattendue, si seulement Yuki n’était pas aussi mal :
~ Maman aide moi s’il te plait, comment je dois me comporter face à cette situation ?~
_ Tohru ça va ?
Elle se retourna et vit Kyo qui la regardait d’un air inquiet :
_tu as l’air soucieuse.
_ah oui ! mais c’est rien ne t’inquiète pas Kyo !
Elle regarda au pied de son ami et vit un sac :
_euh…tu compte partir ? demanda t elle
_ouai je vais quand même pas rester avec cette folle dans les parages…mais si tu n’es pas dans ton assiette je vais rester. Tu as besoin d’aide pour la cuisine ?
_ non merci Kyo je viens de finir, dit elle avec un grand sourire, ce sera cuit quand Kagura va arriver, je vais aller me reposer.
Elle commençait à monter les marches quand Kyo lui dit :
_si tu as besoin de quoi que ce soit appelle moi !
Elle lui sourit et monta dans sa chambre, Yuki était silencieux, elle n’entendait rien du tout. Il n’était pas d’ordinaire bruyant mais il lisait souvent et elle entendait le son d’une page qu’on tourne ou la pointe d’un stylo écrivant sur une feuille. Mais aujourd’hui rien.
Tohru allait se cherchait un livre quand on frappa à sa porte, elle alla ouvrir et vit Shiguré avec un grand sourire lui demandant si elle pouvait voir Yuki pour savoir si il mangerait ou pas. La jeune fille accepta sans hésiter et l’écrivain alla se changer (au moins de kimono^^).Tohru frappa doucement à la porte du rat mais personne ne répondit, elle refrappa toujours rien ,elle finit par entrer.
Les rare fois ou elle avait vue cette chambre ce n’était que furtivement, cette fois ci elle put voir les mur blanc avec un bureau très bien ranger et une bibliothèque ordonnée. Le lit était sous une fenêtre et sur le lit il y avait Yuki les yeux grand ouvert, apparemment en grande méditation.
Tohru ne put s’empêcher de remarquer que, sous le rayon de lune, ses yeux violet semblait briller d’une lueur extraordinaire. Elle s’approcha et dit :
_Yuki ?
Il sursauta et la regarda en esquissant un sourire triste :
_ tu es la depuis longtemps ? demanda t-il
_oh non ! mais je m’inquiétait, j’ai frapper et tu ne répondait pas alors je me suis permise d’entrer excuse moi.
_ce n’est rien ne t’inquiète pas, tu voulais me demander quelque chose ?
_oui, Shiguré veut savoir si tu mangerais avec nous ce soir.
_ah, euh non. Désoler mais je ne suis pas très bien je vais me reposer.
_d’accord.
Elle allait repartir mais ce retourna sur le pas de la porte et posa la question qui lui brûlait les lèvres :
_je peux t’aider ?
Yuki la regarda en souriant de son sourire si triste que Tohru ne lui connaissait pas :
_ non, tu ne peux rien faire…
La fille aquiessa et repartit vers la chambre de Shiguré en fermant la porte.
Le garçon regarda la fenêtre entrouverte de sa chambre :
~ tu ne peux rien faire Tohru, pas encore~
une dizaines de rat passa par la fenêtre et regroupèrent autour de Yuki qui les caressa.

Loin de la, Azalée s’éveillait de son profond sommeil et retourna à ses devoirs le cœur gros. Elle avait enfin fini ses math qu’elle se souvint se à quoi elle venait de rêver :
_ oh non pas encore !


à suivre…
note : YAH je l’ai eu se chapitre !
bon même discours : des remarques, des critiques des propositions à : minisolene2000@yahoo.fr
petite précision cette fic semble tourner autour de Yuki mais en fait je ferais le tour de tous les Soma donc pas d’inquiétude j’essayerais de faire en sorte que cette histoire dure encore ^^.
Kyo : ras le bol d’être le personnage secondaire !
Moi : pour que tu sois mis en avant il faudrait que Yuki t’envois valser à travers une porte et il est pas en forme^^ ;
Kyo : QUOI ? IMBECILE !
Moi : OUINNNNN Kyo m’a frapper !
Kyo : ah la ferme !
Tohru : à plus tard !!^__^

Chap 5

Maison de Shiguré le soir 5minute avant l’arrivée de Kagura. Tohru se trouvait prête et heureuse de revoir la jeune fille, Shiguré, contrairement à ses habitude semblait soucieux et Kyo égal à lui même tremblait comme une feuille.
8 heure sonne. Un tremblement de terre se fait sentir. Et un coup venant de la porte indiqua que l’invitée venait d’arrivée, Tohru se précipita vers la porte et l’ouvrit. Kagura Soma se tenait sur son seuil un sourire timide aux lèvres :
_bonjour Tohru !
_bonjour Kagura^^
Elle la fit entrer, Shiguré la salua et Kyo…avait disparu. Kagura s’éffaça une fraction de seconde avant de trouver son bien aimé sur le point de s’enfuir par le toit :
_Kyo !dit elle en se jetant affectueusement sur lui
Mais le chat qui, rappelons le, n’aime pas le contact physique, la repoussa brutalement :
_Kyo…pourquoi tu fait ça ? tu n’est pas heureux de me voir ?
_NON !
De grosses larmes se mit à couler des joues de la jeune fille qui commençait à sanglotait :
_Ky-o ,hoqueta t-elle, pourquoi ?
Shiguré et Tohru qui ,bien sur, observait la scène se rapprochèrent. Tohru s’occupa de Kagura et Shiguré parla à Kyo avec son…tact habituelle :
_Kyon-kyon, il ne faut pas briser le cœur d’une femme…
_la ferme !
_qui t’aime de tout son être…
_silence !
_avec qui tu vas te marier…
_JE VAIS PAS ME MARIER AVEC ELLE !
Un lourd silence tomba. Kagura observait son cousin de ses yeux qui prirent soudain une couleur rouge, et elle se jeta sur lui. Bien sur le chat s’enfuit mais sa cousine sépara facilement l’écart entre elle et son amant en traversant les murs. Shiguré hurla à Kyo que c’est lui qui payerait les réparation et Tohru chercha tant bien que mal un moyen de calmer la furie qui voulait soigner son cœur briser…mais cela se solda par un échec total. Les deux cousins continuer de se courir après, mais dans le jardin. (ya moins de mur et Kyo n’a pas trop envi de payer^^) Donc résumons la situation : Shiguré et Tohru se tienne devant la maison et regarde en silence Kagura hurler son amour à Kyo qui tente d’échapper à sa cousine.
Soudain, ils entendirent une voix hurler :
_SILENCE !
comme par magie tout s’arrêta et Kagura, redevenue une douce jeune fille, répondit :
_bonsoir Yuki !
_ça fait du bien quand ça s’arrête, soupira Shiguré, J’ai l’impression que notre Yuki est à prendre avec des pincette ce soir.
_bonsoir Kagura, répondit le rat, s’il te plait cesse ton remue ménage j’aimerais être au calme.
_bien sur !excuse moi !
sur ce Yuki ferma sa fenêtre et Kagura rentra avec Tohru et Shiguré se mettre à table. Seul Kyo restait derrière, marchant à son rythme pour reprendre son souffle et réfléchissant :
~ Kagura ne s’est jamais arrêtée aussi vite, aparement elle est au courant pour le rat elle aussi…je suis donc le seul avec Tohru qui ne sache rien ???~
_ Kyo tu viens ? on t’attend ! cria Tohru
_oui je suis la !
et il courut rejoindre son amie.

Azalée était allongée sur son lit et se remémorer son rêve étrange qui n’était pas le premier. En effet, 5ans auparavant ces rêves était apparus aussi brusquement qu’un rêve ordinaire. Mais cela ne l’était pas, Azalée se souvint de son dernier et ses doigt se crispèrent afin d’empêcher les larmes de couler. Des qu’elle se fut calmer elle alla prendre une feuille de papier et entreprit de faire comme avant :
Il son 14 et n’attendent que toi
Tu les as déjà vus mais ne t’en soucie pas
Tu ne peux pas les sauvée mais tu compte énormément
Tu est l’aide qu’ils attendent depuis longtemps

Elle resta pensive un moment.
~ si je ne le fait pas qui c’est ce qui peut encore arriver ?~
elle réfléchit sur ces « personne qu’elle avait rencontrée » et pensa qu’elle aurait une petite question pour la famille SOMA le lendemain.
Sur ce, elle se recoucha, la feuille posée sur son bureau.

En se réveillant le matin, Tohru se sentait en pleine forme. Elle avait passée une soirée formidable ! enfin…presque.
L’état de Yuki l’inquiétait. Il était resté dans sa chambre toute la soirée et elle se faisait beaucoup de soucie. Elle s’habilla et descendit préparer le petit déjeuner en même temps que Kyo qui rentrait de son entraînement matinal et se proposa de l’aider…ce qu’elle accepta avec un grand sourire.
Ils prirent leur petit déjeuner et partirent tous 3 pour l’école. Yuki ne disait rien et Tohru s’inquiétait de plus en plus, ce qui n’échappa pas au chat qui se rua sur son cousin avant qu’il ne quittent leur propriété :
_ Bon ça suffit maintenant ! tu vois pas que Tohru se fait un sang d’encre ?! tu vas me dire tout de suite ce qui ne va pas sinon je te…je te fais la peau !!
_Kyo lâche moi ! répliqua Yuki
_NON PAS TANT QUE JE NE SAURAIS PAS CE QUI T’ARRIVE !
_tu te fait du souci pour moi Kyo ?
le garçon le lâcha et essaya de se justifier sans succès…il se faisait donc du souci pour son cousin ? impossible ! il était le rat et lui le chat il ne pouvait pas ! et pourtant…
_merci Kyo ça me fait plaisir.
_Arrêter tous les deux on doit y aller, les appela Tohru.
~ je suis heureuse, malgré son état il essaye de se rapprocher de Kyo~
et elle leur prit la mains quelque temps comme il y avait très longtemps de cela, quand la famille SOMA l’avait « adoptée ».

Ils arrivèrent juste avant que la cloche ne sonne, Azalée le remarqua et fut extrénement déçue elle du attendre la pause de midi pour enfin leur parlés. Elle les trouva tous avec Arisa et Saki regroupé autour de la table de Kyo à tentés de convaincre ce dernier d’aller manger avec eux. Elle décida de ne pas les déranger et alla chercher Yuki jusqu'à ce qu’une voix retentit dans toute l’école :
_AZAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
l’intéresser se retourna et vit Momiji s’arrêter juste devant elle :
_tu viens manger avec nous dit dit dit !
_il faut d’abord que je trouve Yuki tu sais ou il est ? demanda t-elle
_ba il doit être au bureau des déléguer je pense, c’est à côté de l’endroit ou tu as remplit ton formulaire d’inscription !
des que c’est fait retrouve nous ici on va t’attendre !!
_d’accord merci Momiji mais au fait comment tu m’as appeler tout a l’heure ?
Le garçon afficha un grand sourire :
_ Ben je te cherchais un surnom et j’ai trouvé Aza ! ça te plait ?
_oui je te remercie, répondit t-elle, je vous retrouve dans 5 min
Sur ce, elle partit en direction du bureau.

_ YUN-YUN !
_s’il te plait Manabe arrête de hurler.
Yuki était en train de finir le planning du voyage scolaire en compagnie de Manabe Kakeru le vice président. Travailler lui faisait du bien, il arrivait à oublier ses problèmes ainsi mais il aurait préférer être seul…
_est ce que tu as mangé yun-yun ?
_pourquoi cette question ?
_t’est pas en forme ça se voit ! lui répondit Manabe, et en plus tu bosse ! comment tu fait ?
_je me force c’est pas compliqué, soupira Yuki
_peut être mais la on voit bien que ça va pas même Matchi l’a remarquer alors que d’ordinaire elle s’intéresse pas à grand monde.
_ c’est censé me convaincre d’aller mangé ?
_DONC TA PAS MANGE !
_pitié calme toi tu ressemble à mon frère et je ne le supporte pas…
Manabe allait répliquer lorsqu’on toqua à la porte. Le vice président alla ouvrir et trouva Azalée qui lui demanda si Yuki était la.
Ce dernier arriva et accepta d’aller lui parler seul à seule. Après s’être assuré qu’il n’y avait personne, Yuki lui dit :
_a propos de la dernière je ne pense pas être actuellement la bonne personne pour t’expliquer la situation.
La jeune fille avait presque oubliée cette histoire mais pour le moment ce n’était pas ça le problème :
_ non ce n’est pas vraiment pour ça, en fait j’ai une question sur la famille Soma…
_va y, répondit le garçon un peu pris au dépourvus
_combien êtes vous dans votre famille ?
_euh…à peu prés 200
_QUOI ???? c’est impossible !
_la famille Soma est très nombreuse pourquoi ?
_ il n’y aurait pas, disons un cercle à part de 14 personnes ?
Yuki fixa la jeune fille d’un regard si intense qu’elle baissa les yeux. Cela le fit sourire et lui répondit que si, il y avait en effet 14 personnes à part dans leur famille. Cette réponse sembla lui convenir et elle ne put s’empêcher de lui demander si il en faisait partit :
_avec ce qui c’est passé la dernière fois tu devrais le savoir…
_ça veut dire oui ?
_évidemment !
Azalée soupira, au moins maintenant elle savait qui était ces personnes et décida de commencer tout de suite sa « mission » et força le garçon à l’accompagner pour qu’ils aillent tous mangé ensemble. Il fini par céder et retrouvèrent la famille sur le toit.
Azalée remarqua que Tohru et Hatsuharu semblait rassurés de le voir même si il ne parla presque pas. Kyo, quand à lui, évita son regard le plus possible et descendit sitôt son repas terminé.

Le soir très tard, Tohru n’arrivait pas a trouver le sommeil :
~ je vais ouvrir ma fenêtre ça me fera du bien un peu d’air frais~
En regardant la nuit si calme elle se sentit apaisait mais restait inquiète pour son ami et sans sans apercevoir elle se mit à pleurer en hoquetant.
Sa porte s’ouvrit et elle entendit Yuki lui demandait :
_Tohru ça ne va pas ?
la jeune fille n’osa pas lui répondre et ne fit pas un geste quand il s’approcha d’elle :
_ Explique moi…enfin non…en ce moment je pense être le mieux placé pour ne pas te demandé des explications sur quelque chose que tu veux garder pour toi.
Il resta un petit peu et , tout doucement, se leva afin de sortir de sa chambre. Il s’arrêta cependant sur le seuil :
_si tu as besoin de quelque chose n’hésite pas à me le dire.
La porte commençait à se refermer quand Tohru comprit que c’était sa seule chance de lui demander :
_…toi… hoqueta- t-elle, je m’inquiète pour toi…
Le rat s’arrêta et la regarda, cette petite qu’il revoyait en train de pleurer dans cette rue déserte, perdue, il l’avait aidé et maintenant c’était elle qui voulait lui venir en aide. Sans vraiment le connaître. Cette simple attention le toucha énormément et il ferma la chambre afin de la retrouver. Il alluma la lumière et s’assit prés d’elle sans pour autant faire quoi que ce soit. Ce fut la jeune fille qui, d’un seul coup, se jeta sur lui et l’enlaça un bref instant avant de se retrouver avec un rat dans la main. Ce qui ne la gêna pas mais sembla la calmer.
Des demain elle l’aiderait comme Azalée avait su le convaincre de les retrouver il y a quelque heure…

A SUIVRE

Arrrrg fatiguée mais il est enfin fini ! j’ai du mal à le croire je ne sais pas à combien de jour on en est pour Yuki mais son petit chapitre va bientôt se finir !
Normalement au prochain chapitre en fait^^…après je compte m’attaquer à Kyo avec bien sur Kagura !
(vos critique ou vos remarque à : minisolene2000@yahoo.fr)
kagura : KYOOOO VIENS C’EST A NOUS !
kyo : pourquoi moi ?
kagura : tu n’est pas content on a été choisie ! viens prés de moi !
kyo :JAMAIS !
* me jette kyo dans les bras de sa dulcinées*
moi : a toi Kagura^____^
kagura : A BIENTOT !
kyo : mpfffff ( la même phrase avec quelqu’un en train de l’étrangler)

Chap 6

Tohru se réveilla, elle ne savait pas qu’elle heure il était mais elle ne voulait pas ouvrir les yeux. Quelqu’un frappa à sa porte, la jeune fille l’ignora et se rendormit :
_Tohru dépêche toi !
Elle ouvrit les yeux et vit Yuki qui l’a regardait :
_Yuki mais, qu’elle heure il est ?
_7h30 tu avais l’air exténuer on t’a laisser dormir avec Kyo mais si tu veux pas être en retard au lycée faut se lever.
_HEIN QUOI ?? le lycée j’avais oubliée !!!!! et le petit déjeuner fallait que m’en occupe !!!
_Tohru calme toi ! répondit Yuki, Kyo s’en est occupé c’est bon maintenant habille toi je vais te chercher quelque chose à manger.
_ah…merci.
Elle s’habilla rapidement, ses souvenirs se confondaient, mais la jeune fille se souvint de ce qu’elle avait fait avec Yuki et rougit à cette pensée. Tohru descendit l’escalier et arriva dans la cuisine ou Kyo et Yuki se disputaient (pour changer^^) :
_K’so nezumi fait attention quand tu prend une tartine t’est vraiment qu’un baka !
_peut être Kyo mais la prochaine fois s’il te plait ne me rentre pas dedans.
_je ne t’est pas rentré dedans baka !! faut dire que tu sais même pas faire la cuisine convenablement !!
_Kyo tu veux passer à travers la porte ?
_Ouai c’est ça essaye un peu t’est pas encore guéris hein ? il te reste 2 jours encore dans ton « état second » essais un peu de me faire bouger !
_donc tu veux passer à travers la porte…
Sur ce le rat projeta son cousin à travers l’entré de la maison grâce à un coup de pied magistral. Tohru, inquiète se précipita dehors afin d’aider son ami. Yuki quand à lui prit leurs sacs et sortit à leur suite :
_tiens Tohru ton déjeuner, dit il en lui tendant des tartines de pains
_merci Yuki…euh…pour hier je voulais m’excuser
_ba c’est rien ne t’inquiète pas ! bon vous venez on va être en retard !
Il donna les sacs à leur propriétaires respectifs et les adolescent se mirent en route :
~ il est en meilleur forme, pensa Kyo, faudrait que je lui pose une question mais, pas devant Tohru. Non pas devant elle~
Au moment ou ils entrait dans le lycée la cloche sonna. Ils se hatèrent d’aller en classe et la journée se passa comme d’habitude. Longue.

Azalée réfléchissait au meilleur moyen de résoudre son problème. Elle observait Yuki et vit qu’il était en bien meilleur forme que la veille. La jeune fille vit aussi que Kyo regardait sans cesse sa montre et son cousin…voulait il lui parlé de quelque chose ?
A la sonnerie de la pause Arisa ,Hana et Tohru allèrent la voir pour discuter un peu :
_ Azalée, lui dit Tohru, tu peux me retrouver sur le toit demain?
_bien sur, ça ne va pas Hana ?
_ laisse ! lui répondit Arisa, Hana est en train d’utiliser ses ondes pour empêcher le fan club du prince d’énerver Tohru !
_ des …ondes ?
Hanajima la regarda et Azalée se sentit observée de toute part :
_ quoi ? demanda t-elle, qu’est ce que j’ai ?
_tu as d’étranges onde…
_ah…bien sur ^^ ;
Pendant que les filles discutait Kyo c’était éclipsé pour trouver un moment afin de parler à son cousin. Il avait suivi ce dernier qui discutait avec Manabe :
_ YUN-YUN ! ça va mieux ?
_Manabe s’il te plait laisse moi 5 min
_mais dans 5 min on retourne en cour…
_raison de plus !
_bon d’accord mais juste une question est ce que tout le monde à réglé sa part pour le voyage ?
_oui tout le monde a payer maintenant laisse moi.
_bien chef Yun-yun !
Yuki allait répliquer mais le garçon était déjà parti , il se retrouvait seul dans le couloir et s’adossa au mur. C’est ce moment que Kyo attendait il marcha dans sa direction et ,pas très à l’aise , demanda :
_qui c’était ?
_le vice-président des délégué, répondit son cousin sans un regard vers lui
_Tu n’es pas surpris de me voir ?!
_tu manques encore de discrétion je t’ai entendu me suivre en sortant de la classe. Alors que veut tu me dire ?
_juste une question au sujet de hier soir, j’ai entendu un bruit dans la chambre de Tohru. Le genre de bruit qui montre qu’elle n’était pas seule voit tu ?
_oui je vois. C’était bien moi.
_ALORS LA J’EN AI MARRE !! J’avoue je m’inquiète pour toi t’est content ? maintenant dit moi quelque chose !
Yuki le regarda dans les yeux et lui sourit. Un sourire si triste que Kyo eu honte de s’être ainsi emporté, les yeux de son cousin était froid comme la neige malgré cela il voulait savoir ! connaître la raison d’un telle regard, d’une telle tristesse :
_Quand es tu parti du manoir Soma Kyo ?
La question surprit le chat qui se mit à réfléchir :
_en…Août je crois.
_bien tu ne te souviens de rien au moment ou tu partais ?
Non Kyo ne se rappelait pas mais pourtant un souvenir refit surface. Quelque chose auquel il n’avait pas vraiment prêté attention.
Il avait 6 ans. Kasuma Soma, son maître de karaté, l’avait adopté depuis plusieurs mois mais ils étaient rester au manoir Soma, seulement ce jour la il partait enfin dans la maison de son maître. Dans la limousine appartenant à sa famille il faisait frais et maître Kasuma à ses côté, Kyo était heureux, enfin il quittait cette famille ou personne ne l’aimait.
Seulement il y avait beaucoup d’agitation dehors et les domestique était, pour la plupart, sortis en courant :
_Maître ? demanda t il, que se passe t il maître ?
_ Un garçon s’est enfuit…

De retour dans le couloir en face de son cousin Kyo le regardait les yeux rond :
_ne me dit pas que la personne qui était partit ce jour la c’était…
_c’est tout ce que j’ai à te dire.
La cloche sonna et ils retournèrent en classe.

Lorsqu’elle les vit entrer Azalée se mit à sourire, Kyo s’était enfin décider à interroger son cousin.
~ d’accord c’est pas sympa de les avoir espionner mais j’y suis pour rien maintenant le cher « prince » doit en parler à Tohru !~
Elle réfléchie toute l’heure et arriver à la fin elle n’avait pas vraiment une idée précise de ce qu’elle devait faire.
~ bon réfléchie ! Tohru ne sait pas que Kyo a interroger Yuki donc il faut qu’elle soit au courant d’une façon ou d’une autre…mais oui bien sur !~
Des la sonnerie de la fin des cours Azalée se rua sur Kyo :
_KYO attend moi !!
_qu’est qu’il ya dépêche toi !
_toujours aussi sympathique, répondit elle d’un ton sarcastique, bon alors je sais que tu as parler a Yuki a la pause et…
_QUOI ? de quel droit tu m’espionne !?
_aucun ! mais a mon avis tu devrais en parler a Tohru !
_et pourquoi ?
_et bien…elle t’en voudrait de la laisser a part non ?
Kyo la regarda et la jeune fut contente de son résultat :
_bon elle arrive ! je file bye bye Kyo !
et elle partit en courant. Sur la route menant à sa pension Azalée avait désormais autre chose en tête. Elle regarda sa montre :
~ aaaaa pourquoi ma mère est toujours aussi ponctuelle a se rythme je vais louper son coup de fil…~
et elle se mit a courir plus vite.

Kyo quand à lui avait raconter sa « découverte » à Tohru :
_c’est vrai ? lui dit elle, un garçon s’est enfui du manoir ? et pourquoi pense tu que c’est yuki ?
_ça j’en sais rien, répondit le chat, tout ce que je sais c’est que c’est la seule piste qu’on a alors il faut trouver quelqu’un qui pourrait nous éclairer…
_monsieur Shiguré ?
_a je pense pas…en plus il sortit la ! non on va utiliser le téléphone le plus vite possible.
Tohru se mit à penser aux personnes de la famille SOMA qu’elle connaissait. Si c’était vraiment Yuki il fallait quelqu’un de sa famille :
_Ayamé ? s’étonna Kyo de la réponse de son amie, théoriquement c’est une idée mais je me sens pas d’appeler ce serpent…
Tohru souria, il n’avait pas changer :
_tu connais ces parents Kyo ?
_euh…pas du tout ! tu crois vraiment que je m’intéresse a la famille de ce rat ?mais oui ! maître Kasuma doit savoir lui !
_bonne idée Kyo allons y !
Et ils se hatèrent en direction de la maison.
Arriver la bas il se précipitèrent sur le téléphone, Tohru fut étonner que son ami ne connaisse pas le numéro de son père adoptif et elle le regarda potasser l’annuaire de Shiguré :
_eh ! ya le numéro de ses parents !
_il vaut mieux appeler ton maître Kyo.
_ouai c’est vrai.
Kyo alluma le haut parleur et entendit la voix de Kunimitsu ,l’assistant de son maître, qui alla chercher Kasuma. Ce dernier sembla heureux d’avoir Kyo au téléphone, mais lorsque ce dernier lui résuma la situation et la raison de son appelle il fut étonner :
_en effet Kyo je sais qui c’est mais…tu es sur de vouloir le savoir ?
_évidement maître ! vite s’il vous plait !
_bon…c’était Yuki tu as bien deviner…
_Pourquoi ? demanda Tohru à côté
_ça je ne sais pas tout ce que je sais c’est que les serviteur du manoir l’on retrouver et qu’il à été…
Un bruit de porte se fit entendre :
_plus tard maître au revoir !
_a bientôt Kyo
Kyo raccrocha et descendit les escaliers pour aller dans sa chambre alors que Tohru partait se changer des questions pleins la tête.
Le chat arriva en bas et vit son cousin sur les premières marches de l’escaliers :
_t’avait pas une réunion toi ? lui demanda froidement Kyo
_elle à été reporter je suis la depuis tout à l’heure…
_QUOI ?? alors..euh…tu as ?
_oui je vous ai entendue et j’ai fait semblant de rentrer par la porte parce que maître Kasuma allait dire la chose que je ne voulais pas…
_CRETIN !!dit moi au moins pourquoi tu es partit ?
_j’en avait marre du manoir et…d’Akito. Bon maintenant si ça ne te dérange je vais monter.
Kyo s’écarta et laissa son cousin monter jusqu’à sa chambre, il se résigna et alla a la sienne (Kyo dort en bas dans l’ancienne bibliothèque de Shiguré^^)
Tohru vit Yuki et lui dit bonjour. Elle avait entendu ce que les garçon s’était dit en bas et s’empressa de s’excuser. Yuki lui sourit et vit une casquette posait sur la table de chevet de Tohru. Cette dernière se posait des questions il le remarqua tout de suite, les même que son cousin mais elle, elle méritait un détail.
Avec sa permission il entra dans sa chambre, prit la casquette et la mit sur la tête de Tohru avant de partir se changer à son tour. La jeune fille n’était pas sur de la façon dont elle devait interpréter ce geste mais se souvint que c’était le même que le garçon lui ayant donner cette casquette :
~ non ça ne peut pas être…possible.~
Elle était perdue dans une petite ruelle et un garçon était venu l’aider à trouver son chemin, lui laissant cette unique casquette. Elle l’avait conservée tout ce temps.
Elle courut jusqu’à la chambre du rat et ouvrit la porte, le chapeau dans ses mains.
_ Yuki ? dit-elle, qu’est ce que ça veut dire ? si c’est bien la tienne…reprend la.
Elle lui tendit la casquette mais son ami la reposa sur sa tête :
_je te l’ai donné, lui dit-il, ce jour la, sans toi, je ne sais pas ce que je serais devenu.

Pendant ce temps Azalée avait réussi à avoir l’appelle de sa mère :
_MAMAN comment vas tu ?
_bien mais c’est toi qui est à l’autre bout du monde ma chérie.
_moi tout va…bien maman !
_tu es sur ?
non pas du tout Azalée voulait lui dire que tout risquait de recommencer mais elles étaient loin et ne pourrait pas faire grand chose.
_je te jure Maman ! tout vas bien !

A SUIVRE
VOILAAAAAAAAAAA
J’ai eu du mal…je sais je sais Yuki aurait du être guéri la mais bon j’avais pas d’ idées pour la suite donc au prochain chapitre il sera « guérie »… ben je peux rien dire pour la suite ^^ ;
Toujour la même adresse : minisolene2000@yahoo.fr
Voilà !*aujourd’hui j’ai choisi momiji^^*
Momiji : YOUPI !! BONNE ANNEE A TOUS !!
Moi :allez conclu…
Momiji :POURQUOI ? allez on va faire la fêteeeeeeeee…comment ? pas encore…*snif*
Allez A BIENTOT TOUT LE MONDEEEE ^_____________^

Chap 7

Cela faisait 1 mois depuis l’arrivé d’Azalée au Japon, 1 mois que Yuki était guéris et enfin 1 mois que la jeune fille avait découverte la famille soma. Ce jour la, elle était invitée à venir prendre le goûter chez ses amis. Ayant peur qu’elle se perde Tohru avait décidée d’aller l’a chercher devant l’école. Malheureusement Azalée mit un temps énorme avant de réaliser l’heure qu’il était et elle se mit à courir le long du chemin qui menait au lycée :
~ pourquoi ça arrive qu’à moi ?? allez Tohru attend moi, attend moi…~
_ Azalée !!!
Enfin elle apercevait son amie ses cheveux brun volant au vent, Azalée se jeta sur Tohru et se confondit en excuse :
_ça n’est rien Azalée je n’ai pas attendue longtemps, la rassura Tohru
_ ben…j’espère
_ aucun problème ! on y va ?
Elles se mirent toute les deux en route. Sur le chemin Tohru racontait à la jeune fille depuis quand elle vivait chez les soma et ce qu’ils avaient visités ensemble :
_ attend un peu, la coupa Azalée pendant que Tohru racontait son voyage à la mer, ils on combien de résidences secondaires ses gens la ?
_et bien, la mer, au bord d’un lac…j’en ai vue 2
_ y’en a même une troisième ! cria une voix
Les deux adolescentes se retournèrent et virent Yuki qui se tenait devant elles :
_Yuki ?? demanda Tohru, qu’est ce que tu fais ici ?
_ vous avez mis tellement de temps que je suis venu vous cherchez.
_ oh non ! pardon yuki ! pardon mais j’ai pas vue l’heure !!
_t’inquiète pas Azalée en plus il y a une surprise
_ une surprise ? demandèrent les deux jeune filles
_ oui enfin cela signifiera plus de chose pour Tohru…Kisa est à la maison
Azalée regarda Tohru et cru que la jeune fille venait de pénétrer au paradis. Elle se mit donc en tête de lui expliquait qui était Kisa soma, son age sans cesser de répéter à quelle point elle l’a trouvait mignonne :
~ d’après ce que me dit Tohru ses problèmes son régler…elle à recouvrer la parole qu’elle avait perdue à cause des persécution dans sa classe mais…elle aussi je dois l’aider. Comment ? si j’en savais plus sur eux déjà…~
Tout en continuant à penser à la suite des événements elle observait Yuki et Tohru. La jeune fille semblait très heureuse, elle avait toujours ce visage souriant et gai mais Azalée était persuadée que son sourire devenait plus beau en présence de la famille soma. Yuki lui l’impressionnait encore, elle avait beau mieux le connaître il restait un grand mystère pour elle. Apparement ses petits « coup de pouce » l’avait convaincu de s’expliquer avec Kyo et Tohru et ça c’était déjà une bonne nouvelle :
_ nous sommes presque arrivé Azalée, lui dit Yuki avec un sourire
_ j’ai hâte de voir votre maison ! l’endroit est déjâ superbe !
Ils traversaient une forêt très calme et passait un petit pont de bois au dessus d’une petite rivière qui coulait calmement :
_ mais…pourquoi est ce si éloigné de la ville ? demanda Azalée, le terrain est immense, il doit coûter cher non ?
_ tout appartient à la famille soma, lui expliqua Yuki, tout depuis qu’on est entrés dans la forêt. Pour ce qui est de la distance avec la ville, personnellement ça me rassure plutôt.
_ ah bon ? et donc vous vivez tout les…4 ?
_exact ! lui répondit Tohru en souriant, Shiguré, Kyo,Yuki et moi.
_oh je vois…
~ non ! je voit rien du tout ! ils on l’air heureux !!!! ça me gonfle les moments ou je comprend rien ! ya un truc j’ai l’impression d’avoir oubliée quelque chose depuis quelque temps…euh…MAIS OUI !!! ça m’était sortie de l’esprit je suis bête bête bête…~
_bête !!!
_ pardon Azalée ?
La jeune fille venait de penser tout haut et ses amis la regardait :
~ premièrement : se concentrer quand je pense~
_ ce n’est rien ,expliqua t-elle, je me suis juste souvenue de la première fois ou je suis arrivée à Kaïbara il y a eu un problème avec Kyo et Yuki …euh…
_ c’est vrai cela fait déjà un mois et on ne t’a toujours rien dit , demanda Yuki, on laissera à Shiguré le soin de t’en parler il adore discuter…
Sur ce, il tournèrent à un angle et Azalée put admirer une grande maison en bois, très jolie d’un style un peu ancien. Elle semblait posséder deux étage et était assez vaste. Devant la porte d’entré il y avait quelqu’un :
_ KISA !!!!!
Tohru se jeta sur la personne et cette dernière fit de même. Elle se firent un énorme câlin devant Azalée qui ne suivait pas grand chose :
~ cette fille…est ce que ce serait…~
_ Azalée je te présente ma cousine kisa, lui dit Yuki
~ et oui c’est bien elle ! je la verrais peut être si Tohru décide de la lâcher un jour…~
Tout le monde se trouva dans le salon et s’assiérent autour de la table basse sous le kotatsu* (* rappel : le kotatsu est une table chauffante…ba oui on est en octobre quand même^^)
La petite fille se leva et dit à Azalée :
_ enchanter, je m’appelle Kisa soma.
_ moi c’est Azalée Misso, bonjour^^
La voix de Kisa semblait encore hésitante mais d’après l’histoire de Tohru ou elle n’émettait aucun son même en pleurant on pouvait aisément la comprendre et puis…Azalée la trouvait si mignonne !!! avec ces deux grand yeux brun et sa tête d’une petite fille 8 ans, Kisa soma devait être la petite fille la plus adorable qu’elle n’est jamais vu ! mais elle se rappela de son histoire, Yuki lui avait expliquer qu’elle était persécuter à cause de son apparence…maintenant Azalée remarquait bien que ses cheveux, d’un jaune parfait, donnait beaucoup de contraste avec ses yeux :
_ vous êtes enfin la ? j’commençais à me dire que vous étiez mort ! enfin pour le rat s’aurait étés une bonne nouvelle !
_ moi aussi je suis content de te voir baka…
_QUOI REPETE UN PEU SALE RAT !!
_crétin…
_TU ES MOOOOOOOORT !!!
Kyo allait se jeter sur yuki mais une mains lui attrapa les cheveux et l’empêcha d’avancer. Par la porte ouverte survint un homme avec un kimono gris et des cheveux noirs…
~ ouaouh ! il est super beau !!~
Azalée restait en contemplation lorsque l’homme se mit prés d’elle et lui dit d’une voix théâtrale :
_ oh fleur des champs ! toi pour qui mon cœur pourrait sombrer dans ton néant ! ne serait tu pas la belle Azalée ? celle qui sent aussi bon que la fleur du même nom ?
_ euh…oui c’est moi ! Azalée Misso ravie de vous rencontrer
_ je suis…Shiguré soma ! un auteur plein de bonté de gentillesse, de…
Il n’eu pas le temps de finir sa phrase qu’il était déjà couvert de bleu par les baffe de Yuki et Kyo :
_ fait pas attention ! il aime se donner en spectacle, dit Kyo
_ monsieur Shiguré vous allez bien ? cria Tohru
_ tonton Shiguré ? tu as mal ? demanda kisa
_non heureusement que vous êtes la votre vu me réjouit et emplis mon cœur de…
_ ON S’EN FOUT DE TON CŒUR SALE CLEB’S
Et Shiguré soma se reprit une tarte de la part de Kyo…Yuki vit que la pauvre Azalée suivait leur discussion avec un sourire au lèvres…il décida de parler à Shiguré de ce qu’ils s’était dit sur le chemin de la maison :
_ Shiguré, on ta racontés l’histoire d’Azalée des son arrivée au lycée ?
_oui… le ton de l’écrivain était devenue sobre, comme si il comprenait que la suite serait moins drôle.
_ et bien dit lui pourquoi il y avait un chat après sa collision contre Kyo.
Un silence s’abattit sur la pièce. Tohru semblait inquiète autant que Kisa car elles connaissaient aussi bien que les garçons les conséquences d’une telle révélation.
Azalée elle, se sentait quelque peu angoissée mais très curieuse de cette histoire :
~ merci Yuki je n’osais pas demander…~
_bon, commença shiguré, je vais te le dire d’abord connais tu…
_ HEEEE !!!! il faut l’accord d’Akito je croyais !
c’était Kyo qui venait de crier. Azalée le regarda, il semblait contrarier par quelque chose mais quoi ? oh après tout elle se faisait sûrement des idées…
_ça s’est régler Kyo, lui dit Yuki, j’ai dit hier que Akito voulait m’en parler personnellement…comme d’habitude tu n’écoute rien !
_oh c’est bon ! d’ailleur ça cache quelque chose ! toi ? voir akito ? tu va pas nous refaire une crise d’asthme au moins !
Deux seconde plus tard Kyo se recevait un coup de pied et s’écrasait dans la jardin.
_va y Shiguré !
_ oui Yuki mais arrête de casser la maison…donc ! connais tu le junishi ? (je sais pas comment on l’écrit gomen^^ ;)
_euh…c’est les douzes signes astrologiques asiatique non ?
_oui, et bien notre famille est représenter par ces douzes signes…plus le chat.
_je ne savais pas qu’il y avait un chat, s’étonna Azalée
_il a été tromper par le rat et n’a pas pu aller a la fête organiser par Dieu.
_ah d’accord mais quel est le lien avec les soma ?
_hmmm c’est maintenant que nous attaquons le point délicat ,Shiguré se racla la gorge, les soma son…maudit par ces anciens esprits…nous nous transformons en notre signe astrologique au contact d’une personne du sexe opposée.
Azalée ne sut quoi dire. Ce genre de chose n’arrive d’habitude que dans les contes de fée mais la ils étaient bien en face d’elle, et elle avait vu Kyo sous sa forme animal…elle ne pouvait que les croire.
_ est ce que ça va Azalée ?
Tohru s’inquiétait pour elle, mais la jeune fille se reprit, après tout elle ne venait que d’apprendre le secret, elle ne vivait pas avec ça sur la conscience.
_ oui ne vous faite pas de soucis ! je vous promet de garder ça pour moi !
_on te crois Azalée, reprit Shiguré, mais tu veux peut être une expérience non ? je peux te prendre dans mes bras si tu v…
Shiguré alla retrouver Kyo au pied de l’arbre :
_ tu est fort Yuki ! remarqua Azalée impressionnée
_ merci mais c’est normal j’ai prit des cour de karaté.
_ouaouh !
~ les soma son vraiment spéciaux à commencer par leur caractères…mais ils me plaisent !~
Kyo s’était relever et se diriger vers son cousin en pointant un doigt sur lui :
_ faut pas croire qu’il s’est entraîné pendant des année ! c’est le rat c’est tout !
_oh ! et vos signe astrologique change beaucoup de chose ?
apparement les garçons recommençait à se battre et n’était pas disposer à lui répondre ce fut donc Tohru qui s’en chargea la petite Kisa toujours à côté d’elle :
_ il paraît que le rat est naturellement douer et que le chat ne pourra jamais le vaincre…mais Kyo essaye encore.
_ d’accord je comprend. Et Shiguré il est de quel signe ?
_du signe du chien.
Azalée posa ses yeux sur Kisa :
_et toi c’est quoi ton signe ?
_ le tigre…dit t elle d’une petite voix
~ et ben on dirait pas j’aurais plutôt dit le mouton moi elle si douce et si calme~
_ tu as quel age ?
_ 10 ans je suis en première année de collège…
~ mais elle donne l’impression d’avoir 8 ans !!!!~
Kisa lui sourit et dit :
_est ce que je peux t’appeler grande sœur comme Tohru ?…
elle rougit aussitôt comme si elle eu peur d’avoir dit une bêtise :
_bien sur que tu peux ça me ferait très plaisir, lui répondit Azalée
_merci…
~ Elle est TROP chouuuuuuuuuuuuu~
L’heure du départ était arriver, Azalée rentra chez elle. Au moment ou elle passait la porte de la pension, il commença à pleuvoir. La dirigeante de la pension arriva devant elle :
_ quel sale temps on dit que ça va duré quelque temps…

Tohru vit qu’il commençait à pleuvoir, Kyo passa devant elle et monta les escaliers :
_ je vais me coucher Tohru !
~ Kyo…~ pensa t-elle

A SUIVRE
Note : hourra j’ai cru que je ne le finirais jamais…des questions des critiques a :
Minisolene2000@yahoo.fr
Moi : allez kisa tu sais ce que tu dois faire^^
Kisa : euh…oui. Merci de lire cette histoire…j’espère qu’elle vous plait…
Moi : va y^^
Kisa : a la prochaine fois =^^=
/me prend kisa dans mes bras
mo
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love_kisa
posté Jan 14 2006, 09:54 AM
Message #11


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Un second espoir (suite )


Chap 8

le sang, le test

Il pleuvait depuis 2 jours, deux jours d’averses ou Azalée ne perdait pas de temps pour rentrer de l’école. Enfin, il était samedi au début de l’après midi, il pleuvait encore et la jeune avait des tonnes de devoirs. Elle regardait la pluie tomber d’un air absent. Elle devait aider les soma, elle le savait, mais à ce rythme et avec la malédiction ce n’était pas du tout gagné d’avance. La pluie lui rappelait son pire souvenir, le cauchemar qui hanta ses nuits des jours durant, en y repensant elle sentit des larmes couler le long de ses joues. Jamais, non jamais il n’arriverait cela à un seul membre de la famille soma, si ça devait arriver elle se tuerait.
On frappa à sa porte et ce fut Jeanne, la gérante de la pension, qui entra en lui apportant deux lettres :
_ il est 1h30 de l’après midi c’est bizarre ! le facteur prend son temps ? demanda Azalée
_ non mais avec la pluie qui tombe les route son bloqués…mais tu pleure !
Azalée porta la main à sa joue, effectivement de l’eau salée coulait le long de sa joue. Elle l’essuya rapidement et se reprit en main :
_ ne t’inquiète pas ce n’est rien, dit elle avec un grand sourire, merci pour le courrier.
Jeanne pensa que la fillette avait la nostalgie de chez et n’insista pas, elle lui donna cependant la solution à son problème de math avec un clin d’œil.
Azalée fini son exercice et prit la première lettre. Elle venait de ses parents :
« ma petite Azalée, comment va tu ? le japon te plait encore ? ici tout va bien mais il fait plutôt chaud pour une fin de mois d’Octobre. Chez toi par contre il doit faire froid non ? couvre toi surtout ! t’es tu faite des amis ? je doit t’embeter avec mes questions surtout que je sais que tu me renverra les réponse par e-mail n’est ce pas ? apparemment ton ordinateur fonctionne, ton père et moi avons reçu l’image de ton lycée et le trouvons fort beaux.
Je te fait d’énorme bisous ! ton père et moi pensons très fort à toi !
Tes parents
Ps : je suis heureuse que tu es remontée la pente. »

Azalée fut heureuse de recevoir des nouvelles de ses parents et se jeta sur son ordinateur. Ses parents lui en avait fait son cadeau de noël à l’avance pour qu’il puissent correspondrent et la fillette en était ravie.
Elle s’empressa de leur parler des soma qu’elle avait rencontré ,sans évoquer la malédiction bien entendu, leur parla de sa vie au lycée mais ne dit rien à propos de son rêves.
La seconde lettre venait de quelqu'un que Azalée ne connaissait pas elle lut :
« bonjour mademoiselle misso.
Je m’appelle Kasuma soma et je suis le pére adoptif de Kyo, on m’a expliquer que tu connaissais la malédiction…je veux te montrais quelque chose.
Passe me voir rapidement à cette adresse je serais toujours disponible.
Remerciement
Kasuma soma »
~ le père adoptif de Kyo hein ?~
elle hésita une fraction de seconde puis prit son manteau et sortit.

Chez Shiguré Tohru faisait un peu de ménage quand elle vit Yuki. Le jeune homme lui souria comme à son habitude mais semblait terriblement inquiet. En effet dans un instant il serait conduit au manoir soma ou son chef de famille l’attendais :
_ Yuki ? ça va ? demanda Tohru
Mais la jeune fille se trouva stupide, elle savait que Yuki avait peur d’Akito alors pourquoi lui demander si il allait bien !
_ ça peut aller…mais bon,
le garçon resta muet et Kyo descendit les escalier d’un pas lourd :
_ eh le rat ! je part avec toi ! Hatorie va m’amener chez maître Kasuma il vient de me téléphoner !
_ tu ne part pas à pied ?
_très drôle sale rat ! tu sais que la pluie m’affaibli !
_effectivement le silence regne depuis 2 jours…
_ JE TE Hait…
Et Kyo s’écroula de fatigue sur le sol en répétant qu’on aurait pas du inventé la pluie. Soudain la cloche sonna, Tohru allait ouvrir mais ce fut Shiguré qui sauta sur la porte. Hatorie soma se tenait sur son seuil l’air apparement las de voir l’éternelle sourire de Shiguré :
_ mon cher ami ! Hatori tu as l’air en forme ! comment va tu ?
_ très mal depuis que tu es la merci, répondit il froidement, Kyo,Yuki vous êtes prêts ?
Les deux garçon approuvèrent en grognant et, après avoir salués Tohru ils partirent avec Hatorie.
Shiguré fit remarquer que le frigo était presque vide et la jeune s’empressa de faire les courses un peu plus tôt que prévue. Dans la limousine, Hatori regardait les garçons dans le rétroviseur, Yuki avait les poing sérés :
_ Yuki ? dit il, je te dépose en premier mais je n’ai pas le droit de te ramener tu devras rentrer seul.
_ok, dit le garçon la gorge séche
la voiture s’arrêta devant l’imposante porte en bois et Yuki se décida à entrer.

Kyo regardait son cousin pénétrer dans le manoir jusqu'à ce qu’un angle lui change la vue :
_ Pourquoi tu peux pas le ramener, demanda t- il à son oncle
_ ordre d’Akito. Répondit ce dernier simplement
Le « voyage » se fit en silence et lorsque Kyo entra chez son maître quelle ne fut pas sa surprise en voyant :
_ Azalée ?
_bonjour Kyo, dit elle timidement.

Yuki fut accueilli par les servantes du manoir qui le fit entrer et le débarassa de son manteau. Elles lui proposérent de le conduire jusqu’à la chambre d’Akito mais il refusa, il n’avait pas la mémoire aussi courte.
Pendant la traversait des couloirs ses souvenirs lui sautait à la gorge. Son arrivé, trainé par sa mère et cette piéce qu’il voyait en face de lui, oui, cette piéce ou il était rester 5 ans. Ses souvenirs le martyrisait et il détourna la tête pour voir la porte de son chef de famille, Akito soma.
Il inspira mais sa respiration tremblait, il essaya de se calmer mais impossible. Il restait devant cette porte fermé le cœur battant à tout rompre, il faudra bien entrer, cependant ses jambes ne voulait pas lui obéirs. Yuki aurait voulu fuir en courant, hors de ce manoir, hors de sa famille et hurlait. Hurlait toute ses craintes qu’il gardait enfouis depuis trop longtemps.
Mais une pensée le retint, Tohru, la jeune qui avait tant fait pour lui et Azalée qui l’avait aidée. S’était pour elle qu’il était la. Il fit un pas et frappa à la porte. On lui répondit et il entra, la piéce était sombre et spacieuse, tout au fond se tenait un grand lit ou un garçon était assis. Il portait un kimono sombre qui glissait un peu de ses épaules, ses cheveux d’un noirs de jais se confandait dans la pénombre ou il se situé. Il se retourna et souria, ses yeux aussi noirs que ses cheveux le regardait et appréciait cette instant ou son maudit favori ne savait pas ou se mettre, il avança et l’invita à s’assoir :
_ mon cher Yuki, il faut te trainer désormais pour que tu vienne me voir n’est ce pas ?
sa voix ne semblait éprouver aucune chaleur, aucun attachement à quiquonque. Yuki garda le silence, ne sachant que dire, ce fut Akito qui lui dit tout :
_ il semblerait qu’une nouvelle personne soit au courant de notre secret familial…est ce vrai ? quelle est son nom ?
_ oui Akito c’est vrai, elle s’appelle Azalée misso
_te semble t’elle digne de confiance ?
_oui Akito, je pense qu’elle gardera notre secret.
_tu n’es pas bavard mais je te parlerais plus longuement une autre fois je souhaité juste en entendre un peu plus sur cette fille et puis comme c’est toi qui , apparemment, a prit « les choses en mains » tu sais que je dois te punir.
_oui akito
La voix de Yuki tremblait de plus en plus mais bientôt il pourrait quitter l’étouffante atmosphére qui régnait dans cette piéce :
_ donne moi ton bras droit yuki
le garçon tendit son bras et vit Akito sortit une longue dague d’un fourreau sous son kimono et cette derniére lui entalliat le bras. La douleur était insupportable mais Yuki reste de marbre malgré le sang qui coulait et la tête qui lui tournée, il gardait les yeux baissés jusqu’à ce qu’il fut autorisé à partir.
Ce tenant le bras il sortit du manoir, les domestiques lui rendirent son manteau qu’il posa rapidement sur ces épaule avant de s’enfuir, le bras sanguinolent , sous la pluie battante.
Chez maître Kasuma, Kyo restait sans voix lorsque les deux adolescents furent invités à se rendre sous la pluie. Kasuma prit la main de son fils et dit à Azalée qui, trempée ne comprenait pas :
_c’est une sorte…de test.
Kyo hurla alors :
_ NON MAITRE PAS ENCORE !! NONNNNNN

A SUIVRE

Nda : boucler en 1 soir c’est un miracle^^ ; je suis épuisée tj la même adresse : minisolene2000@yahoo.fr pour des commentaires.

Kagura : aujourd’hui je suis seule^^ j’ai des excuse de la part de l’auteur qui n’ose pas les faire parce qu’elle a peur^^
Moi : kaguraaa
Kagura : d’accord…elle vous prit de l’excuser pour la fin de ce chapitre^^
Moi : gomen mais…j’avais envie^^
Kagura : NE ME COUPE PAS LA PAROLE !!
Moi :* plein de bosse sur la tête * aie
Kagura : a bientôt^^ !!!!

Chap 9

soulagement...

Kyo hurlait sous la pluie battante, suppliant son maître avec les derniéres force qui lui restait mais ce dernier avançait toujours. Azalée regardait la scéne et se raidit, quelque chose de très important pour elle allait se produire, la confiance de Kasuma dépendait d’elle et de cette instant. Elle sentait que le maître de karaté faisait une chose difficile pour lui et son fils mais ne s’arrétait pas. Soudain il aggrippa le bras de Kyo et posa sa mains sur son bracelet, a la lueur des éclairs qui avaient commencé à se formait Azalée put apercevoir le bracelet rouge et blanc de kyo, elle vit Kasuma soma retirer doucement le bracelet et s’éloigner d’un coup.
Un silence oppressant régnait, Azalée ne voyait rien à travers la nuit qui tombait de plus en plus vite mais un éclair lui fit voir l’état de Kyo et cette derniére retint un hurlement. A l’endroit ou se trouvait Kyo il y avait desormais un monstre, une sorte de sauterelle orange géante, une odeur nauséabonde flottait dans l’air…elle connaissait cette odeur, déjà sentit auparavant. Le monstre poussa un cri et s’asressa à Kasuma d’une voix totalement différente, une voix remplie de haine et de rage :
_ POURQUOI ?
Et il sauta, s’envola littéralement vers la foret, maitre Kasuma regardait Azalée, il pleurait et profitait de la pluie pour cacher ses larmes. Il s’attendais à ce que Azalée crie et pleure ou même qu’elle réagisse comme tohru en courant à la suite du monstre mais la jeune fille eu une réasction toute autres. Elle s’avança vers Kasuma et lui dit d’une voix quelque peu tremblante :
_ ne pleurer pas je vais le chercher ! j’avoue avoir été très surprise, ditelle avec un sourire timide
ce simple sourire se repruisit sur le visage de Kasuma sans que ce dernier le veuille. Mais Azalée lui demanda quand même une explication :
_ c’est sa vraie forme, dit il, il nous la cache avec ce bracelet construit avec des os humain, la mort l’accompagne partout et…j’aimerais que tu l’accepte ! comme Tohru ! ne l’abandonne pas je t’en pris…
_ pourquoi je le ferais ?
sur cette simple phrase la jeune fille se hata vers la foret afin de retrouver son ami.

Tohru faisait les courses, elle sortait du supermarché un un sac plein à craquer dans le main. Elle s’attarda en regardant la pluie tomber, son parapluie à la main, la fillette regarda la rue quasi deserte. Seul quelques personnes se dépéchait de rentrer chez eux , l’orage se mit à déchirer la nuit et d’un coup Tohru se trouva seule. Elle allait repartir quand elle vit une silouette sur sa droite, elle portait un manteau sur ces épaules et gardait la tête baisser. Tohru ne voyait que ses cheveux gris…
_ YUKI ! hurla t elle
le garçon releva la tête et la jeune fille vit nettement ses yeux violet, il vacilla et Tohru lacha son sac et son parapluie et courut aider son ami à se mettre à l’abris. Sous le porche du supermarché elle remarqua son manteau solidement enroulé autour de son bras droit :
_ yuki ? tu es trempé qu’est ce que tu as au bras.
_ rien, dit il géné
_ ce n’est pas rien ! tu as l’air d’avoir mal !
la jeune lui parlait d’un air farouche que Yuki ne lui connaissait pas. Il retira délicatement son manteau et Tohru poussa un cri. Du sang coulait abondament, comme une pluie rouge, tout son bras était rouge et Tohru ne dicerner pas la blessure. Le garçon remit rapidement son manteau en le serrant fort et expliqua à son amie que c’était pour éviter qu’il ne se vide de son sang. Tohru ne lui posa aucune questions bien que ces derniéres ce bousculaient dans sa tête. Elle reprit ses agages et ils rentrérent difficelement chez Shiguré, Yuki s’affaiblissant de plus en plus.

Azalée progressait dans la foret sombre les éclairs illuminait le paysage sordide ou elle se trouvait. C’est l’odeur qui la guidait et elle repera rapidement son ami, assis sur le sol :
_ kyo ?
la bête tourna la tête d’un seul coup et Azalée vit des yeux rouge sang, plus vif que ses yeux habituelle , elle s’avança lentement et voyant qu’il allait partir elle s’arrêta :
_ tu ne veux pas rentrer kyo ?
_ que fait tu la ? tu devrais avoir peur !!
_qui te dit que je n’ai pas peur ? murmura t elle, mais il y a différente peur…
Kyo se calma, il avait envi de parler, la jeune fille ne s’approchait plus comme si elle avait lue ses pensées. A travers la pluie qui tombait Kyo vit les cheveux de son amie gorgés d’eau, elle tremblait de froid mais il voulait parler, de cette façon elle partirait d’elle seule :
_ tu dit qu’il y a différente peur ?
_ oui, dit elle conciente qu’elle venait de crée un « contact », toi c’est l’odeur qui plane autour de toi qui fait peur…l’odeur de la mort
_ la mort ! personne aime ça ! pourquoi reste tu ?
_ personne n’aime la mort c’est vrai…mais je me suis jurée de ne plus fuir en face d’elle, jusqu'à ce que je voit ta forme Kyo, je voulais m’éloigner d’elle, mais ce que tu es réellement me rappelle qu’on ne peut la fuir définitevement. Elle nous englobe et bientôt elle te devore et tu disparais mais pour l’instand ce n’est pas encore le moment pour nous…
_ tu ne connais pas la mort ! cria Kyo
Il se sentait attirer irresistiblement vers la jeune fille, ces paroles, il souhaiter les entendre, Tohru l’avait rassurer une fois, Azalée faisait de même aujourd’hui mais elle ne pouvait pas comprendre, son sourire montrait qu’elle ne connaissait pas la perte de quelqu’un…et pourtant, pourtant Kyo sut la réponse de la jeune avant que celle ci ne parle, il la lisait dans ses yeux et les larmes qui coulait à l’évocation d’un douloureux souvenirs :
_ si, chuchota t elle, si Kyo moi je connais la mort…la mort de quelqu’un que je devais aider, il est mort par ma faute. Je suis venue au Japon afin de l’oublier mais il me poursuit, son souvenir me hante et finalement c’est ce souvenir qui me fait vivre et avancer. Si je suis ce que je suis aujourd’hui c’est grace à lui, grace a robin…et toi Kyo ?
_ ma mére s’est tuée !
Sur cette simple phrase Kyo se sentit étrangement calme et vit Azalée qui s’approchait de lui. Il se laissa faire et il se sentit tomber dans le pays des songes, écraser par la fatigue du a la pluie il se laissa porter par Azalée.
Kasuma vit la jeune fille sortir de la foret avec un chat dans ses bras, en souriant paisiblement il alla soutenir le fillette qui tremblait de froid et l’emmena chez lui.

Tohru arriva avec Yuki qui était sur le point de perdre connaissance, sa veste n’empêchais plus le sang de couler. La jeune fille se precipita à l’intérieur et cria :
_ MONSIEUR SHIGURE VITE VENEZ !
alamer par les cris inhabituelle de la jeune fille Shiguré accourut et vit Yuki assis sur le sol, le manteau par terre et le sang qui coulait. Sans perdre une seconde le chien prit le garçon évanouit dans ses bras et le monta dans sa chambre suivit de prés par Tohru. A deux il rincérent le bras du rat et purent apercevoir une coupure profonde qui partait de l’épaule et s’arrétait au poignet, Shiguré alla chercher des bandage pendant que Tohru lui desinfecter la plaie en tremblant. Elle se retenait de pleurer, Yuki ne bougeait pas, seul un léger mouvement à son torse montrait qu’il respirait, mais faiblement, si faiblement. Le chien chargea la jeune d’appeler Hatori pendant qu’il bander la plaie qui ne s’arretait pas de saigner.
La boule de riz décrocha le téléphone en vitesse et composa le numéro :
_ oui ? ici hatori soma.
_ monsieur hatori, cria Tohru, yuki est gravement blésé !
Elle lui resuma comment elle l’avait trouver et quelle soit il venait de recevoir. Hatori expliqua qu’il ne pourrait venir que dans une heure et donna des conseils pour réveiller le garçon. Tohru remonta et vit Yuki dans son lit le bras bander, le bandage stoppait le flot de sang mais il commençait à se tacher légérement de rouge :
_ la plaie est profonde mais ne t’en fait pas Tohru, essaya de rassurer Shiguré
_ merci monsieur Shiguré je…je vais essayer de le réveiller comme m’a dit monsieur Hatori…
_ d’accord moi je vais faire un peu de thé, calme toi il est hors de danger maintenant.
Il lui sourit gentiment et descendit. La jeune fille passa un gant d’eau froide sur le front de son ami et le changea réguliérement car le fiévre le réchauffait rapidement, bientôt cette derniérer baissa et la respiration de Yuki devint plus réguliére. Tohru soulager, s’adossa au lit et attendit patiement. Ce fut un bruit qui la tira de sa semi-méditation. Elle se retourna et vit que Yuki ouvrit les yeux et grimaça en souriant en essayant de bouger son bras afin de lui faire comprendre qu’il allait bien.
La jeune en fut tellement ravie qu’elle se mit à pleurer en serrant la main non-blesser de Yuki. Ce dernier ne bougea pas et se contenta de sourire gentiment.
Derriére la porte entrouverte Shiguré regardait la scéne avec un sourire sur les lèvres et déposa en silence une tasse de thé devant la porte.

Chez maître Kasuma, Azalée était endormit de fatigue, une bonne douche et un bon matelas, il ne lui avait fallue de rien d’autre pour tomber. Kyo se leva et passa dans la chambre de la jeune fille :
_ merci Azalée…merci…

A SUIVRE…
Nda : qu’est ce qui me prend j’ai écrit super vite…ce doit être le « feu de l’action »^^
Minisolene2000@yahoo.fr

Moi : aujourd’hui je passe la parole à haru^^
Haru : ouai…ce chapitre vous a plut ?
Moi : haru un peu d’entraint s’te plait^^ ;
Haru : a bientôt…
Moi : pitier haruuuu
/me se prend une tape sur la tête
haru : me pousse pas a bout !
moi :ouiii
haru : A BIENTOT !

Chap 10

Sur la glace de l'amour

Azalée se réveilla dans un état de fatigue incomparable, a travers ses yeux qu’elle gardait fermés elles sentait que le soleil frappait fort. Les rideaux couvrant la fenêtre dans son dos n’empêchaient pas les intenses rayons de l’astre d’illuminer la pièce qui lui servait de chambre. Elle ne voulait pas se lever mais ne voulait se rendormir non plus, une partie de son esprit lui renvoyait par flash black les événements de la veille. Kyo sous sa troisième forme de sauterelle géante, la pluie et maitre Kasuma en train de pleurer, sa course dans la forêt sombre a la recherche de son ami, leur conversation et le sourire du maitre de karaté lorsqu’elle était sortie de la forêt avec Kyo. Ensuite tout était confus, le chat avait repris son aspect et dormait torse-nu dans les bras de son maitre, celui ci l’avait couché et avait rapidement montré a Azalée la salle de bain afin qu’il puisse preparer son lit.
Lentement la jeune fille s’assis sur son lit, elle distingua nettement la piéce ou elle se trouver, le matelas était chaud et la couette semblait lui ordonner de rester mais elle se leva et sortit par la porte coulissante en face d’elle. Dans le couloir, plusieurs porte se présentait mais un escalier qui se trouvait au bout lui indiqua le lieu ou trouvait Kyo, en effet ce dernier criait et Azalée, après avoir verifier qu’elle était bien habiller, se décida a aller le retrouver.
Les cris menérent ses pas dans une vaste piéce faisant office de cuisine et de salle a manger. Kyo et maitre Kasuma se trouvait devant le gaz sans remarquer la présence de la jeune fille :
_ MAITRE JE VOUS LE REPETE NE TOUCHAIT PAS A CETTE CASSEROLE !
_ mais voyons Kyo je sens qu’aujourd’hui je peux y arriver.
_ Je vous répéte CALMEMENT que ce n’est pas comme cela qu’on fait la cuisine !
_ euh…demanda timidement Azalée, bonjour ?
Les deux garçons se retournérent et Kasuma lui fit un sourire en lui demandant si elle avait bien dormie :
_ très bien je vous remercie de votre hospitalité, répondit elle en s’inclinant
_ allons Azalée s’est tout a fait normal n’est ce pas Kyo ?
le chat rougissa un peu sous l’effet de la timidité, il se sentait géné de s’être dévoilé a la jeune fille, pourtant cela lui avait semblait si naturel…
_ ouai t’en fait pas, dit il, assis toi ce sera bientôt prêt si mon maitre ne si met pas ! il n’est absolument pas doué pour la cuisine exactement comme ce sale rat !
« penser à son cousin de si bon matin c’est un gouffre qui s’est creusé entre eux, moi qui pensait que ça s’était calmée… »
La jeune fille prit place a table ainsi que le maitre de karaté :
_ veux tu que je te raccompagne Azalée ? demanda il en se servant
_ ne vous déranger pas ! marcher me fera du bien ; je ne veux pas vous ennuyer plus longtemps !
_ tu ne dérange absolument pas et tu sera la bienvenue au dojo quand tu le voudra.
La fillette le remercie et entreprit de discuter avec Kyo pour le connaître un peu mieux, elle su ainsi qu’il adoré les art martiaux qu’il pratiquait depuis son enfance. A en jugé par ce qui se trouvait dans l’assiette d’Azalée il était aussi un vrai cordon bleu, apparement une qualité que Yuki ne possédait pas…
« j’aurais cru qu’ il ne voyait les arts martiaux uniquement pour battre son cousin mais non, il vit carrément pour ça !… c’est mignon… »
Après avoir mangés et fait la vaisselle, Kyo et Azalée rentrérent en empruntant le chemin qui descendait vers la ville, a un croisement ils se séparérent et Azalée prit le chemin de la pension ses pensées légérement calmés.

Le passage du médecin, Hatori soma avait rassurée Tohru et Shiguré. La boule de riz avait très bien suivit les conseil du médecin et Yuki pouvait se lever le lendemain, un bandage au bras. Il aida Tohru a ranger la vaiselle malgré les réticence de la jeune fille :
_ ça ne sert a rien Yuki ! repose toi ce n’est pas grave je peux me débrouiller seule !
_ et moi, même avec un bandage je peux te ranger cette vaiselle alors accepte mon aide, dit il d’une voix faible
Il lui souri et Tohru rougissa légérement sous le regard de son ami. Elle l’avait veillé presque toute la nuit et dans son sommeil, Yuki avait gémit a plusieurs reprise, mais maintenant il semblait de meilleur forme. Le fait que Kyo ne soit pas rentré l’avait aussi inquiétait mais Kasuma les avait appelé pour leur résumer la situation. Tohru avait remercier longuement Azalée d’avoir accepter la troisiéme forme de Kyo. Yuki avait était mis au courant une fois réveillé.
Le garçon ne voulait pas rester allongé à se tourné les pouces, il n’ avait pas dit que la douleur ne partait pas, elle persistait et seul une activité quelquonque le faisait pensait a autre chose. Lorsqu’il s’arrétait la douleur revenait, inlassablement, revenait avec des images d’Akito, il pouvait encore sentir le sang qui coulait le long de son bras.
_ Yuki ? tu es pale va t’asseoir !
le rat croisa le regard de Shiguré qui lui souriait, il essuya la sueur qui lui coulait du front et se résigna a se poser, il se sentait faible et ne pouvait tenir très longtemps debout sans que ses jambes ne se mettent à trembler violement. Son cousin lui passa un gant d’eau froide sur le front pour faire baisser la légére fiévre qui persistait.
Un bruit de porte se fit entendre et Kyo entra dans le salon :
_ salut ! je sais que vous savez mais ne me poser aucune questions c’est clair ?
Tohru courut vers lui et afficha un grand sourire auquel le chat répondit avant d’apercevoir ses deux cousins :
_ hello mon petit chat ! lui dit Shiguré, aujourd’hui ne cherche pas des crosses a Yuki d’accord ?
Kyo regarda son cousin qui se tenait fermement le bras, il vit un badage qui lui couvrait la mains et semblait remonter le long du bras :
_ c’est quoi ? c’était la nuit des malheurs hier soir ?ET LE RAT ! JE SUIS LA !
Yuki battit des paupiére et regarda son cousin, il semblait vidé de ses forces :
_ hola, dit Kyo, bon on appelle Hatori ?
_ il est deja passé hier soir, informa Tohru,
_ mais qu’est-il arrivé à la fin ?
un silence tomba, doucement, Tohru raconta à Kyo dans quelle état elle avait vu Yuki mais qu’elle ne savait pas ce qui s’était passé. Yuki lui fixait Shiguré dans les yeux lui faisant comprendre de ne rien dire. Il ne voulait pas inquiétait Tohru, il n’avait aucune envi de leur poser des problémes supplémentaires :
_ moi je sais ce qui c’est passé ! cria Shiguré, Hatori m’en a parlé mais il ne voulait pas te choquer ma petite Tohru ! que faire ? vous en parlez ? mais il me semble que c’est a Yuki de nous le dire n’est ce pas ?
_ EH, cria Kyo, T’ARRIVE A PLAISANTER DANS CETTE SITUATION ?
Shiguré passa le bras autour des épaules de Kyo et prit une pose dramatique :
_ Kyo ne pleure pas…Yuki ne risque plus rien maintenant…
_ LACHE MOI SALE CLEB’S
Tohru essayait de calmer Kyo alors que Shiguré trotinait vers Yuki :
_ tout le monde attend Yuki va y !
Yuki aurait voulait le frapper mais la douleur et la fatigue l’avait complétement vidé. Il ne voulait pas en parler mais maintenant ils voulaient savoir. Tohru n’osait pas l’admettre mais elle souhaiter profondément connaître la cause de l’état de son ami. Elle le regarda et baissa les yeux, honteuse de penser plus a elle qu’a lui. Kyo lui ne disait rien mais avait aussi envi de connaître la raison d’une telle blessure.
Doucement Yuki leur expliqua tout, Akito et le poignard, les couloirs, ce récit le vida de ses derniéres forces et il s’évanouit sur l’épaule de Shiguré qui le monta dans sa chambre tandis que Tohru et Kyo , complétement paralyser, ne bougeait pas.

Sur le chemin menant à la pension Azalée sifflottait calmement ravie de connaître enfin le blocage demeurant chez Kyo. C’est cette facette de la malédiction, elle le savait, qui faisait de Kyo un garçon au visage si dur…pourtant son maître brisait cette glace avec une facilité déconcertante :
« son pére adoptif est génial ! il a tout de suite compris Kyo ! »
Elle arriva devant la pension et entra. Jeanne se jeta sur elle :
_ Mademoiselle ! je me suis beaucoup inquiétée ! ou étiez vous ?
C’est vrai, elle n’avait pas pu appeler chez « elle » :
_ pardon, s’excusa t-elle, j’ai dormie chez des amis et je n’ai pas pensée à appeler
_ bon l’important c’est que vous allez bien et ses amis…comment son t-il ?
_ euh…très gentil, pardon mais je vais monter me poser un peu
_ bien sur bonne journée !
Azalée la remercia et monta dans sa chambre, il était 1h passé et elle s’ennuyer ferme. Elle prit son porte monnaie et s’en alla faire des courses et se promener un peu.

Le lendemain, Tohru se reveilla comme à son habitude un peu plus tôt que les autres, elle mit son uniforme et prit son sac prés de la fenêtre ou elle aperçut Kyo en train de courir. Un sourire aux lèvres elle descendit les escaliers retrouver son ami. Kyo entra dans la cuisine et adressa un sourire chaleureux à Tohru avant de monter se changer (oui Kyo fait son entrainement avec autre chose que son uniforme ^^ ;) .
Tohru prepara le petit déjeuner et l’emmena dans la cuisine au moment ou Shigure arrivait. L’écrivain bailla et fit une scéne devant Tohru les yeux équarquillé. Au moment ou il lançait son bras en arriére il frappa, involontairement, Kyo au visage :
_ ça va pas sale cleb’s ???
_ Kyo voyons c’était le passage ou le prince surgit devant la princesse…
_ JE M’EN FOUT EXCUSE TOI !
_ oh mais pourquoi gâcher mon géni artistique par de la pure jalousie ?
_ QUI EST JALOUX DE QUI HEIN ??
Tohru se décida à intervenir et voulu calmer les deux garçons. Mais lorsque Shigure lui agrippa les mains, le chat l’assomma avec une assiette et ce fut seulement à ce moment la que le chien se calma. Ils déjeunérent en regardant tour a tour la porte de la chambre de Yuki, pensant que le rat récupérait encore de sa blessure personne ne soupçonnait qu’il viendrait au lycée et pourtant, il poussa la porte lentement et arriva juste avant que son cousin et Tohru ne partent :
_ Yuki ! cria Tohru étonnée, mais tu ne compte pas venir ??
_ ben si, ne vous inquiété pas c’est bon maintenant.
_ Si c’était bon tu serais déscendu prendre le petit déjeuner avec nous baka ! renchérit Kyo
Yuki releva sa manche gauche et montra son bandage :
_ franchement j’ai dit que j’allais mieux, pas que ça ne me faisait pas mal !
_ J’voix pas le rapport !
_ j’ai mis un temps fou a mettre mon uniforme voit tu !
_ en attendant, surgit Shiguré, si vous ne partez pas maintenant vous allez être en retard !
Tohru regarda l’heure :
_ mais c’est vrai ça !
Et ils partirent, Yuki avec eux. Arrivés au lycée Kaïbara comme d’habitude, ils furent assaillit par les fille du fan club de Yuki et de toutes les autres qui bavait en regardant les garçons. Tohru s’éclipsa sous les regard meurtrier qu’elle se recevait et courut retrouver Arisa,Saki et Azalée qui l’attendait dans la salle de classe.
Le cour commença et à la récré Azalée alla boire quand plusieurs fille lui barrérent la route dans le couloir desert. La plus grande, une jeune fille aux cheveux chatain clair la dévisagea et lui parla d’une voix autoritaire :
_ Je suis Motoko MINAGAWA présidente du fan-club de Yuki SOMA…
_ et alors ? demanda Azalée
La remarque fut très mal prise et deux filles lui tint les bras en lui criant :
_ECOUTE SORCIERE !
« moi une sorciére ??? mais elles son folles ! »
_ comment ça « sorciére » ? ça tourne pas rond chez vous !
_ Adresse toi a moi autrement ! si nous t’appelons sorciére c’est que toi et Tohru HONDA charmées notre beau prince !
_ qui ? Yuki ?
Les fan lui criérent de ne plus l’appeler aussi familiérement et de s’éloigner de lui. Interloqué la jeune fille alla en parler à ses amis sur le toit, à la pause déjeuner. Ils ne furent pas étonner et Arisa n’arrêtait pas de crier que ces filles était folles et qu’il n’y avait plus rien a en tiré :
_ elles m’embéte pas moi ! dit Momiji un grand sourire aux lèvres
_ parce que t’est un gamin baka, lui dit Kyo en lui assénant un coup sur la tête.
Momiji hurla :
_ KYO M’A ENCORE FRAPPER !!!
_ kyo arrête, dit Haru
_ a toi tu va pas me dire comment me comporter hein ?
_ pourquoi ?
_ baka !!!
Haru se mit très en colére et un combat s’en suivit entre Kyo et Black Haru, la seconde personnalité de celui ci.
_ moi je ne voit pas ce qu’elles nous trouvent, dit Yuki calmement, regarde nous il n’y a pas plus bizarre
_ je crois que c’est justement ça qui les attirent, dit Azalée
Tohru lui sourit gentiment avec Momiji à ses côté :
_ moi elles ne m’on jamais approché, dit Saki
Un froid s’installa, même Kyo et Haru cessérent de se battre. Tous pensés la même chose :
« on sait pourquoi »
Arisa et Saki les laissérent et retournérent en classe.
Pendant qu’ils rangés leur repas Azalée aperçut la mains bandée de Yuki et se jura, après être informée par Tohru, d’éviter ce chef de famille. Au moment de retourner en classe la jeune fille dit d’une voix enjoué :
_ ça vous dit d’aller a la patinoire ?

C’est ainsi que le samedi suivants ils se retrouvérent tous devant une grande patinoire. Azalée ayant fait un long détour pour louer des patins, elle était très impatiente, d’abord elle allait pouvoir plus facilement parler aux Soma et s’amuser ensemble et aussi que Tohru lui avait annoncer la venue de Kisa et d’un autre Soma.
« j’ai hate de revoir Kisa et de rencontrer une nouvelle personne de la famille Soma »
Ils rentrérent dans l’immense stade. La patinoire était immense, à peine plus petite qu’un terrain de foot, jamais elle n’avait vu plus grande patinoire en France. La glace était lisse est scintillé sous les projecteur mais un détail attira l’attention d’Azalée :
_ dite…c’est une chance ou quoi ? ya personne !
Kyo se retourna :
_ mademoiselle je-sais-tout vous oublier qu’avec du monde c’est un peu risqué pour nous ?
Azalée le regarda ainsi que Yuki qui aidé Tohru complétement paumé dans les long lacet des patin et retourna dans le regard rouge sang de Kyo comprenant son erreur :
_ LA MALEDICTION ! oh pardon…je…j’avais oubliée…… donc si il y avait eu des gens on ne serait pas venus c’est bien ça ?
_ nan c’est pas encore ça ! lui dit Kyo, exaspéré, en lassant ces chaussures, si yavait eu des gens on se serait plaints !
« hein ? qu’est ce qu’il raconte ? on a le droit de faire ça ici ? »
_ mais votre remarque n’aurait pas été prise en compte Kyo voyons ! des lycéens qui se plaignent du monde dans une patinoire ça les aurait fait rire c’est tout !
_ MAIS IMBECILE TU COMPREND RIEN A RIEN !
_ calme toi Kyo, lui dit Yuki, Azalée on a louer cette patinoire pour aujourd’hui c’est pour ça. Allez rejoint nous, si tu ne sais pas en faire je t’aiderais.
Et il partit en direction de la glace au côté de Tohru qui avait l’air totalement déséquilibrer sur les patins et de Kyo qui s’était déjà lancé sitôt le pied sur la glace :
_ bien sur c’est…c’est logique ils l’on juste…louer !!!!!
« la famille Soma est extrenement riche…d’ou lui vient cet argent ? »
Elle fini de lasser ces chaussure et monta sur la glace, elle mit du temps à s’habituer avant de réussir à tenir sur ces patins. Pour Tohru l’amélioration n’était pas grande malgré le soutien de Yuki et Kyo. Elle allait les aider quand une voix se fit entendre :
_ GRANDE SŒUR ! AZA !
« décidement ils m’appellent tous comme ça…KISA !! »
La petite tigresse déscendait les marches en souriant ces patins à la mains et les adolescents allérent la retrouver , elle et un garçons se trouvant dans son dos :
« il est mignon pour un garçon de son âge… »
Il avait des cheveux chatains très clair et des yeux marron, habillé d’un pantalon et d’un pull, il semblait avoir patiner toute sa vie. Son regard croisa celui d’Azalée et malgré leur différence de taille la jeune fille se sentait…menacer :
_ Bonjour je m’appelle Azalée Misso et toi ?
Elle lui sourit gentiment et le garçon répondit d’une voix dur :
_ je voix pas pourquoi je devrais me présenter ? j’en ai rien à faire de ton prénom et franchement tu me l’aurais pas donné ça aurait rien changé !
_ Hiro, dit Kisa d’une petite voix
Cette petite voix, qui manquée encore d’assurance, atteignit l’enfant qui se calma avant de répondre :
_ j’mapelle Hiro Soma.
_ bonjour Hiro.
« eh bien, quelle garçon étrange il a l’air jeune…11/12 ans peut être (a vrai dire j’en sais rien moi non plus ^^ ;) pourtant la façon dont il parle…on dirait un adulte »
_ Hiro ! parle correctement ! reprocha Kyo
_ ah ! tu me fais rire toi et tes grands airs ! non mais c’est vrai le plus mal placé pour demander à quelqu’un de parler de maniére convenable c’est surement toi.
_ ARRETE DE FAIRE L’INTERESSANT !
_ mais c’est toi qui te fait remarquer en criant ! bon qu’est ce qu’il y a ? même l’eau gelée te fait peur ?
Kyo voulu le frapper mais se ravisa et entraina Tohru par la main pour patiner, suivit de Kisa. Hiro fit un pas vers la petite fille mais se ravisa et , les poing sérré, repartit dans le sens opposé. Azalée alla avec Yuki et ils discutérent, le garçon s’excusa pour le comportement de son petit cousin :
_ non ce n’est rien ne t’en fait pas ! mais…pourquoi est il comme ça ?
_ demande moi pourquoi Haru à une double personnalité et je saurais te répondre mais pour Hiro je ne le voit pas assez souvent…il habite dans notre résidence principal, dit il comme si cela constitué une bonne excuse.
Quelque minutes plus tard Tohru tomba…pour la vingtiéme fois avec Kisa, prés de Hiro. Le garçon s’empressa de tendre une main salvatrice à sa cousine et celle ci lui fit un grand sourire :
_ merci Hiro, merci beaucoup…dit moi, tu ne veux pas m’apprendre ?
_ oh..euh…oui viens
Il l’entraina et patina doucement à côté d’elle, rouge. Azalée les observait en rigolant doucement :
« le prince et sa princesse…c’est chou »
Mais en les observant plus elle se rendit compte que Kisa ne semblait pas géner au côté de son cousin comparé à ce dernier :
« Hiro l’aime c’est sur mais Kisa s’en est –elle rendue compte ? oh non pas une histoire d’amour ! avec les math c’est LE truc ou je n’y connais rien »
_ Azalée tu viens ?
La jeune fille regarda ses amis en train de s’amuser…pour eux elle pouvait bien essayer, elle patina du mieux qu’elle put et les rejoignit.

A la fin de la journée à son bureau Azalée écrivait ardemment sur un carnet. En se penchant sur son épaule on pouvait lire :

Kyo chat
Yuki rat
Momiji ?
Hatsuharu ?
Kisa tigre
Hiro ?

Elle laissa des lignes blanche et se tourna vers la photos d’un garçon blond aux yeux vert. Son ami, son ami qu’elle n’avait pas aidé…
_ Robin, murmura t-elle
Elle enleva délicatement la photos de son petit cadre et la posa sur la feuille du carnet qu’elle referma :
_il ne faut pas fuir…je vais parler à Akito soma.


A SUIVRE
Disclaimer : gomen j’ai mis du temps à écrire ce chapitre mais le voilà maintenant…est ce qu’il vous plait ? j’ai eu l’idée de la patinoire il y a quelque temps…manquait plus qu’a l’écrire ! n’ésiter pas a me mailez ! surtout pour des critiques cela me serait vraiment utile !
Minisolene2000@yahoo.fr

Hiro : pourquoi je dois venir moi ?
Moi : ben pour dire au revoir…
Hiro : tu pense pas que ces…choses que tu met a la fin de ces pitoyable chapitre énerve les lecteurs ?
Moi : ben, j’y ai pas pensé j’écris ça pour me détendre^^
Hiro : tu pense a rien !
Moi : allez Hiro après je te demande plus de venir
Hiro : REVE!
Kisa : hiro ? s’il te plait…
Hiro: a bientot!...c’est bon t’es contente ?!
Moi : oui ^____^

Chap 11

Confrontations de tout les danger

Une chose était sur avec la jeune française, une fois une idée en tête elle ne l’a lâchait pas ! ainsi pendant un cour alors qu’elle rêvait encore a son nouveau projet le prof l’interpella :
_ mademoiselle MISSO répéter ce que je viens de dire a moins que le mur ne soit plus intéressant que moi ?
_pardon vous pouvez répéter ? demanda t-elle dans un sursaut
Toute la classe éclata de rire et la jeune fille remarque sa bêtise et se confondit en excuse. Malheureusement pour elle son enseignants ne l’entendait pas de cette oreille et s’apprêta à la punir si elle ne lui disait pas ce a quoi elle pensait :
« Voir le chef de famille ,apparemment grave de mes amis, et en apprendre plus sur leur malédiction…. »
_ pardon monsieur, je..je ne sais pas je dormais les yeux ouvert, bredouilla t-elle
_ c’est ce que je vois ! File chez le principal ! monsieur SOMA accompagnez la !
Yuki se leva, en le regardant Azalée vit Tohru et Kyo qui ne riait pas du tout, le fan club de son ami par contre ricanner bien fort pour qu’elle entende. Ils sortirent en silence et commencèrent à traverser le couloir, Azalée avait son cœur qui battait fort, jamais elle n’était allée chez le principal…et Yuki qui ne disait rien :
_ Yuki ? demanda t-elle
Elle allait en profiter il fallait qu’elle le sache, son ami se retourna et elle ne remarqua aucune moquerie dans es yeux :
_ je voulais…savoir…l’adresse de votre maison principal…
« j’y vais peut être un peu fort la…. »
_pourquoi ?
Elle releva la tête et regarda Yuki, son regard tremblait et ses yeux avait perdu toute chaleur. Il attendait une réponse mais devant le mutisme d’Azalée il dit :
_ personne ne t’a convoqué au moins ?
Sa voix tremblait et son bras gauche serra instinctivement sa blessure comme si la douleur lui revenait subitement. Devant ce geste Azalée hésita, pourquoi lui en avait t-elle parlé a lui ? cette blessure elle ne savait pas tout mais Yuki l’a eu pour elle, comme pour la protéger de quelque chose…ou quelqu’un :
_ personne ne m’a demandé c’est moi, j’ai entendue parlée de votre chef de famille et je souhaiterais le voir.
_je ne pourrais pas t’en empêcher si tu le veux mais ce n’est pas moi qui te passerais l’adresse désolé…
« je m’en doutait… »
_ c’est pas grave merci quand même…Yuki c’est pas le bureau du principal la.
La porte devant laquelle ils se trouvait n’était pas celle du principal mais était celle du bureau des délégués. Yuki lui demanda d’attendre dehors le temps de faire quelque chose. Il entra et Azalée surprit une conversation derrière la porte :
_ Matchi ! tu es seule ? demandait Yuki
Une voix a la fois frêle et forte résonna alors :
_ je n’ai pas cour je fini de remplir certains papiers
_ oh…d’accord je n’en ai pas pour longtemps.
La jeune fille entendit le bruits d’un tiroir en train de s’ouvrir et d’un crayon qu’on débouchait, Yuki ressortit quelques minutes plus tard un papier à la mains :
_ au revoir Matchi, dit il a l’adresse de la fille a l’intérieur, tiens Azalée.
Il lui tendit une feuille plier soigneusement :
_ c’est quoi ? demanda t elle
_ montre ça au prof et tu ne sera pas punie.
_ comment ta fait ? c’est quoi ça ? un privilège des délégués ?
_ hmmm on peut dire un secret, j’ai les miens et tu as les tiens n’est ce pas ? allez on retourne en classe !
« il n’en finira pas de m’étonner…j’ai l’impression qu’il était au courant pour…mais non qu’est ce que je pense moi ! il peut pas ! »
Elle le rattrapa et ils retournèrent en classe.
De nouveau dans leur salle de cour, Azalée montra le mot a son professeur qui la laissa s’asseoir à sa place à son étonnement, elle regarda discrètement Yuki qui lui fit un clin d’oeil et un sourire. Elle le lui rendit et tira la langue au fan club qui resté outré devant une telle injustice. La jeune fille se replongea dans son travaille et raya mentalement Yuki de sa liste pour avoir l’adresse des soma. A la fin des cours elle rentra comme à son habitude avec Tohru, Kyo et Yuki.
Elle monta 4 à 4 les marches menant à sa chambre et fit ses devoirs le plus vite possible. Puis elle attrapa le botin et chercha :
« soma,soma,soma…ya pas c’est quoi ce binz ? »
Sa dernière solution fut de chercher à pied, la jeune fille entreprit de se renseigner mais il semblait que personne ne les connaissaient. Fatiguée, éreintée après 2h de marche sans succé elle s’assit sur un banc dans un parc. Il était très calme, à cette heure plus personnes n’y étaient et la fraîcheur du soir la fit frissonner. Novembre venait d’arriver et le froid s’installer assez rapidement, un oiseau chanta et les minutes passèrent :
« a quoi bon cherchait, personne ne peut me renseigner, j’irais voir Kyo demain seule à seul et… »
_ AZA !
Elle sursauta et reconnut la tête blonde de Momiji qui lui souriait, ses yeux pétillant de joie. Il se mit à lui parler d’une voix enjouer et elle ne put s’empêcher de sourire, qu’il était gais :
_ que je suis content de te voir, lui dit il, qu’est ce que tu fais la ? tu cherche quelque chose ? quelqu’un ? moi je me ballade la nuit tombe vite en ce moment !
_ c’est vrai, je cherche…ah ben tiens Momiji tu peux peut être m’aider !
_ c’est vrai ? YOUPI va y va y dit moi !!!
Azalée ouvrit la bouche mais un garçon arriva et s’approcha :
_ salut Azalée, Momiji arrête de partir comme ça…
_ oh Haru, pleurnicha le lapin, Aza allait me dire quelque chose…
Haru se tourna vers elle, son regard noir toujours aussi « cool » et lui demanda de continuer si il ne voulait pas subir une crise de larme de son cousin :
_ et bien voilà j’aimerais l’adresse de votre maison principal.
Un silence s’ensuivi, ils ne semblaient pas apeurés ni autres chose mais juste étonner :
Haru lui demanda finalement la raison d’une telle question et Azalée lui expliqua son intention de voir leur chef de famille, le fameux Akito. Son nom fit tremblait les deux cousins et Azalée dut les supplier afin d’avoir son information. Ce fut Momiji qui lui proposa une solution :
_ Haru n’y habite pas mais moi je peux t’emmener si tu eux, demain après les cours ça te va ?
« si tôt ? enfin je pense que ça vaut mieux comme ça au moins ce sera fait »
_ ok ça me va ! répondit elle, ta famille habite dans votre résidence principal ?
Le ton du garçon prit soudain un air très sérieux :
_ ah non c’est un cousin qui s’occupe de moi.
« Momiji… »
_ bon Aza faut qu’on y aille ! hein Haru ?
_ ouai ! va y part devant je te retrouve tout de suite.
Le lapin souhaita bonne soirée à son amie et couru comme un fou dans la rue, Hatsuharu ,lui, prit une enveloppe dans sa poche et la donna à Azalée :
_ trouve Rinne et donne lui ça ok ?
Et sans attendre sa réponse il partit tranquillement rejoindre Momiji qui avait déjà une grande longueur d’avance. Azalée voulut lire l’adresse de l’enveloppe mais il n’y en avais pas, juste un mot écrit a la mains :
« pour Rinne »

Le lendemain, a la fin des cours, Azalée prit rapidement ses devoirs et allait sortir incognito quand Kyo lui rattrapa le bras :
_ ou tu va comme ça ? tu trouvera pas notre résidence principal au hasard.
_ comment tu sais ? demanda elle
_ c’est Yuki qui me l’a dit, alors laisse tomber c’est une très mauvaise idée.
_ trop tard c’est Momiji qui m’emmène ! bye Kyo !
Le lapin l’attendais devant la porte du lycée un sourire aux lèvre et ils marchèrent dans la rue tranquillement en discutant de tout et de rien. Azalée remarqua que sous ses airs enfantins, Momiji était sûrement le plus mature des maudits qu’elle avait rencontré. Elle n’aborda pas le sujet mais brûlait d’envie d’en savoir plus sur ses parents. Ils n’habitait pas avec lui mais alors qui s’en occupait ? Après tout elle voyait très mal le garçon seul dans un appartement :
« sur ! il énerverait les voisins…c’est un cousin qui s’occupe de lui…hmmmmm….j’ai jamais vu une famille comme ça ! leur liens familiaux m’on l’air plutôt étroit, la malédiction les empêchent de s’attachés aux autres…heureusement que Tohru est la »
_ et voilaaaa ! bienvenue chez nous Aza !
La jeune fille leva son regard devant un immense portail de bois ancien, derrière, on n’apercevait que le toit d’une maison apparemment il n’y avait que le portail de riche et d’intéressant….
Momiji sortit une clé de son sac et ouvrit le portail :
_ WAOUH ! s’exclama Azalée
A l’intérieur ce n’était pas une maison qu’il y avait mais carément un village ! plusieurs maisons se trouvaient disposé dans un immense jardin. Le lapin invita la jeune fille à le suivre et ils traversèrent ensemble une longue allé avant de s’arrêtait devant un manoir. Le cœur d’Azalée se mit à battre plus fort, un silence oppressant régnait ici et jamais la jeune fille n’avait eu si peur de rencontrer quelqu’un, Akito soma sortait de l’ordinaire c’était sur.
Momiji s’excusa de ne pas pouvoir l’accompagner et Azalée rentra donc seule dans la demeure. Elle arriva dans un hall plutôt grand, elle ôta ses chaussures et grimpa une petite marche, presque aussitôt une dame arriva et entreprit de la conduire auprès de « maître Akito ».
« Hola une servante, euh, j’ai pas l’habitude de ce genre de chose moi »
Elle suivie quand même la femme qui la mena devant une porte et toqua, une voix grommela quelque chose et Azalée entra une fois de plus seule :
_ Assis toi au centre ! Aboya la voix
La jeune fille regarda et vit un homme assis de dos, il portait un kimono qui semblait trop grand pour lui et ses cheveux étaient d’un noir de jaie. Elle s’assit et le garçon tourna enfin la tête vers elle. Ce qui la frappa en premier fut son visage, très beaux, de fin cheveux noirs sur un visage pale comme la mort, les yeux noir aussi froid que la glace. Il ne devait pas avoir plus de 20 ans, un homme aussi jeune peut il être a la tête d’une famille aussi importante que les soma ?
_ alors dit moi que vient tu faire ici ?
Sa voix doucereuse cachait quelque chose, elle était trop douce et son regard trop froid, Azalée frissonna elle pouvait sentir l’immense pouvoir qui émanait de cette homme. Il portait lui aussi un poids sur ces épaule il semblait constamment abattu comme si une mains lui appuyer sur le dos pour le forcer a se courber et qu’il refuser. Akito soma se tenait raide droit et fixer son invitée dans les yeux, elle n’osait pas les baisser mais la pièce, si grande pourtant, semblait soudain vouloir l’étouffer. Un instant une idée l’effleura, renoncer. Que pouvait elle faire contre cette homme ? Ses yeux se baissèrent doucement mais une image lui vint à l’esprit, ses amis. Kyo, Yuki, Haru, Momiji, Kisa ,Hiro, Shigure et Tohru, si elle partait que risquaient ils ? ce pourrait il que ce soit une sorte d’épreuve ? elle redressa vivement la tête et tremblant de tous ces membres demanda :
_ je viens en apprendre plus sur votre famille. Pouvez vous me parler de la malédiction ? je pourrais peut être…
_ Pas question ! hurla Akito, Que veut tu faire hein ? RIEN ! tu ne peux rien faire et tu ne me les voleras pas !
« voler ? les voler que veut il dire ? »
La voix de la jeune fille retrouva de l’assurance, la colère du jeune homme était injustifié :
_ je ne veux pas voler mes amis mais je veux les aider et vous aussi car vous me semblez porter un grand poid.
_ J’EN PORTE UN OUI ! cette famille !! Déjà que cette Tohru honda vit dans une de MES résidences avec MES maudits ! je suis clément ! je t’ai accepté ! tu devrais me remercier et non me blâmer j’aurais pu effacer ta mémoire !
Azalée se raidit, effacer les mémoires ? une telle chose était elle possible ? Akito soma possédait il un tel pouvoir….a moins que ce ne soit celui de sa famille, la famille soma elle même !
_ Tohru est comme moi elle veut juste….
_ JAMAIS TU ENTEND ? JAMAIS TU NE ME LES PRENDRA ILS SON A MOI ! A MOI SEUL !
_ mais pourquoi ? pardonnez mon imprudence mais…
Un sifflement retentit et Azalée sentit quelque chose sur sa joue , elle y porta sa mains et vit une tache rouge luisant à la lumière des multiples bougie éclairant la pièce :
_ la prochaine fois c’est ta tête qui sautera c’est compris ?!
La porte s’ouvrit et Azalée se sentit relever, elle avança sans parler, sans réfléchir, se laissant à moitié traîner par un homme. Elle se « réveilla » quand elle sentit une agréable fraîcheur, clignant plusieurs fois des yeux elle distingua une salle ressemblant a un cabinet de docteur, en effet, une blouse blanche était accroché à un porte manteau :
« que c’est il passé ? »
Elle porta sa main à sa joue et vit que le sang coulait toujours, elle n’avait pas rêvé. Elle sursauta une mains s’était poser sur sa joue avec un coton imbibé d’eau, un pansement s’y posa et elle put tourner la tête et distingué un homme en costume, très beaux les cheveux noir et les yeux sombre, enfin un oeil en tout cas l’autre était cacher par une mèche de cheveux. Elle voulu prononcer un mot mais il la devança :
_ c’était la première fois que tu te faisais attaquer n’est ce pas ? quelle idée de voir Akito. Je me présente Hatori soma, médecin de famille.
_ je suis Azalée Misso et ce n’est pas la première fois que je saigne mais je ne supporte plus trop la vision du sang depuis…depuis quelques temps.
_ je ne t’en demanderais pas plus mais quitte ce manoir je vais te ramener.
_ bien je vous suis. encore merci monsieur Hatori.
En sortant de la pièce le regard de la jeune fille croisa celui d’une photos. Une jolie jeune femme poser dans une délicate robe bleu derrière un buisson, un doux sourire aux lèvres. Le regard sans vie de la photo dégageait une impression de tristesse à Azalée :
_c’est votre petite amie ? demanda t elle au médecin
Celui ci regarda la photos et souria tristement :
_ c’était…il y a bien longtemps.
« le pauvre que s’est il passer ? »
Elle quitta la maison et marcha jusqu'à croiser une fille aux cheveux noirs très long, elle était splendide, un vraie mannequins . Son regard pourtant se remplie d’animosité en croisant Azalée :
_ qui est ce ?
_ Rinne soma, ne t’en fait pas elle a mauvais caractère. Azalée ?
La jeune fille avait rapidement rattrapée Rinne et lui avait remis une lettre. Hatori ne lui posa pas de questions et la ramena chez elle.
Dans son lit Azalée tremblait encore, la peur de dormir et de revoir cette pièce sombre en rêve la hantait :
_ Hatori soma, murmura t-elle, depuis…
Elle regarda sa propre photo, celle de son ami, celle de Robin :
_ Depuis sa mort.

A SUIVRE…
Note : bon :
Minisolene2000@yahoo.fr
Je suis crevée il est 22h05 et je vais me faire tuer par mes parents si je file pas au lit de suite ! ^^ ;
Hatori : alors que fait tu ici ? le sommeil est important.
Moi : je sais, annonce juste ce qui risque de se passer au prochain chapitre.
Hatori : le titre par exemple ?
Moi : oui ou ce qu’il risque d’être…
Hatori : « la hantise du passé »
Moi : et voilou en espérant que ça vous est plut ! a bientôt ! ^^
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love_kisa
posté Jan 14 2006, 09:59 AM
Message #12


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Un second espoir (suite)
Chap 12

"la hantise du passé"



Dans deux endroits différents 5 personnes se réveillèrent doucement par ce début de vacances. Kyo, si matinal d’habitude avait préférer resté allongé pour son premier jour de repos après tant de travail et de surprises, Tohru elle, se leva un peu plus tard que d’habitude mais en conservant une longueur d’avance sur sa « famille » pour préparée le petit déjeuner tranquillement, Yuki dormait encore profondément, sa mains droite pendant sur sa couverture, gardait une fine cicatrice encore un souvenir qui s’éffaçais progressivement, Shigure s’était étirait mais n’entendant aucun bruits préféra se mettre a l’écriture de son romans, après tout son éditrice ne lui avait elle pas demander 50 page pour dans quelques jours ? Le temps était peut être venu…
Plus loin une jeune fille , ses cheveux bruns en désordre et ses yeux vert à moitiés fermés fixant le mur d’en face, s’étira longuement et se leva en prenant bien son temps. Elle se précipita a sa fenêtre et l’ouvrit avec émerveillement, il avait neigé ! Les toits, habituellement noirs , sombres et sales, étaient recouvert d’une couche de neige immaculé. Elle respira l’air glacée à pleins poumons signe de ses première vacance seule à l’étranger. Elle regarda la photos de Robin, le garçons brun restait éternellement figé dans un rire inaudible à présent pour la jeune fille. Azalée ferma ses yeux pour se remémorer la raison de cette joie.
« La neige en était la cause…ils couraient tout les deux dehors ravis de toute cette splendeur blanche. Se lançant des boules de neiges et s’arrêtant sous un arbres faire des anges. Azalée avait voulu lui prouver qu’elle pouvait grimpée sur la première branche du sapin malgré la neige. Mais au moment ou sa mains avait saisie le bois verticale de l’arbre, il plia et une épaisse couche blanche avait recouvert la petite fille qui se mit à se secouée fortement aspergeant son ami au passage qui éclata de rire d’un seule coup. La mère d’Azalée l’avait immortalisé dans cette instant. »
Azalée rouvrit les yeux sur la photos, la splendeur de la neige s’était dissipé dans l’évocation de ce souvenir, ce garçon, elle l’aimait avant, pendant longtemps cet ami était restée prés d’elle partageant ses soucis quand un matin elle se réveillée avec un rêve lui indiquant une personne à aider, des rêves étranges sans explication possible mais ce jour la…tous ces brouillé, ce jour la ou c’était lui qu’il fallait aider.

Tohru faisait des courses assistée de Yuki et Kyo, tous trois chaudement vêtus :
_ Azalée ! cria Tohru
Les deux garçons se retournèrent et distinguèrent les cheveux de leur amie qui se précipitait vers eux. Quand elle arriva à leur hauteur elle entreprit de fêter le premier jour des vacance en sautant dans les bras de Tohru :
_ bonnes vacances Tohru !
_ c’est quoi ce truc ? demanda Kyo, on fait ça en France au début des vacance ?
_ pas du tout c’est mon truc ! protesta la jeune fille
Un poing s’abattit sur sa tête :
_ KYO ! ça fait mal !
_ t’est douillette j’ai même pas frapper fort !
Ils se disputèrent gentiment et Tohru les calma en proposant à Azalée de venir mangée chez eux :
_avec plaisir ! mais ça ne vous dérangent pas ?
_ pas du tout, répondit Yuki, juste le temps de faire des courses et on rentre.
Il lui sourit et la jeune fille regarda instinctivement son bras droit. Yuki remonta la manche de son manteau pour qu’elle vit son bras sans bandage, avec juste une marque blanche signe de la cicatrice. Azalée regarda et sa rencontre avec Akito lui revint en mémoire, les larmes lui montèrent aux yeux :
_ Azalée tu pleure ? s’inquiéta Tohru, il ne faut pas tout va bien maintenant ! il ne faut plus y penser !
_ arrête de pleurer…euh…tout le monde nous regarde, essaya de la raisonner Kyo, je sais pas moi ! dit quelque chose toi le rat !
Yuki la regarda et vit ses larmes qui ne se calmait pas, elle fuyait son regard, doucement il lui demanda :
_ qu’est ce qu’il y a ? tu veux dire quelque chose ?
Azalée avala difficilement et répondit avec des sanglots dans la voix :
_ pardon…c’est à cause de moi tout ça …je….je veux m’excuser Yuki je voulais pas je le jure mais…
Une mains se posa sur sa tête et elle se calma instantanément, levant les yeux elle croisa l’intense regard de Yuki, un sourire se dssinant sur son beau visage (note : ya pas de favoritisme je le jure XD) :
_ c’est bon ne t’en fait pas, de toute façon j’aurais bien fini par le voir un jour ou l’autre alors…pleure plus d’accord ?
Elle aquiessa doucement et Tohru lui prit la mains pour la traîner vers la direction du magasin lui parlant d’une voix gaie auquelle la jeune fille s’empressa de répondre en riant. Ils arrivèrent devant le supermarché et les garçons attendirent dehors sous l’étonnement d’Azalée :
_ rentre et tu verra, la gronda Kyo , bon grouillez vous on meurt de froid !
Elles rentrèrent et en effet Azalée compris, le magasin était bondés, les familles commençaient les courses du réveillons avec leur enfants, faisant la queue aux caisse. Jamais ils n’aurait put se faufiler sans rentrer dans des filles.
_ pourquoi ils t’accompagnent Tohru si ils restent dehors ?
_ ils m’aident à porter les paquets.
_ dit moi y’en a un pour lequel tu craque ?
Tohru s’arrêta rouge comme une tomate :
_ Azalée voyons, euh…ce….son….des amis ! oui c’est ça des amis rien de plus !
« bingo en pleins dans le mille ! »
_ ya pas de honte tu sais ? ce son des beaux gosses chez les Soma…
_ euh…ah des tomates ! tu aime ça Azalée ?
La française éclata de rire et aquiéssa de la tête devant les yeux étonner de son amie. Autour d’eux les gens s’étaient arrêter et observait cette étrange fille en train de rire comme si s’avait été la première fois de sa vie…
Azalée finit par se calmer au bout de quelques minutes et les deux filles finirent rapidement les course afin de retrouver leur amis dehors. Kyo se mit en colère des qu’il les vit :
_ EH VOUS SAVEZ DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ON ATTEND ?
_ calme toi Kyo, dit Tohru avec un sourire , euh…pardon c’est de ma faute et je….
« c’est peut être Kyo »
_ c’est pas grave Tohru vous êtes sortit c’est bon maintenant, rentrons avant de vraiment attrapés froid.
_ oui Yuki, d’accord !
« ou alors Yuki…pff pourquoi elle sait même pas qui elle préfère entre deux garçons ? ça va encore être à moi d’intervenir…. »
Les adolescents rentrèrent chez les Soma et Tohru se hâta à la cuisine en demandant à Azalée si elle pouvait mettre la table. La jeune fille se mit à la tache immédiatement avec le sourire, Yuki lisait tranquillement dans un coin avec Shigure et Kyo en train de se disputer à côté. Puis ils se mirent à table :
_ WAAA Tohru c’est excellent, s’exclama Azalée, tu cuisine vraiment bien !
_ ma chère Azalée, si Tohru ne savait pas cuisiner pourquoi l’aurais je pris sous mon toit à ton avis ?lui demanda Shigure avec un sourire coquin
Il ne tarda pas à voler au fond du salon, propulsé par les coup respectifs de Kyo et Yuki :
_ ce n’est pas grand chose, expliqua Tohru, mais je suis contente que ça vous plaisent les garçons c’est ce que je vais faire pour le repas de noël.
Les deux cousins sourirent en même temps :
« ce qu’ils sont mignon ces deux la ! »
_ et bien moi je me demande ce que je vais bien me faire pour noël, je suis nulle en cuisine tu ne peux pas imaginer, déclara la française
_ c’est pas tes parents qui font la bouffe ? demanda Kyo
Shigure choisit cet instant pour le taquiner encore :
_ en voilà des façons de parler petit polisson, je vais te savonner la langue….
_ ARRETE DE DELIRER SHIGURE ! hurla le chat
_ euh, Kyo ? dit Azalée en essayant de capter l’attention de son ami, mes parents son en France et je reste ici.
Ils s’arrêtèrent de parler et tournèrent les yeux vers la française, elle souriait mais semblait aussi préocupée par quelque chose. Tohru conaissait ce sentiment, les souvenir provoquait ce genre de chose :
_ Azalée passe noël avec nous si tu veux, proposa Tohru, n’est ce pas les garçons ?
_ mais oui , lui dit Yuki, reste ici pour les fêtes Azalée. En plus vous pourrez passer le réveillons à deux comme ça.
_ au Japon tout les réveillons se passe en famille ? demanda Azalée
Kyo répliqua :
_ on va pas chez nos parents ! tu crois vraiment que notre famille veut nous voir ? pourquoi on reste avec ce cleb’s sinon hein ?
_ l’écoute pas, lui dit Yuki, le seul membre de ma famille que je vais voir c’est mon frère, et ça ne m’enchante pas vraiment, quand à Kyo il ira voir maître Kasuma le lendemain. Nous allons passé les fêtes dans notre résidence principal, nous n’y sommes pas allés l’année dernière et ce ne serait pas prudent de ne pas y aller cette année encore.
Shigure entreprit de lui raconter l’ancestrale tradition des Soma aux fêtes du nouvel an, comment ils se retrouvent en petit comité, sauf le chat, pour voir danser es personnes dont l’année se finit et celle dont l’année commence.
_ cette année, continua t-il, ce sera au tour de Hatori qui dansera avec Momiji.
« cette légende est autres chose que des écrit dans un livre chez les Soma…ils la vivent presque, resté éloigné du monde en se cachant de ce que l’on est vraiment ? est ce que moi aussi je vit de cette façon la ? »
Après le repas les deux jeunes filles, aidées par Yuki, débarassèrent la table avant de s’asseoir pour réfléchir aux cadeaux à offrir. Tohru demanda à son amie ce qu’elle offrait à sa famille, cette dernière lui apprit que ces cadeau était déjà partis, une montre pour son père et un collier pour sa mère. Tohru lui dit qu’elle allait donner une cravate à son grand_père et murmura :
_ par contre pour les soma je ne sais pas trop et toi ?
_ idem…a part Kyo je sais pas ce qu’il aiment moi…
Elle vit que Yuki les regardait et s’empressa de lui demander ce qu’il voulait :
_ vous savez faire les paquets cadeau ?
_ pas vraiment, rigola Azalée, mais qu’entenge notre prince national ne sais pas faire de paquets ?
_ Yuki sait rien faire de ses dix doigt a part des navets, répliqua Kyo qui descendait avec du papier et une boite.
_ hein ? pourquoi tu parle de navets ?
_ Yuki à un potager, lui apprit Tohru tout sourire, un très beau d’ailleurs !
Azalée déclara qu’elle aimerait bien le voir et Yuki accepta à condition qu’elle l’aide pour ses cadeaux, ce qu’elle accepta avec grand plaisir. Kyo alla aider Tohru qui se battait avec un rouleau de scotch et Azalée monta dans la chambre de Yuki :
_ waouh ! c’est super bien rangé ! aucune ressemble avec la mienne, s’esclaffa t-elle, allez ou son les paquets ?
Yuki lui montra 2 boites et, avec sa permission, Azalée les ouvrit. Il y avait dans la première des livres sur la méditation :
_ c’est pour Haru, je sais pas ce qu’il aime dedans mais bon…
Dans la deuxiéme il y avait un objet très précieux, une sorte de sculture d’un homme, de toute beauté !! Azalée ne put s’empêcher d’admirer :
_ et bien ! à qui est réservé ça ?
_ à mes parents, dit il avec un sourire d’excuse
_ tu n’avais pas…coupé les ponts avec eux ?
_ c’est eux qui l’on fait mais bon…on sait jamais ! tu cherche quelque chose ?
La jeune fille avait vu un ruban qui dépassait et avait vite ouvert le tiroir pour découvrir :
_ jolie bracelet ! c’est pour Tohru ?
Son ami vira au rouge d’un seule coup et Azalée éclata de rire en l’emballant avec le plus grand soin. Une fois leur besogne terminé ils descendirent les escaliers et Tohru accompagna Azalée au potager de Yuki.
La jeune française s’émerveilla devant toute ces couleurs et remarqua des plants de fraises :
_ j’adore ça ! elles seront bonnes quand ?
_laisse le soleil venir, lui dit Tohru, oh il neige !
En effet de la neige s’était remise à tomber avec douceur, instantanément les yeux d’Azalée se remplirent de larme…il neigeait aussi…ce jour la :
_ Azalée tu pleure ! qu’est ce qui ne va pas ?
« et si je lui en parlait ? après tout je les trop longtemps gardait pour moi »
_ promet, de ne le dire à personne…s’il te plait et excuse moi si je ne peux pas entrer dans les détails…
Tohru la fit asseoir sur un rocher et lui sourit gentiment. Alors, doucement, sans évoquer les rêves Azalée lui apprit qu’un jour elle s’était réveillée avec la « mission » d’aider des personnes, seul son ami était dans la confidence, Robin. Et un jour s’était lui qu’il fallait sauvé, mais cette fois ci…elle ne put pas, il n’était même pas au courant…
Soudain tout s’éffaça autour de la jeune fille, Tohru, le potager, elle replongea dans son souvenir, son regard se voilà, les larmes coulant doucement sur ses joue rosit.
" _voici un an que ça s'est passé, expliqua Azalée, je ne savais pas comment faire pour l'aider...et j'ai tellement douter que...
_ Robin attend que fait tu ?
_ ne t’en fait pas j’arrive !
_ ne traverse pas comme ça !
_ mais tu as dit que tu allais m’apprendre quelque chose d’important…
Un silence, un camion passa et quand il repartit à toute vitesse :
_ ROBIN !
Azalée hurla, hurla au plus profond d'elle même, hurla sur la rue ou les passants pressaient le pas, les femmes cachant les yeux de leur enfants, certains prirent leur téléphone pour appeler une ambulance mais il était trop tard. Le spectacle restait gravé en Azalée comme si elle le voyait en marchant chaque jours, chaque minutes, chaque seconde.
De robin il ne restait qu’un semblant de corp, trempant dans une mare de sang, la tête séparé du tronc. La rue était envahie de cette rivière rouge, elle s’écoulait par les bouche d’égouts, descendait le long de la rue, trempa les jambes d’Azalée qui s’était approché. Elle s’accroupit comme si une voix lui guidait ce qu’elle devait faire :
_ petite, part viens on va voir un médecin, lui dit un homme
Mais la jeune fille refusa de se lever, son cœur avait arrêter de battre et elle ramassa le collier de Robin, entre la tête qui gardait une pose figé dans un sentiment de stupeur et le corp, inerte. La petite chaîne en or teinté de rouge avec pour unique pendentif, un cœur, offert par la jeune fille quand elle était petite :
« on restera amis pour toujours hein Azalée ? on s’oubliera pas et on se marira ! »
La voix confiante du petit garçon de 5 ans résonna à ses oreilles, l’ambulance arriva et Azalée fut emmener plus loin, loin de son ami elle ne protestait pas et se retrouva assise dans un camion de l’ambulance avec un infirmier à ses côté :
_ comment t’appelle tu ?
La petite fille ne répondit pas :
_ dit quelque chose, ce que tu veux…
Alors sa bouche s’ouvrit, et une petite voix, ferme, pleine de confiance, résonna dans la rue maintenant déserte :
_ on restera ami Robin, et on se marira promis. »
Ses yeux s’ouvrirent mais elle ne discerner pas grand chose. Tohru prit alors ses mains et lui parla d’une voix douce :
_ Hiro m’a dit quelque chose il n’y a pas si longtemps…que je pensais trop à ma mère et que je ne parlais pas de mon père…tu sais Azalée, les souvenirs sont la pour nous faire réfléchir mais pas pour avancer, pas pour vivre. Robin restera dans ton cœur, pour toujours, à jamais, et tu ne l’oubliera pas.
Les larme de la jeune fille cessèrent calmement, dans le calme de la forêt, sous la neige. Tohru lança alors d’une voix enjouée :
_ Tu sais quoi ? pour noël on pourrait inviter monsieur Hatori et Momiji ! on ira acheter leur cadeaux ensemble ?
Azalée leva ses yeux vers elle, se leva et sourit à son tour :
_ bien sur allez on rentre ils vont s’inquiéter !
« Tohru…ton passé c’est peut être ça ta force, tu dit des choses juste, tu prend sur tes erreurs et tes doutes pour en faire ta joie de vivre et ton énergie… »
Elles se mirent à courir.
Une chaîne en or vola autour du coup d’Azalée, un petit cœur brillant dans la faible lueur de décembre :
« on restera amis jusqu’au bout hein Azalée ? »

A SUIVRE…

Moi : waaa pour vous c’est peut être pas grand chose, mais pour moi j’était complétement dans mon texte en l’écrivant !
Kyo : c’était dégueulasse !
Moi : t’es obliger de dire ça ?
Kyo : bon vu que je veux partir vite je dit le prochain titre ?
Moi : ouai ! ta enfin compris !
/me se fait taper dessus
Kyo : « fêtes et traditions »
Moi : a bientôt ^^

Chap 13

fêtes et traditions


_ JOYEUX NOEL TOUT LE MONDE !
Momiji soma se trouvait devant la maison de Shigure, ce dernier venait d’ouvrir la porte et sursauta à la voix enjoué du lapin :
_ Momiji on dit ça à minuit, soupira Hatori
Habillé d’un costume sombre, il suivait son cousin, portant deux gros sacs avec lui. Tohru arriva, halertée par le bruit, suivit de Azalée. Cette dernière rayonnait, noël s’annonçait bien :
« résumons, je passe noël dans une super grande famille, super riche, super sympa avec des mecs hyper beaux…HOURRA ! la chance tourne enfin en ma faveur ! »
Momiji s’empressa de rentrer et salua toute sa famille en criant, Kyo essayait de se contrôler pour ne pas le frapper et Yuki lui répétait de faire moins de bruits :
_ MAIS C’EST NOELLLLL, je suis heureux qu’on passe cette fête tous ensemble ! comment ça va Tohru ? et toi Aza ? vous avez le sapin ? on peut le décorer !!!
Ils avaient en effet achetés un magnifique sapin qui trônait, splendide, au fond du salon. Sous une décision unanimes, ils décidèrent de le décorer tous ensemble avec Momiji. Le médecin s’assit a table avec Shigure et les deux hommes buvèrent du thé pendants que les « enfants » se battaient avec diverses choses, décoration, guirlandes, boules…
Momiji se mit sur la pointe des pied et essaya d’accrocher la guirlande mais glissa sur Tohru qui tomba sur Kyo, qui lui même poussa Azalée sur Yuki.
Hatori et Shigure les regardait en souriant en voyant un chat et un rat se battre dans leur chemise, Momiji s’étant tout de suite réfugier dans les bras de Tohru. Azalée se mit à rire aux éclat et aida Yuki et Kyo avant de les serrer dans ces bras :
_ ça va pas ? j’étouffe moi !!!! hurla Kyo en essayant de s’échapper mais en vain, Azalée tenait prise fermement
_ lâche nous Azalée, lui demanda Yuki en tentant de s’échapper de sa mains.
_ c’est plus fort que moi j’adore les animaux ! hurla leur amie, et puis vous êtes trop mignon comme ça !
Les deux garçon cessèrent de bouger et Kyo lui glissa discrètement :
_ pauvre idiote on est des êtres humains et tu nous dit ça comme ça ?
_ je peux pas m’en empêcher je le pense vraiment !
Elle l’est maintint encore quelques temps jusqu'à ce que Momiji reprenne forme humaine, Tohru se retourna d’un coup imitée par son amie qui lâcha prise le temps que les deux garçons se retransforment.
Ailleur chez Kagura soma, Rinne assise dans sa chambre relisait une lettre posé sur sa table. Kagura la prit par la main et la força à descendre pour réussir à afficher un sourire a sa cousine. Les mots écrits sur la lettre de Haru semblait résonner en Rinne comme si il était prés d’elle, comme avant :
« ne m’oublie pas, s’il te plait ne me laisse pas. Haru »

Azalée était en train de cuisiner avec Kyo et Tohru, Yuki mettait la table avec Momiji et Shiguré parlait avec Hatori. Le chat en voulait encore à Azalée de son comportement et cette dernière ne pouvait s’empêcher de s’excuser, elle se sentait bête :
« c’est vrai j’ai du les embêter…c’est énervant mais je les avaient jamais vu transformés…a part Kyo mais c’était juste un petit moment… »
_ pardon Kyo, dit elle pour la centième fois, je suis vraiment vraiment désoler et je comprenne que tu m’en veux !
Yuki arriva et la rassura :
_ t’en fait pas on a l’habitude, Kyo aime pas les contacts physiques c’est tout.
_ a bon ? s’étonna t-elle
Kyo se mit à crier que ce n’était pas vrai mais son information était fausse, en effet Momiji se jeta sur lui et le lapin se prit un grand coup sur la tête et se mit à pleurer bien fort dans toute la maison.
Après ces incidants en tout genre ils purent enfin passer à table, il était 21h30. Tohru et Azalée les servirent et ils se mirent à discuter de tout et de rien. Jamais la française n’avait passé un telle noël ! Les soma riaient aux éclats et Tohru souriait gaîment, Hatori se révéla beaucoup moins froid qu’aux premiers abords et Azalée en apprit plus sur ces amis. Shigure essayait de faire des blagues nulles ponctué par de sinique répliquent du médecins :
_ et il lui dit « je suis pas un chien ! » dit il un sourire charmeur aux lèvres
_ Shigure ta blague démarrait par un homme qui conduisait, soupira Hatori
Yuki et Kyo se désolèrent d’avoir un tel type dans leur famille, Momiji criait des « Pourquoi ? qu’est ce qui s’est passé ? » et Tohru disait à Shigure que sa blague était très drôle avec le sérieux d’un militaire :
« Il cache bien son jeu le Shigure…quel rôle joue t il dans sa famille ? je crois que je suis pas prête de le savoir ! »
Ils finirent le dîner dans une grande conversation quand Momiji dit en déprimant :
_ il reste encore 45 mn…et si on jouait à quelque chose avec Azalée ?
_ pardon ? demanda l’intéresser, que veut tu dire ?
_ devine le signe de Hatori et quand tu auras pensée à quelque chose on te jette sur lui !
Un grand silence suivit sa réplique et Momiji se fit réprimander par Hatori qui lança avec un air très froid :
_ même pas dans tes rêves !
_ mais c’est une excelente idée ! viens par ici ma petite fleur printanière !s’exclama Shigure
« il a trop bu de sake le pauvre est complètement atteint ! »
Mais Shigure la tira par le bras et lança la jeune file sur Hatori qui tomba sur Tohru qui essayer de la rattraper. Tous le monde se retrouva dans le problème et quand l’immense nuage se dissipa Tohru et Azalée se retrouvait assise au milieu d’un véritable zoo :
_ euh…un hippocampe ? c’est quoi ce délire ? hurla Azalée, faut que je revois mes signes du zodiaque !
Le chien se mit à rire en montrant les crocs Kyo et Yuki complétement desesperés avaient refuser toute tentative pour le faire taire. Momiji lui sauta sur les genoux de Azalée.
Après avoir remis un peu d’ordre et quand tout le monde fut redevenus normal c’était minuit. Momiji se jeta sur les cadeaux et les déposa aux pieds du sapin imité par Tohru et la française puis tout le monde se retrouva devant un tas de paquets à déballer :
_ « pour Kyo de Kagura » lut le chat en tremblant, pourquoi est ce que je dois l’ouvrir ? il doit y avoir une bombe !
Il ouvrit quand même le paquet au moment ou Tohru ouvrait celui de Yuki :
_ une…chaîne ? elle est jolie…, murmurra Kyo les yeux ronds
« waah quelle gentille attention de la part de cette Kagura…non, SI Kyo rougit ! INCROYABLE ! »
En effet le chat était rouge et ne savait comment réagir, il se décida et demanda à Azalée si elle pouvait lui mettre, ce que la fille accepta avec un grand sourire :
_ comme c’est jolie ! hurla Tohru en découvrant le bracelet, merci Yuki il est…superbe
A ses pieds se trouvait divers cadeaux, le livre de cuisine de Kyo, les tonnes de peluches de Momiji et tout les autres. Mais ce petit bracelet la toucha plus que tout. Elle bégaya un « merci » et l’enfila rapidement et precaussionesement. Kyo ne l’avais même pas remarquer et commençait à enlever les papiers qui jonchait le sol. La fête était terminé, ils restérent éveillés un moment puis, harassé, allérent se coucher.
Tohru montra sa chambre à Azalée qui se mit en pyjama pendant que son amie était partie voir « un truc » :
« ça cache quelque chose…allez écoutons au mur ! ya une porte à côté on sait jamais… »
Un cri retentit venant du bas , la française s’inquiéta mais elle reconnut rapidement la voix de Kyo :
_ POUSSE TOI LE LAPIN TU PREND TOUTE LA PLACE !
Et oui, Momiji dormait avec Kyo au grand desespoir de ce dernier, Hatori dormait dans le salon après avoir catégoriquement refusé la chambre que Shigure lui proposait et qui était celle du chien. Kyo se tut et Azalée perçut la voix de Tohru et fonça à nouveau contre le mur, bien sur elle en avait perdue la moitié mais… :
_ moi aussi, murmurrait Tohru, depuis longtemps…je crois.
Azalée ne perçut que d’infime bruits et lorsqu’elle entendit la porte d’à côté se fermait elle fonça sous ses couvertures et fit mine de dormir. Tohru rentra peu après, tout sourire.

1er Janvier, comme prévus les Soma se préparèrent à se rendre dans leur résidence, Azalée avait peur pour eux, mais Yuki l’a rassura, il est facile d’éviter Akito avec tout ce monde. Elle leur sourit et les salua de la mains avec Tohru, puis les garçons disparurent à un angle de rue, tout redevint calme. Elle rentrérent et discutérent gaiement, se fêtant la nouvelle année à l’avance ne sachant que faire. Il leur restait un quart d’heure à attendre et les sujets de conversations étaient épuisés. La présence des SOMA se faisait lourdement sentir, et trois jours comme ça !
« j’ai peut être une idée mais… »
_ dit Tohru, si on allait à leur résidence ! on rentre en douce et on les rejoints !
_ QUOI ? non on ne peut pas faire ça ! c’est réservés aux membres de la famille et puis ça ne se fait pas !
Azalée était prête a tout pour arriver a ses fin et lança la réplique ultime :
_ 3 jours sans bruits on va s’ennuyer…sans Kyo, Shigure…et Yuki.
C’est ainsi qu’elles se retrouvèrent 5min plus tard devant le portail, Azalée voulu ouvrir mais c’était fermé, Tohru lui montra alors un endroit à peu prés pratiquable et la française y grimpa parfaitement bien. Elle tendit la mains vers Tohru et l’aida à monter sur la branche de l’arbre dérriére le mur. Cela fait, elle decendirent lentement, elles y étaient, elles étaient chez les Soma. Dans la maison principal il y avait énormément de bruits, s’avançant à pas de loup elle aperçurent une fenêtre et regardérent. Ce qu’elle virent les frappa, au moins 200 personnes dans une salle immense, de la musique, un buffet incroyable remplit de mets de toute sortes et tous ces gens qui dansaient ! Elle ne mirent pas longtemps à repérer leur amis, les principaux maudits restaient à l’écart des autres : Yuki, Kyo, Momiji, Hatsuharu et deux filles que Azalée n’avait jamais vue. Tohru lui désigna la petite brunette et lui indiqua son nom, Kagura soma, amoureuse de Kyo depuis son enfance, et la fille aux cheveux noirs s’appelait Rinne mais Tohru ne savait pas grand chose d’elle :
« c’est de Kagura que vient la chaîne de Kyo !…c’est trop mignon ! »
Kagura s’accrochait fermement au bras de Kyo et discutait en même temps avec Rinne complétement à l’opposé de Haru, parlant avec Yuki et Momiji. Les deux filles regardérent la fête un moment jusqu'à ce qu’un bruit sourd se fassent entendre, des cloches, annonçant minuit. Pendant que toute la famille se fêtait la nouvelle année, sautant dans les bras de leur proche, emmenant leur amis intime sous du gui, les maudits regagnérent une piéce au fond de la salle. Les deux adolecentes firent rapidement le tour du manoir, la curiosité l’emportant sur la prudence.
Kyo avançait doucement, pour la premiére il était autorisé à venir participer à cette fête privé, il suivait ses cousins le long d’un couloir et n’osait pas dire un mot, il avait peur, il ne savait pas quoi faire arriver la bas. La gorge sèche il s’arréta d’un coup, ses cousins et cousines se retournérent :
_ je ne peux, dit Kyo en baissant la tête, pourquoi est ce que j’irais moi ?
Shigure prit la parole d’un air très sérieux :
_ Akito l’a décider et que les raisons soit bonnes ou mauvaises tu doit t’y plier.
Le chat hôchat lentement la tête et reprit la marche, mais plus doucement, se laissant distancer. Le couloir si long n’en finissait pas , il ne remarqua pas que quelqu’un s’était glissé à ses côté :
_ t’inquiéte pas, tu doit juste regardait danser les autres et c’est tout.
Kyo sursauta et vit Yuki, un instant il eu envi de lui lançait une réplique cinglante, lui dire qu’il pouvait danser lui aussi, qu’il s’en fichait d’Akito. Mais une chose en son cousin le frappa, les yeux à demi clos et la respiration presque saccadé de Yuki lui faisait encore plus peur, il regarda le reste de sa famille et ne vit que des visage ferme et dur :
_ vous êtes bizarre…dit il a Yuki
_ normal, revenir chaque année ce n’est pas facile…surtout que beaucoup d’entre nous connaissent ce passage…
Kyo regarda et remarqua quelques porte s’étendant sur les côté, il était dans la partie la plus sombre du manoir, la propriété d’Akito s’il ne se trompait pas…
_ on n’a dépassaient la chambre d’Akito ? demanda t-il avide d’en apprendre d’avantage
_ non on va y arriver, répondit son cousin
_ pourquoi tu dit que beaucoup connaissent ce passage ?
Yuki regarda Kyo dans les yeux et compris qu’il était sincére…il lui répondit alors le cœur lourd :
_ Hatori à éffacer la mémoire de Kana, Momiji à perdu sa mére, Shigure s’y rend très souvent pour je sais qu’elle raisons, Rinne y a été battu, Kisa aussi…tous ça c’est passé dans ce couloir.
Ils rentrérent par une porte, certains étant partit enfiler une tenue de cérémonie. Kyo, Yuki et Kagura allérent s’asseoir, et attendirent :
_ et toi ? murmurra Kyo.
Il n’était pas dupe, Yuki avait eu son probléme ici, c’était sur. Kyo allait enfin savoir ce qu’avait son cousin pendant 5 jours il en était sur :
_ j’ai été enfermé, 5 ans…murmurra Yuki
Les yeux de Kyo s’aggrandirent mais il ne put dire un mot, Sa famille était revenu et tout ceux qui étaient habillé se mirent à danser. Deux dansant plus que les autres vu que c’était leur tour. Le chat se sentit triste pendant cette cérémonie, elle avait un effet étrange sur lui. Ses pires souvenir remontant à sa mémoire, les larmes lui arrivérent rapidement aux yeux et coulérent sans qu’il ne s’en rende compte. Ne restait plus sur la « scéne » que les signes célébrant le fin et le début de l’année. Les autres revinrent s’asseoir parmi eux, Kyo tourna la tête pour ne plus voir cette danse infernale mais elle le suivait, il ne voyait rien d’autre que les mouvements gracieux de la chorégraphie. Il pleura, ne pouvant retenir ses larmes.
La danse se fini et Kyo battit plusieurs fois des paupières, il s‘était endormi, dans sa torpeur il s’était endormi, rêvant de ses souvenirs les plus noir. Il essuya les larmes qui avaient commençaient à sécher sur ses joue. Yuki arriva avec un torchon humide et le lui donna. Le chat se dépécha de s’éssuyer les yeux mais n’osa pas demander d’explication. Tout le monde le regarda et voyant qu’il allait mieux, ouvrirent la porte de la sortit tant espérer. Seulement un homme se trouvait devant, Akito soma, un fouet à la mains, les yeux éxorbités dans un sentiments de haine intense. Personne ne bougeaient, leur désir était d’arrêter Akito mais leur volonté les obligés à regarder. Au pied du chef de famille se trouvait deux corps meurtris, deux filles évanouis par la douleur procurer par les multiples coup de fouet. Azalée et Tohru n’était quasiment pas reconaissable, leur cheveux avaient était tiré et retomber en désordre sur leur figure en sang. Mais ce n’était rien en comparaisons de leur corps, les habits déchiré à de multiples endroits par les coup répétités d’Akito. Personne ne bougeaient, les plais ouverte saignaient abondamment et les deux filles gémissaient de douleur dans un sommeil pleins de souffrance…
_maman, murmurrait Tohru
_ Robin…soupira Azalée dans un souffle


A SUIVRE…

Moi : j’avait promis un chapitre gaie mais…ç’aurait pas été drôle sinon !
Rinne : t’es vraiment nulle ! quand on promet quelque chose on le fait jusqu’au bout !
Moi : ouai bon alors je précise que cette idée de « danse maléfique du nouvel an » sort de mon petit cerveau et que rien n’est tiré d’un quelquonque spoils existant.
Rinne : je crois qu’ils savaient…
Moi : bon tu donne le prochain titre Rinne ?
Rinne : « 3 jours au manoir, la douleur des souvenirs enfouis »

Chap 14
3 jours au manoir, quand les souvenirs ressurgissent

Azalée leva une paupière lourde, distingua de la lumière mais ne bougea pas, sa nuque lui faisait mal ,elle se sentait sale. Et puis ses voix ! Si elles voulaient se taire elle pourrait se rendormir, oublier la douleur…disparaître…
_ Elle a bougé !
« Mais faite les taire ! »
_ Azalée il faut que tu te réveilles…
« Mais non, je veux revoir Robin, je le vois devant moi… »
Elle leva le bras et sentit instantanément une douleur tout le long, elle sentit qu’on le lui faisait rabaisser doucement :
_ Surtout ne bouge pas, calme toi…
Mais la jeune fille ne voulait pas, pourtant cette douleur, elle se sentait étrangement vide, elle avait l’impression de s’évader. Robin se dessinait nettement devant ses paupières fermées, mais ces voix, impossible de les replacer dans sa mémoire, déjà, mettre ses idées en place était devenue difficile…à chaque instant elle entendait la petite voix du garçon lui rappelant divers souvenirs du passé…allant de plus en plus en avant dans le temps…sa voix s’éteignait, comme la flamme d’une bougie…cette dernière phrase, ce cri…
_ ROBIN !
Elle s’était redressée vivement faisant sursauter les garçons autour d’elles, sans y prêter attention elle sortit du lit ou elle était allongée et se dirigea vers la porte. Sa tête lui tourna et elle du s’arrêter, rapidement soutenue par deux garçons qui l’aidèrent à se rasseoir. Azalée protesta faiblement, Hatori lui mit un liquide dans la bouche qui lui fit le plus grand bien. Tout son corps la faisait souffrir, chaque contraction se faisait sentir…mais son esprit devenait un peu moins flou, les contours de souvenirs se dessinèrent lentement, mélangés au passé encore fumant de douleur et de tristesse, tristesse qui lui arracha des larmes. Pleurer en public était chose rare chez la jeune fille mais cela lui semblait normal, l’accident de son ami était-il si proche ? Elle aurait cure que cela ne s’était passé que depuis 2 jours…
Après plusieurs minutes, elle put parler correctement et s’excusa auprès des garçons, se sentant gênée par son attitude, Kyo le lui reprocha fortement :
_ ESPECE D'IDIOTE CA VOUS APPORTAIT QUOI DE VENIR?
_ S'il te plait arrête de crier...
_ JE CRIERAIS SI JE VEUX, C'EST DANGEREUX VOUS AVEZ VU DANS QUEL ETAT VOUS ETES MAINTENANT?
_Que s'est il passé?
_ J'en sais rien!
Azalée regarda le chat, sa voix s'était calmée et il semblait plus triste, comme si crier était une façon de ne pas montrer ce qu'il avait vu, alors aurait-il eu l'impression lui aussi de revivre le plus dur passage de sa vie?
Yuki arriva et enleva le bandage au bras d'Azalée, déjà teinté de rouge. Kyo lui remit en place avec le nouveau que son cousin venait d'apporter:
_ Le pire, dit Yuki, c'est que vous êtes toutes deux coincées au manoir avec nous et ce ne sera pas gai, oh non ça je vous le garantit ça ne l'a jamais été et même votre présence ne changera rien.
_ Que se passera-t-il? demanda Kyo
_ Vivre et revivre ses pires souvenirs pendant trois jours, on ne se verra pas beaucoup...
Azalée le regarda et réalisa soudain :
_ TOHRU ? C’est ma faute où est-elle ?
Yuki lui montra le lit d’a côté, elle n’avait pas remarqué, l’état de Tohru était lamentable. Azalée jugea que le sien ne devait pas être fameux aussi, son amie tremblait fortement, en plein cauchemar apparemment.
Yuki partit juste après, il avait raison, elle ne parlerait pas à grand monde de la famille Soma…ni à Tohru…
Une servante la conduisit à une chambre luxueuse, un peu intimidée devant tant de richesses, elle se décida pourtant rapidement à prendre une douche. Prenant soin d’enlever délicatement les bandes recouvrant ses plaies et entreprit de se laver les cheveux. Elle poussa un cri en voyant du sang couler avec l’eau, son sang. Ses cheveux semblaient avoirs pris une teinte rouge, le liquide les ayant collé les uns aux autres et la jeune passa près d’une demi-heure sous l’eau pour tout enlever. Ses pansements remis en place, elle s’allongea sur son lit. A ce moment tout ses souvenirs en compagnie de Robin lui revinrent en mémoire, tamponnant les bord de sa tête à grands coups. Elle se mit les mains sur ses oreilles mais la voix légèrement aigue de l’enfant atteignait directement son esprit. Divers rappels du passé, la mère de l’enfant leur demandant de faire attention avant d’aller au parc et eux criant en cœur qu’ils n’étaient pas des bébés.
Comment faire pour ne plus entendre ces voix ? Comment faire pour ne plus le voir ? Son visage souriant lui apparaissait tel un fantôme, plus vivant que jamais, lui tendant la main, sa petite main d’enfant…
« Tu sais, je suis content de t’avoir rencontrée Azalée…
Pourquoi tu me dis ça comme ça ? En plus on se connaît depuis 3 mois seulement !
Oui mais tu sais, j’ai déjà l’impression d’être assez proche de t… »
_ TOC TOC
Azalée se leva d’un coup, ses membres craquèrent douloureusement et elle ne put réprimer une grimace, quelqu’un venait de frapper a la porte, attendant un ordre pour entrer :
_ Euh…oui ?
Une servante entra et lui apporta un plateau ainsi qu’une pile de vêtements :
_ De la part de monsieur Soma mademoiselle
Elle s’inclina, déposa rapidement tout son bazar et s’apprêta à repartir :
_ Attendez ! y en a 25 des Soma c’est qui ?
Mais la porte venait de se refermer…Azalée prit les vêtements. Ils étaient tous très élégants, des kimonos et d’autres un peu plus simples si trouvaient…malheureusement aucun pantalon, juste des jupes et des robes. La jeune n’aimant pas trop ces vêtement féminins grimaça gentiment, oubliant Robin un instant, elle prit une lettre se trouvant avec le plateau, elle l’ouvrit délicatement :
« Azalée, désolé d’être vite parti tout à l’heure mais sache que je comprend, comme tout le monde ici, ce que tu ressens en ce moment. J’ai fait exprès de te mettre des robes et des jupes car tu n’aimes pas et j’ai pensé que tu oublierais un peu tes mauvais souvenirs avec ça…ai-je raison ?
Moi aussi écrire cette lettre me fait un peu de bien mais je me trouve…disons « à côté » de mon souvenir alors je ne le vis pas très bien. Si tu veux aller dehors ne te gênes pas ! Si tu en as le courage vas y ça ne peut te faire que du bien.
Bonne chance
Yuki »
Azalée serra la lettre et le remercia silencieusement en lui souhaitant très fort beaucoup de chance. Elle mangea un peu, les mets étaient délicieux mais le goût avait du mal à passer, comment des souvenirs pouvaient-ils être aussi « violents » ? Elle tenta de se réfugier à côté d’eux en leur demandant d’arrêter mais ils la prenaient de toute part et Azalée finit par terre, les mains sur la tête avec l’envie de crier toutes ses peurs et ses craintes. Se relevant péniblement elle décida de sortir. Mais là aussi, une chose l’en empêchait, une envie de fuir, d’abandonner toute envie de vivre. Ne pouvant se résoudre a passer la porte elle retourna sur son lit et sombra dans ses souvenirs. Chercha les plus doux, et s’y réfugia, au côté de Robin…comme avant.

Kyo ne savait comment s’y prendre, il ne pouvait pas dormir et pourtant ses yeux se fermaient seuls. Il n’était pas craintif habituellement mais là, là c’était plus fort que lui. Revoyant en boucle l’enterrement funeste de sa mère, les gens le regardant de travers, et lui, dont les larmes ne coulaient pas. Il ne pouvait pas se sentir coupable malgré tout, il ne voulait pas craquer devant tout ces gens qui pensaient à lui de façon horrible, devant ses gens qui souhaitaient sa mort :
« Tu l’a tué ! Tu as tué ta mère mon épouse…tu n’es pas mon fils SALE MONSTRE ! PLEURE QU’ATTENDS-TU PLEURE ! Tu ne peux faire que ça maintenant ! Tes larmes ne soulageraient rien ! Mais cela enlèverait ton air de supériorité ! Tu es heureux hein maintenant ? Sache que tu n’as pas intérêt à te présenter devant moi…JAMAIS ! »
Son père lui avait tourné le dos et c’était la dernière fois qu’il le voyait…la dernière, mais là devait arriver maître Kasuma, Kyo espérait, plongé dans ses souvenir qui le torturaient, que son maître viendrait de nouveau le chercher, revivre cet instant de bonheur où un adulte lui disait s’inquiéter pour lui. Mais le souvenir s’arrêtait là, et son maître ne venait pas, son passé reprenait encore, lui brisant les tympans. Il remarqua finalement le repas déposé par une servante, il n’avait pas faim mais un papier attira son attention…une lettre.
Se levant péniblement il la lut :
« Eh Kyo ! J’espère que tu n’es pas en train de te tuer hein ? Bon pour toi si tu veux j’ai un conseil qui te fera passer le temps plus vite…si tu veux bien le suivre mais ça c’est toi qui décide…je ne connais pas ton passé et je ne sais pas ce qui te fait souffrir en ce moment, mais essaie de penser a maître Kasuma. Essaie tu verras au moins cela te fera penser à autre chose.
Yuki. »
Le chat relut cette lettre plusieurs fois, se sentant enfin un peu calme depuis la danse.

En écrivant ses lettres, Yuki arrivait un peu à oublier l’endroit ou il se trouvait…mais dès qu’il eu fini, il se sentit vidé. Complètement écrasé par son passé comme chaque année. La voix d’Akito perçait ses oreilles de paroles malveillantes, ses blessures semblaient se rouvrir. Il pouvait ressentir chaque coup qui lui avait été infligé dans le passé, le flot de paroles de son chef de famille revenait sans cesse. Il voulait garder les yeux ouverts mais rien n’y faisait, il voulait trouver une chose a laquelle se rattacher, un souvenir heureux qu’importe lequel, mais ne voyait pas le temps de chercher que d’autres souvenirs surgissaient du néant de son esprit. Complètement perdu il s’accroupit dans un angle de mur , à l’opposé de la porte comme avant. Cette pièce comportait une fenêtre, pas comme celle à côté ou il avait vécu proscrit 5 ans, mais minuscule, il avait pris la chambre chez Shiguré où la fenêtre était la plus grande pour ne plus se sentir désemparé…oui, son arrivé chez son cousin, voilà le souvenir…qu’il cherchait.
Il essaya de se concentrer mais, ses forces épuisées, s’endormit contre le mur.

Le médecin ne pouvait détacher son regard de la photos de Kana, il était sûrement, avec Shigure et Ayame, celui qui côtoyait le plus Akito, et donc il pouvait contrôler cette vague de souvenirs avec sa bien-aimé qui lui arrivait au cerveau. Mais pourtant cette photo, il ne la quittait pas des yeux, rêvant de sa rencontre. Comme un conte de fée où la princesse reste avec son prince, sauf que Kana, disparue à jamais. Et ce n’était qu’à lui même, qu’il devait s’en vouloir.

Haru restait dans sa chambre, à repenser à Rinne. Comme une sorte de défi, Akito avait placé leur chambre côte à côte…Le souvenir de son amie baignant dans son sang lui hantait l’esprit. Il était venu chaque jour à l’hôpital et puis :
« Je n’ai plus besoin de toi ! Va-t’en j’en ai marre maintenant ! »
Pourquoi…
Rinne revoyait la scène de son point de vue…serrant la lettre d’Haru dans son poing. Elle ne souhaitait que son bonheur, si elle restait avec lui il finirait par se faire tuer par Akito…elle avait tout fait pour s ‘éloigner et pourtant…cette lettre. Elle sentit les larmes couler lentement…

- Aza ! Quelle surprise ! Je pensais être seul à sortir !
La surprise de la jeune fille à voir le lapin fut partagée par ce dernier. Trouvant enfin le courage de sortir, elle s’était baladée jusqu'à entendre un son de violon, s’était donc Momiji…
Ils discutèrent un moment, Azalée l’interrogea soudain sur ce don pour le violon :
_ Je le tiens de ma mère, dit-il, c’est une très bonne violoniste !
_ Et ta mère elle sait que tu es ici ? Pourquoi ne vient-elle pas ?
_ Ma mère…ne sait plus que j’existe.
Azalée se sentit glacée jusqu’aux os…elle écouta l’histoire de cette femme, refusant un enfant différent des autres, une femme qui supplia à quelqu’un d’enlever cet enfant de sa mémoire :
_ Hatori peut faire…ça ?
>
_ tu sais, j'espère qu'un jour je pourrais parler à Momo...
Azalée regarda le regard du lapin, d'habitude rieur il était extrêmement sérieux...Momo, sa petite soeur qui ne le connaissait pas, sa dernière chance:
_ Est ce que ce serait...un rêve? Demanda-t-elle
_ C'est mon souhait le plus cher, Aza s'il te plait, tu en as déjà aidé beaucoup mais pourrais-tu...faire en sorte que mon souhait se réalise?
_ Euh...je
_ Moi je vais prier pour toi, car malgré les souffrances que tu as dans ton coeur tu es comme Tohru, tu souris et tu nous acceptes tels que nous sommes et ça c'est important, oui, je vais prier pour toi Aza!
Azalée lui sourit, il était sûrement le plus mature de tous les maudits:
_moi aussi je prierais Momiji, je prierais pour toi je te le promets...

_ OUAH QUELLE BONHEUR !
Tout le monde était enfin sorti du manoir, directement après avoir franchi l’immense portail, tout le monde retrouvait sa joie et son énergie. Azalée criait comme une folle, imitée par Momiji. Kyo se plaignait et les autres riaient gaiement.
Quand ils se séparèrent, Azalée regarda ses amis partir au loin :
« Akito doit arrêter…ils ne méritent que de vivre heureux ! »
Elle serra le collier de Robin et partie en direction de la pension.

Chap 15

massacre

Azalée regardait par sa fenêtre avec un air mélancolique sur le visage, l’école avait repris, mais sa bonne humeur s’était maintenue encore une bonne semaine. Comme tout lui semblait loin à présent…pourtant c’était une chose qui ne s’effaçait pas à la légère, la douleur avait disparue mais le souvenir demeurait… ancré à jamais dans le cœur et la mémoire de la jeune fille. Elle se replongea dans ces questions pour l’école et la journée passa lentement, le soir venue, vers 19h30, Azalée s’étira longuement. Elle regarda le ciel qui commençait à se noircir doucement et décida de sortir. La jeune fille traversa des rue qui commençaient rapidement à se déserter, les voitures formaient d’important embouteillages, tous le monde voulaient rentrer chez soi revoir sa famille essayer d’oublier que des le lendemain tout repartirais de zéro…Azalée sourit en pensant à ses pauvres gens qui n’avaient pas une minutes de repos et se dit que finalement le lycée n’était pas si mal. Elle traversa un pont, la lycéenne n’avait pas encore repérer cette rue et décida de l’explorer. Elle leva le bras, poing sérré et s’écria :
_ A l’aventure !
Les gens regardèrent cette étrange jeune fille à travers leur vitres, souriérent ou rigolèrent en remarquant qu’elle portait un vieux tee-shirt, un jogging et des basket. Rien de très seyant, et elle se faisait remarquer. « les jeunes de nos jours » pensaient il dans leur embouteillage, coincé en voitures, leur costumes cravates froissé par la journées et la transpiration qui faisait coller les vêtements à la peau.
Azalée remarqua le regard des automobiliste, elle sourit, leur fit signe et courut pour se débarrasser de ses horribles bruits de klaxons qui commençait sérieusement à lui casser les oreilles.
Elle arriva devant un grand immeuble, les fenêtre en vitre donnaient, avec les lampadaires, un très bel effet. La jeune fille s’approcha de la porte d’entrée :
« c’est quoi ici ? »
La porte coulissante s’ouvrit et ,poussée par la curiosité, Azalée entra. Tout était richement décoré, celui à qui l’immeuble appartenait était sûrement très riche. Mais elle n’avait vue aucunes plaques :
_ Je m’en occupe !!!
Azalée sursauta, une voix venait de retentir de l’étage au dessus, une voix famillière. Elle grimpa l’escalier qui se trouvait devant elle et arriva à un couloir :
_ Tohru, s’écria t-elle
Cette dernière se retourna :
_ Azalée ! que fait tu ici ?
Son amie lui parla de sa promenade nocturne et apprit par la suite que l’immeuble ou elles se trouvaient était le lieu de travail de Tohru. Elles discutèrent en travaillant jusqu’à entendre un bruit d’ascenseur, en se retournant elle virent la porte s’ouvrir et une petite fille apparut.
Elle avait des cheveux blonds, ondulée, des yeux bleu typiquement allemands. En regardant Tohru Azalée compris immédiatement que la jeune fille connaissait cette enfant. Azalée s’approcha timidement de la fillette qui recula instantanément d’un pas, elle lui rappelait Momiji…
_ qui es tu ? ne t’inquiète pas je ne te ferais rien.
_ je suis Momo soma, enchanté...
Sa voix était à peine audible,c’était bien la sœur de Momiji, d'après le garçon c'était la timidité qui bloquée sa voix...mais que faisait elle seule dans ce couloirs. Si Tohru et Azalée n'était pas la que ce serait il passé?
_ que fait tu la? demanda Azalée
La petite fille ne répondit pas, rouge, elle baissa la tête. Tohru s'accroupit et reposa la question en souriant. Momo, qui l'avait déjà vu, s'adressa aux jeunes filles d'une petite voix déterminée:
_ je voulais juste savoir si mon frère était la.
Les deux adolescentes reculèrent d’un pas, toutes d’eux savaient que Momo n’était pas censé connaître l’éxistence de Momiji mais si…si quelqu’un lui en avait parlé après tout ? c’était la mère qui avait la mémoire effacée pas la petite qui, d’ailleur, était née bien après. Tohru reposa la question a Momo qui redonna la même réponse :
_ comment s’appelle ton frère ? demanda Azalée
_mon frère c’est Momiji, dit elle, il vient ici parfois si il est pas la je vais voir papa. Au revoir
La fillette les salua et partie dans les couloirs menant au bureau du directeur :
_ le directeur est le père de Momiji ?
_ oui, répondit Tohru, mais que fait elle la ?qui lui à parlée de Momiji ?
_je ne sais pas, admis Azalée
A la fin du travail de Tohru, les deux filles descendirent. Elles n’avaient pas revues la petite Momo mais ne s’inquiétaient pas, d’après Tohru la petite fille avait bel et bien emprunté l’escalier menant au bureau de son père. Elles sortirent et, sur la rue d’en face, Azalée vit Yuki :
_ oh la princesse se fait ramener par le prince charmant ? ricana t-elle, Kyo vient aussi parfois ?
Tohru piqua un rouge devant cette réflèxion et balbutia que Kyo était déjà venu la chercher et que ça ne voulait rien dire. Yuki proposa à Azalée de la raccompagner aussi mais cette dernière refusa poliment et retourna chez elle en regardant la silhouettes des deux adolescents s’éloigner de plus en plus. Elle aurait peut être eu cette attitude avec Robin aussi si il avait grandit…elle sourit tristement et s’en alla.
Bip !Bip !Bip !Bi* le réveil ne continua pas son vacarme plus longtemps. S’extirpant de ces draps entremélés, Azalée sortit de son lit. Sur le coup, au moment de l’arrêter, le réveil était tombé par terre et s’était complètement fracassé…Azalée le regarda d’un air abrutie quelques minutes :
_ oh non ! réagit elle enfin, mince même ici avec la table de nuit plus grande j’arrive à péter mon réveil mais c’est quoi ce malheur ? bon bah j’ai plus qu’a en acheter un autre…
Elle prit rapidement son petit déjeuner, empoigna son sac et son panier repas avant de sortir de sa maison. Elle salua la responsable de la pension et se dirigea vers le lycée un grand sourire au lèvre. Le temps s’annonçait superbe, juste quelques nuage cachant un peu le soleil en diffusant une ombre chaude et rassurante sur la rue déjà pleine de monde.
_ SALUT AZA !
_ bonjour Momiji, tu viens d’arriver ? ou sont les autres ?
Le lapin avait carrément bondit devant la jeune fille en affichant ce regard si malicieux qui lui était propre il parla d’une voix gillerette qui faisait rire tous ces camarades :
_ Haru est partit se balladé et les autres sont en retard je crois ! tu sais quoi Aza ??? mon vœux s’est réalisé !
Azalée se souvenait parfaitement de ce soir étoilé ou le garçon lui avait parlé de sa sœur et de son passé…
_ ma sœur ! Momo ! papa a dit qu’elle était venue pour moi ! je me suis arrangé et je pourrais lui parler ce week end ! c’est dans 2 jours !!!! je suis si excité…et si triste aussi
La voix de Momiji avait d’un seul coup changé, ce n’était plus le petit garçon gaie et braillard que l’on voyait, ou plutôt entendait, d’habitude mais un enfant fragile, possédant un passé lourd et chargé de tristesse de doute mais aussi de peur et de solitude. La jeune fille comprit de quoi il parlait, Momo savait que c’était son frère, l’avait croisé dans les couloir de l’immeuble de son père. Mais cachait cela à sa mère, une enfant si jeune, et Momiji se sentait coupable. Pour une si petite fille, mentir à sa mère était dur, sûrement parfois difficile à supporter. Si Momo en parlait, sa mère risquait de se rappeler de son fils, et sa folie lui reprendrait. Et ça, quelqu’un en avait parler à cette enfant.
Durant les instant qui précédaient les retrouvailles entre le frère et la sœur, Momiji semblait plus inquiet, ils n’étaient pas tous au courant. Juste Haru, Yuki, Azalée, Tohru, Kyo, Kisa et Hiro…les autres membres de la famille n’avaient pas été mis dans la confidence…Ni les servantes, ni les adultes maudits et surtout pas Akito. Yuki s’inquiétait beaucoup de ça, et Momiji dut lui promettre d’être prudent. Kyo ralait en disant que ce n’était pas une raison pour Akito de se mettre en colère et Haru répliquait au chat que, justement, s’en était une de taille :
_ Akito n’est pas du genre à aimer les « happy end » Kyo, lui dit il vendredi soir en rentrant
_ Mais mince ! ça concerne rien de bien spéciale !
_les intention d’Akito sont obscure... dit Haru mystérieusement, comme les esprits de la forêts une fois ils m’on ammenés une fleur…
Tous le monde s’arrêta et ils regardèrent tous Haru avant d’éclater de rire. Décidement, s’en le vouloir il avait considérablement détendu l’atmosphère ! Avant de se séparer et Momiji sortit un objet de son sac et le tendit à Azalée, c’était un gros réveil en forme de lapin :
_ Tiens Aza ! tu m’as dit que le tien était cassé non ?
« c’est vrai que celui que j’ai pris ce matin est recassé…je suis vraiment une idiote »
_merci beaucoup Momiji !
Le lapin lui sourit et, sur un dernier au revoir, ils rentrèrent chacun chez eux.
Lundi, au lycée à l’heure du déjeuner, les Soma se reposés sur le toit en mangeant tranquillement leur bentô…mais ils étaient inquiets, très inquiets, Momiji devait les rejoindre pour le midi et il n’était toujours pas là… Après leur repas, le cœur chargé d’angoisse, ils allèrent à l’accueil pour demander ou le garçon était partit. D’après Haru, Momiji avait reçu un appel et devait revenir vers midi. Haru avait assisté avec un sourire au sauts joyeux de son cousin après son samedi, il l’avait raconté aux autres le midi et tous voulaient voir Momiji pour le féliciter. Une surveillante, après s’être assuré que la grande partit des ado étaient de la même famille que Momiji, leur dit enfin d’ou venait l’appel :
_ c’était une demande, ce garçon devait rentrer chez lui un certain Akito devait lui parler…qu’est ce que vous avez? allez partez vous ne pouvez plus êtres là !
Tétanisés, ils restèrent devant le bureau à fixer la surveillantes de leur yeux qui avaient perdu tout sentiment, leur cœur était glacé. Ils ne pouvait plus faire le moindre gestes, Momiji était chez Akito, ce qu’ils redoutaient le plus venait d’arriver. Après les avoir gronder plusieurs fois de suite la surveillante les secoua pour les faire sortir. Ils se regardèrent et un seul coup d’oeil suffit pour faire passer un commun message... « direction le manoir ! »
Ils eurent du mal à sortir sans se faire voir mais une fois le portail passé tout devint plus simple, leur sac pesant sur leur épaules, ils coururent le plus vite possible en direction de la demeure Soma. Yuki arriva le premier devant le portail et frappa rapidement, immédiatement une servante lui ouvrit, les autres arrivèrent juste à cet instant :
_ Monsieur Yuki quel joie de vous revoir.
Chez le garçon ce sentiment n’était guère présent, il agressa presque la servante en lui demandant :
_ ou est Akito ?
_ dans…dans sa chambre monsieur, trembla la femme
Haru n’hésita pas et passa devant son cousin, les autres suivivrent, la demeure principal était très sombre et les portes s’étendaient sur plusieurs étages, toute identiques. Le cœur battant, ils se regardèrent chacun espérant voir la quelquonque assurance de l’un ou l’une d’entre eux sur l’endroit ou se rendre. Kyo ne connaissait pas assez cette partie du manoir pour le savoir, Kisa et Hiro ne venait jamais la. Seul restait Yuki et Haru…le bœuf dit qu’il n’en savait rien et son cousin, après un rapide coup d’oeil, pris rapidement les devants. Il laissa son sac, vite imité par ses amis, et monta au dernier étage puis tourna sur plusieurs couloir jusqu'à ce retrouver à celui de la fête du nouvel an :
_ Bien joué ! lui dit Kyo, maintenant c’est quel porte ?
_ attend un peu ! s’énerva Yuki
Il avait un mauvais pressentiment après avoir réfléchis il s’arrêtât entre deux portes…et ferma les yeux, ses amis le virent respirer calmement et il montra d’un coup de tête la porte de droite. Il s’approcha et frappa. Un lourd silence s’abattit jusqu'à ce le voix du chef de clan se fasse entendre :
_ QUI EST LA !
_ akito, dit Yuki, ou est Momiji ?
Le chef de clan sembla se réjouir de cette visite et , sans ouvrir la porte , lui demanda avec qui il était. Yuki répondit et reposa sa question, ou était Momiji :
_ mais ici voyons entrer entrer…
Haru posa sa mains sur le poignée de la porte et ils entrèrent en même temps…
Dans la pièce plongée dans l’obscurité se distingué quatre formes, Akito se trouvait dans le fond de la salle, plongé dans la pénombre, il tenait un objet dans sa mains, quelque chose de très long…Les adolescents avancèrent d’un pas et entendirent un bruits d’eau, ils regardèrent à leur pieds et reculèrent d’un même élan. Une longue mare rouge envahissait la salle, le sang coulait sans s’arrêter, une tête se trouvait au milieu de la masse liquide…le corps à ses coté. Tohru poussa un cri, Hiro ferma les yeux en tenant contre lui une Kisa terrifier qui gardait les yeux ouvert d’effroi, Azalée se mit les mains devant la bouche, réprimant un cri de douleur, les larmes coulèrent d’un coup, telle un flot de tristesse et d’horreur, Haru regardait, les yeux vidé d’expression, imité par Yuki et Kyo, les reste de Momiji. L’enfant portait de nombreuse traces sur son corps, il avait probablement était battu…prés de l’ancien emplacement de sa tête, une femme à plat ventre, le visage dans le sang gisait, immobile, Ils reconnurent sa mère, la femme en apercevant son fils décapité avait eu un mouvement de peur et les souvenirs, refaisant surface, lui avait fait perdre l’esprit,la faisant tombé, à plat ventre dans la mare de sang s’échappant de son fils, le corp agité de spasmes, elle s’était étouffée avec le sang de son fils et était morte peu de temps après dans d’horribles souffrances :
_ MON DIEU ! MOMO !
Le cri d’Azalée avait jailli…Momo se trouvait, sa mains dans celle de son frère, allongée le corps marqué par de nombreux coups. Elle aussi perdait beaucoup de sang. Haru s’approcha prudemment du corps de la petite fille, ses chaussures produisant de petits bruits en marchant dans l’immense flaque, donnant des haut-le-cœur à sa famille. Tous le monde avait vus désormais le katana que tenait Akito soma dans le fond de la pièce, un sourire aux coins des lèvres. Le chef de famille s’en alla par une porte situé prés de lui. Personne ne pensa à le rattraper, ils observaient Haru, penché sur Momo, une expression dur sur le visage. Il prit le pouls de la petite fille et déclara d’une voix étranglé :
_ je crois qu’elle vit encore ! appelez une ambulance vite !
Kyo courut hors de la pièce funèbre pour rejoindre le tèléphone et la sonnerie des ambulanciers se fit rapidement entendre. Les infirmiers ne posèrent pour le moment aucune questions sur ce qu’ils avaient devant les yeux, seul compté que Momo vivait…mais le verdict tomba comme un éclair sur les adolescents pétrifiés dans le couloirs :
_ il lui faut une transplantation du cœur au plus vite ou sinon s’en sera fini pour elle aussi, avait dit l’ambulancier
Les enfants regardèrent passé les brancard couvert de draps qui se voulaient blanc, mais dont la couleur rougissait à vue d’oeil :
_ un cœur, murmura Azalée, en si peu de temps…mais ou ?
_ Je crois que je sais, dit Yuki la mine sombre

_ un deux trois..soulevez !
Les chirurgiens s’activèrent autour de la petite fille, les soma attendant ne pouvaient qu’imaginer la scène…ils voulaient juste que Momo survivent, ils penseraient au reste plus tard tout était si récent. Azalée ne pouvait s’empêche de revoir le sourire du petit garçon le vendredi soir en quittant ses cousins et ses amies, sa joie de voir sa petite sœur. Les larmes regagnèrent de nouveaux ses yeux. Hatori et le reste de la famille avaient était prévenue, seul le médecin était venu, essayant de calmer un peu les membres de sa familles. Azalée prit Tohru dans ces bras, la jeune fille était aussi éffondrée que les autres, la petite Kisa sur ses genoux. Personne ne prononça un mot jusqu'à ce qu’un médecin arrive pour leur déclaré :
_ c’est bon, on a réussit.
Un certains soulagement allégea leur cœur encore brisés, ils demandèrent à la voir mais l’homme leur expliqua que pour le moment elle dormait et qu’ils ne pourrait la voir qu’a travers la vitre de sa chambre. Ils se hatèrent d’y aller et virent la petite Momo, pâle, allongée sur son lit de drap blanc. Le moniteur sonnait régulièrement, indiquant que réellement la transplantation fonctionnait. Hatori leur murmura :
_Momiji vivra à jamais en elle, on ne les séparera plus maintenant.

A SUIVRE
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love_kisa
posté Jan 14 2006, 10:09 AM
Message #13


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Un seconde espoir(suite)

Chap 16
Histoire de famille

« Nous le garderons en nous et nous te le confions a toi qui nous voit… »
La voix monotone du prêtre résonnait dans le cimetière, les soma, Tohru, Azalée et plusieurs autres personnes se trouvait réunis autour du trou creusait dans la terre et du cercueil, bientôt Momiji serait enterré. Tohru serrait fortement la main de Yuki à ses côtés baissant la tête et pleurant de toutes ces larmes, son ami restait prés d’elle et gardait un regard impénétrable sur le cercueil, Haru à ses côté tenait l’épaule de Kisa qui gardait les yeux grand ouvert, Hiro restait fermé mais ses yeux brillaient. Kyo avait pris Kagura dans ses bras, la jeune fille pleurait sur son épaule et ne semblait plus pouvoir s’arrêter, Rinne à ses côté derrière se tenait Shigure qui, avec Ayamé et Hatori, regardait la tombe avec une infini tristesse sur le visage. Momo se tenait en avant, Azalée juste derrière elle. La petite fille n’avait pas prononcée un mot depuis son réveil la veille, elle savait déjà tout ce qui s’était passé mais le choc avait été trop grand pour qu’elle puisse dire quoi que ce soit. La police était venu et, à la fureur d’Azalée, personne n’avait accusé Akito ni même prononcé son nom : « on ne peut rien faire contre lui » avait dit Hatori.
Le cercueil entra sous terre, plus personne ne bougeaient mais tous avaient levé les yeux et garder graver ce dernier instant dans leur mémoire. Pendant que les pompes funèbres recouvraient le coffret de bois de terre, la petite voix de Momo s’éleva à la surprise générale, elle chanta de sa voix d’enfant la comptine de son frère. Kagura, dont les larmes s’étaient remise à couler, réussie quand même à sourire légèrement imité par Tohru. Les garçons laissaient un visage de glace mais écoutaient le chant :
Dans la montagne au coucher du soleil
Les feuille d’érable deviennent toute vermeilles
Grenouilles et lézard se disent bonsoir
Il va bientôt faire nuit
L’étoile du berger et la lune
Leur montre le chemin du retour
Dans la montagne au coucher du soleil
Les feuille d’érable deviennent toutes vermeilles
Grenouilles et lézards se disent bonsoir
Il va bientôt…faire nuit

Après l’enterrement presque tous le monde étaient déjà partit, il était tard, Hatori qui les avaient amené n’était plus la ils avaient décider de rentrer en bus pour rester le plus longtemps possible. Azalée, Kyo,Tohru,Yuki et Kagura discutaient un peu. Le sanglier s’avança vers la française :
_ Azalée, euh…je sais que ce n’est peut être pas le bon moment mais je me présente je suis Kagura Soma.
Elle s’inclina imité par Azalée qui se présenta à son tour, ils parlèrent de Momo, resté avec Hatori. Son père devait venir la chercher le lendemain mais il était trop effondré pour le moment. Certains adultes se dessinaient dans le loin et, en les regardant, ils virent 3 personnes se détacher du groupe et se diriger vers eux. Azalée voyait nettement la couleur de cheveux de la personne de devant, blanc, un blanc clair qui flottait dans la légère brise du soir, c’était un garçon aux cheveux long. Elle tourna la tête vers Kyo et demanda :
_ A la couleur de cheveux, c’est un maudit non ?
_ ouai, c’est Ayame, c’est le frère de Yuki mais je connais pas les autres, répondit le chat
« alors c’est lui son frère ? maintenant qu’il s’est rapproché il est vrai que c’est…son portrait cracher ! incroyable ! »
D’ailleurs la jeune fille remarqua que les personne qui le suivait ressemblait aussi un peu à Yuki, il y avait une femme et un homme. Ils mirent quelques secondes avant d’arriver à l’heure hauteur. L’homme semblait travailler dans une banque, un costume noir de très grande valeur, une cravate impeccable et un pantalon sans aucun faux plis. La femme était très élégante, les cheveux long et brun et une taille élancé, elle était splendide et Azalée aurait pu jurer qu’elle était mannequin ou un autre métier en rapport avec la mode et la haute couture. Ayame invita Tohru à se placer prés d’Azalée et salua cette dernière :
_ enchanté miss Azalée je suis Ayame soma
_ enchanté moi aussi, salua Azalée
« son ton n’est pas naturel, je suis sur qu’il n’est pas aussi calme et sérieux d’habitude »
Ayame se déplaça et dit au personnes derrière lui :
_ Voici Tohru HONDA et Azalée MISSO, et aux autres, voici mes parents
Tous le monde sursauta, ils était vrai que le ressemblance se faisait sentir mais c’était si soudain, Azalée le remarqua, les Soma ne connaissent donc pas forcément les parents des membres de leur familles ? La femme pris la parole en regardant Tohru, sa voix très sérieuse semblait aussi froide que la glace mais elle parlait avec beaucoup de respect et de dignité :
_ cela faisait longtemps que je voulais vous rencontrer mademoiselle Honda, et vous aussi mademoiselle Misso on parle beaucoup de vous au manoir en ce moment. Comment allez vous ?
_ bien, balbutia Tohru, je suis ravie de faire votre connaissance
_ et moi de même, enchaîna Azalée
La femme regarda cette dernière dans les yeux :
_ je me demande ce qui vous vous retient avec « ses gens », dit elle d’un air dédaigneux en montrant du mentons les maudits derrière les jeunes filles
Azalée se tut, ses yeux était glacé et il y avait une sorte de froid que l’on retrouvait chez ceux de Yuki quand il était en colère, celui ci n’avait d’ailleurs rien dit et continuer de se taire :
_ mère, s’interposa Ayame, notre chauffeur nous attend
Elle ne l’écouta pas et s’avança à travers les adolescents, ils s’écartèrent tous sur son chemin et l’observèrent. Elle se posta devant Yuki qui s’était éloigné :
_ encore la toi ? j’esperait que ce serait toi dans cette tombe.
Ils retinrent leur souffle, Yuki gardait la tête baissait comme si cette remarque ne lui avait rien fait et répondit d’une voix neutre :
_ désolé mère
La femme le regarda de haut, une expression de haine intense sur le visage, elle semblait vouloir le gifler. Finalement elle se retourna et s’en alla imité par son mari, Ayame jeta un oeil vers les enfants avant de les suivre. Tous gardèrent le silence jusqu’à ce qu’ils soient hors de vue et se tournèrent vers Yuki, celui ci fit une moue avant de dire :
_ c’est incroyable qu’elle m’est adressé la parole, on devrait rentrer il va bientôt pleuvoir.
En effet le ciel se chargeait déjà de gros nuages gorgé d’eau, Kyo grogna et cria qu’il refusait de finir trempé et ils finirent par tous rentrer. Azalée fut invitée à dormir chez eux et la pluie tomba au moment ou ils mettaient les pieds à l’intérieur de la maison le cœur était gros mais une décision avait été élaboré, ne pas parler de Momiji, cela ne ferait que raviver la peine et le désir de vengeance, et cela, ils ne pouvaient ce le permettre. Tohru fit la cuisine assisté par Kyo pendant que Azalée réviser son histoire avec l’aide de Yuki :
_ J’y comprend rien ! fini elle par éclater, ça nous sert à quoi de savoir tous ça ?
_ à arrêter de les apprendre, lui sourit Yuki, tu en sait déjà plus qu’au début on peut s’arrêter
_ surtout que le repas est prêt alors mettez la table, leur annonça Kyo en passant la tête par la porte
Azalée s’empressa de chercher les couverts pendant que Yuki débarrasser leur zone de travail avant de l’aider. Pendant ce temps Shigure passait des coup de fil à la famille :
_ oui Aya ça va, j’en sais rien ils m’en on pas parlés…et bien, oui j’imagine leur tête mais Yuki à dépasser ça maintenant il me semble, oui Kyo ce serait bien mais son père n’y était pas n’est ce pas ? oui c’est logique bon je te laisse il faut que je parle à Hatori avant le repas. Hmmm, oui a bientôt !
Il raccrocha le combiné et prit le calepin avant de composer le numéro de son ami.

Hatori était en train de servir le repas à Momo, il n’avait pas l’habitude de faire la cuisine et encore moins de s’occuper d’une petite fille. Il s’occupait bien de Momiji avant mais, il était grand, la pauvre enfant était triste et ne prononçait pas un mot, elle était gênée. Le téléphone sonna, le médecin alla décrocher :
_ oui ?
_ salut Hatori ! j’appelle prendre des nouvelles de la petite Momo. Tu t’en sort bien dans le rôle de papa ?
_ tait toi scribouillard ! son père vient la chercher demain mais j’ai un mauvais pressentiment…
_ je voit ce que tu veux dire, comment va t-elle ?
_ troublée, gênée, après ce qu’elle vient de vivre il n’y à rien d’étonnant…et toi comment vont ils ?
_ Ils ont l’air d’aller déjà un peu mieux, ne me croit pas si tu veux mais Kyo à lui même annoncé à Yuki et Azalée que le repas était prêt. C’est te dire le changement.
_ effectivement c’est incroyable ! bonne ambiance donc ?
_et oui, bon je dois te laisser ! ciao !
Hatori reposa le combiné et en se tournant vis la petite fille qui le regardait, il s’accroupit pour se mettre à sa hauteur et lui caressa la tête :
_ tu dois être fatiguée, tu veux dormir ?
La petite fille hocha négativement la tête et pris le bras de Hatori dans sa petite main. Le médecin voulut la détacher avant la transformation mais l’enfant n’alla pas plus loin, elle tomba à genoux et pleura sur le bras de l’homme. Elle connaissait la malédiction, Hatori ne savait pas quoi faire devant cette petite fille en larmes et tint sa tête contre son bras en attendant qu’elle se calme. Il l’entendait murmurer :
_ Maman, Grand-frère…

_ Kyo qu’est ce que tu fait debout à cette heure ? s’exclama Azalée
Il était 5h30 du matin et la jeune s’était levée boire un verre d’eau avant de tomber sur le chat, ce dernier était en short et tee-shirt et aller sortir :
_ fait moins de bruit tu va réveiller tout le monde, je vais faire mon entraînement.
Il sortit. La jeune fille poussé par la curiosité sortit à son tour, l’air était vif et une légère brume recouvrait la forêt, Kyo donner des coup dans un arbre avec une grande rapidité en visant des endroits précis, impressionner Azalée s’approcha et s’assit sur une souche d’arbre à côté. Kyo s’arrêta et la regarda :
_ quoi ? qu’est ce qu’il y a ?
_ rien, dit elle, je suis juste impressionner que tu t’entraîne autant ! tu ne fait pas de tournois pourtant non ?
Le chat soupira et s’assit à côté d’elle :
_ bien sur que non ! mais pour battre ce rat je suis pas encore au point !
« juste pour ça ? Kyo… »
_ si tu le bat qu’est ce que tu y gagnera ?
Kyo hésita, après tout pourquoi ne pas lui dire ? Il se décida :
_ je serais enfermer à la fin de mes études et Akito m’a dit que je serais accepter en tant que membre officiel des 12 si je bat Yuki…car le rat est responsable de ce qui est arrivé au chat !
_ et après ce qui s’est passé au manoir…tu….tu trouve que Akito est digne de confiance ?
Kyo se prit la tête dans les mains, ses pensées s’emmêler autour d’elle même :
_ je ne sais plus ! c’était ma raison de vivre ! à cause de cet apparence de monstre personne ne peut m’approcher sans me craindre !
Sa voix se faisait plus tendu, il finit par se lever et par crier à plein poumons :
_ JE NE VEUX PLUS ETRE COMME CA ! JE NE PEUT PLUS !
Azalée baissa la tête, elle n’était pas sur de pouvoir l’aider mais Kyo semblait tellement angoissé, et seul. Il avait peur cela se lisait sur son visage, cela se sentait dans sa respiration saccadé et irrégulière :
_ mais, murmura t-elle, tu n’est pas seul, on peut t’aider…ta famille, Tohru…
_ toi aussi, dit il
Elle releva le visage et vit un sourire sur les lèvres de son ami, elle lui renvoya son sourire :
_ oui moi aussi, mais et Kagura ?
_ Kagura, je sais pas…
Il rougit et raconta à Azalée comment, enfant, elle s’était enfuie en voyant sa troisième forme, et comment elle n’était plus jamais revenue comme avant. Azalée le raisonna :
_ Tu veux mon avis ? elle doit amèrement regretter ce jour !
Kyo la regarda mais une voix les appela :
_ KYO, AZALEE VOUS ETES LA ? venez déjeuner, leur dit Tohru en arrivant devant eux en courant. Elle s’arrêta devant Kyo et Azalée, cette dernière prit la main de chacun de ses amis et les traîna dans la maison.

_ Je ne peux pas !
Momo se trouvait devant son père mais ce dernier ne la regardait pas, il ne lui disait rien, ne lui souriait pas et la petite fille ne comprenait pas. Elle voulait se jeter dans les bras de son père mais il recula d’un pas :
_ garder la Hatori, prenez soin d’elle comme vous l’avez fait avec Momiji, un jour, un jour je viendrais la chercher mais la je ne pourrais pas m’en occuper, dit il
Hatori se pencha vers Momo et lui demanda :
_ est ce que tu as compris ?
Momo hocha la tête :
_ oui, papa il est triste. Comme moi. Si on est séparer un moment après ça ira…ça ira papa après ?
Elle le regarda dans les yeux et son père lui sourit avant de la prendre dans ses bras :
_ oui ma chérie ça ira, tu va rester avec Hatori le temps que papa aille mieux et nous vivrons ensemble.
Hatori les regarda avec calme, il s’occuperais de Momo aussi bien que pour Momiji, il était responsable après tout.

Un mois avait passé, les soma Tohru, Momo et Azalée se trouvait à sonner devant la porte d’une maison. Azalée sonna et frappa encore longtemps avant d’entendre une voix crier :
_OUI C’EST BON J’OUVRE ! vous faite quoi la ?
_ FELICITATION HIRO ! hurlèrent t-ils tous en cœur
Hiro recula devant la foule de cousins, cousines et amie et commença à rouspéter jusqu'à ce que Kisa se mette devant lui :
_ bravo pour ton petit frère Hiro, on est tous venus lui dire bonjour.
_Hiro ! appela une voix de femme en haut des escaliers, fait les monter !
Hiro les mena jusqu'à une chambre en haut, le petit frère de Hiro, le nouveau lapin du zodiaque, dormait transformé dans les bras de sa mère. Satsuki soma avait un visage d’enfant qui respirait la gentillesse et la bonne humeur, et leur sourit et tous fut ravis de constater que cet enfant, maudit ou pas, grandirais dans les meilleur condition qu’il soit. Satsuki se pencha vers Momo, elle savait que c’était la sœur de Momiji et lui demanda :
_ Dit moi ma petite, comment allons nous l’appeler ?
_ Shinji ? demanda Momo
_ ça te va Hiro ?
_oui, dit il en souriant à sa mère, et ben ça y’est il est nommé !
La famille rigola et tous posèrent leur cadeaux en discutant bruyamment…

Dans le manoir soma, Akito s’énervait contre son maudit favori :
_ Ou était tu ?
_ j’ai été retardé Akito
_Ce que tu me dit est troublant ! Deux morts ne suffit pas, il en faudra encore…oui…encore…Sort maintenant !
L’homme se leva mais le chef de famille ajouta avant qu’il ne sorte :
_ne revoit plus cette fille, plus jamais…Kureno.

A SUIVRE

Chap 17

first kiss

Tohru étendait son linge le dimanche matin, elle sifflait gaiement un air dont le nom lui échappait, pourtant elle le connaissait…elle pris une chemise dans son panier et la mis sur le séchoir. Le soleil tapait fort aujourd’hui et ce serait vite sec. Elle se remit à siffler quand des pas descendirent les escaliers, elle stoppa son mouvement, écarta un drap et se retrouva nez à nez avec Kyo. Ce dernier rougit et s’écarta un peu, elle sourit. Le chat pris la parole :
_ je rentrerais plus tard ce soir, je vais faire un tour
_ tu vas chez ton maître ? demanda la jeune fille
Kyo hésita puis répondit :
_non pas aujourd’hui…bon allez à ce soir !
Il lui fit un signe de la main et sortit de la maison d’un pas tranquille. Tohru le regarda un moment s’éloigner, elle observait sa silhouette jusqu'à ce qu’elle ne s’efface, avalée par les arbres alentours. La jeune fille était heureuse pour son ami, d’habitude il ne sortait que pour voir son maître, et la il partait ailleurs. Ce changement la ragaillardie un moment mais devant la pile de linges à étendre elle perdit patience. D’un coup elle redressa la tête, releva les manches et sifflota plus énergiquement pour se motiver, soudain elle entendit la même mélodie qu’elle, sifflait en même temps. Elle s’arrêta et vit Yuki qui apparut devant elle :
_ je t’entend siffler depuis tout à l’heure, un petit coup de mains ?
Tohru accepta volontiers et ils discutèrent de choses et d’autres tout en s’aquittant à leur besognes.

Azalée se baladait dans la rue marchande, il était l’après midi, il faisait beau et les gens sortaient profitant d’un dimanche de repos méritait. La lycéenne se dirigea vers le parc en face de chez elle, avisant un cerisier elle s’y précipita. L’ombre de l’arbre était fraîche et Azalée s’allongea dans l’herbe verte, respirant profondément la brise qui soufflait, elle ferma les yeux et ne vit plus que le cerisier, l’arbre immense qui trônait au dessus d’elle. Elle ressentait sa force et cela lui donna du courage, ses malheurs et ses soucie s’envolèrent durant cet instant paisible ou elle ne faisait qu’un avec la nature qui l’entourait. Elle bougea doucement sa mains, frôlant l’herbe verte luxuriante et douce, si douce qu’elle semblait toucher un nid de plumes duveteuse. Elle ne pensait plus à rien, ni Akito qui lui faisait une peur bleue, ni à Momiji dont le deuil n’était pas encore complètement fait, elle ne pensait à rien sinon à cette arbre au dessus de sa tête. Elle se résolue à ouvrir les yeux, la lumière du soleil les lui piqua et ,clignant de nombreuses fois des paupières, releva son buste pour s’adosser au tronc du cerisier. Elle respira profondément, ses mauvaises pensées était revenus, surgissant de nulle part tel un bateaux fantôme apparaissant dans la brume. Son plus grand soucie concernait le chef de famille, il lui faisait si peur, prononcer son nom lui donnait des frissons le long de son échine, penser à ses yeux la vidait de tout sentiments ne laissant qu’un froid glacial engourdir ses os. Malgré la dureté du soleil Azalée tremblait, des sueurs froides perlait son front se mélangeant aux larmes.
Non elle ne pouvait pas pleurer, pas là ,pas maintenant…il fallait qu’elle pense aux soma, oui, c’étaient eux désormais sa raison de continuer. Souvent l’envie de tout quitter et de rentrer chez elle l’effleure tant elle à mal mais elle ne pouvait se résoudre à s’avouer vaincue, Akito soma devait avoir un terrible secret lui aussi, la raison qui le poussait à être si cruel devait être forte, très forte :
_ petite est ce que ça va ?
Azalée leva les yeux, un homme d’une vingtaine d’année était penché sur son visage, derrière lui une jeune femme brune, à la taille gracieuse la fixait avec inquiétude. La lycéenne porta la mains à son visage et sentit les larmes qui séchaient, la sueur qui collait ses cheveux. Elle s’excusa auprès des gens, se releva et pris le chemin de la sortie du parc :
« il faut que je me calme »
Laissant vaguer son esprit, elle avança sans penser ou la menait ses pas.

_ Est ce que ça va monsieur Hatori ?
Le médecin baissa les yeux, Momo jouait avec une poupée sur le tapis, la petite fille avait retrouvée l’usage de la parole mais Hatori ne savait pas vraiment s’en occuper, il ne s’était jamais chargé d’une enfant si jeune. Il remplissait des papiers, impôts, factures, contrats…toutes ses choses dont il ce serait volontiers passé. Il reboucha son stylo et passa sa mains dans ces cheveux, à travers les rideau transparent de sa fenêtre le soleil cognait, si on lui laissait le choix Hatori aurait pris un livre pour lire tranquillement sous le préau de sa maison, à regarder l’herbe se balancer au rythme d’un léger vent. Mais non il ne pouvait pas s’y résoudre, et la petite Momo qui le regardait avec ses grand yeux :
_euh…pourquoi tu n’irais pas dehors ? il fait beaux tu sais
Sa voix était hésitante, on disait de lui qu’il était sévère mais devant cette fillette il ne savait comment s’y prendre. Momo fit un grand sourire et hocha négativement la tête en disant :
_ je préfère rester avec toi et Tomoe, dit elle
Elle pris sa petite poupée dans ses bras et dit à Hatori :
_ tu ne veux pas jouer avec Tomoe et moi ?
Le médecin rougit, jouer ? comment voulait elle qu’il joue avec cette poupée…et puis ces papiers, il devait tous remplir cependant, l’enfant attendait une réponse, patiente et polie elle attendait. Hatori regarda ses feuille puis posa son stylo :
_ que veut tu que je fasse ?
Momo eut alors un éclat de rire, le rire d’une petite fille innocente. Hatori fut touché par cet éclat de joie, sa maison sembla s’illuminer d’un peu de vie et de joie. La fillette pris sa mains et le mit sur le canapé en lui donnant une tasse en plastique de sa dinette :
_ on prend le thé !
Les minutes s’écoulèrent calmement jusqu'à ce que la sonnerie de la porte d’entrée retentit. Hatori se leva et alla ouvrir :
_Ma…Mayuko ? que fait tu la ?
La jeune prof se tenait, apparement gênée, devant la porte d’entrée. Ses cheveux nouée en queue de cheval s’agitait légèrement, elle s’inclina et s’excusa de son impolitesse, elle voulait passer lui dire bonjour. Elle allait lui dire qu’elle repartait quand elle remarqua la jeune enfant accroché aux jambes d’Hatori :
_ qui est cette enfant ? demanda t elle, une nièce ?
Elle savait que la famille soma était nombreuse, Hatori lui répondit que c’était la sœur de Momiji. Mayuko eut un sourire d’excuse et représenta ses condoléances avant de se pencher vers l’enfant :
_ comment t- appelle tu ?
_ je suis Momo soma enchantée…dit, Madame, tu reste jouer avec nous ?
_ on joue à la poupée, dit Hatori en souriant, joint toi à nous
Mayuko accepta un peu surprise, jamais cet homme qu’elle aimait tant, n’avait sourie de cet façon. Il semblait libérer du poid que l’on sentait chaque jour sur ces épaules. Elle entra et quand ils furent tous de nouveaux dans la fraîcheur de la pièce Momo demanda :
_ Hatori, c’est votre petite amie ?
Les deux adultes rougirent d’un coup jusqu’au oreilles en essayant de se justifier devant la pureté et l’innocence qui riait devant cette petite scène.

Kyo marchait plus vite maintenant, il avait repérer la maison. Spacieuse, ordinaire et à l’extérieur du manoir, heureusement. Il frappa à la porte et attendit quelques seconde avant qu’une femme lui ouvre :
_ oui ?
_ bonjour madame je suis Kyo soma euh…Kagura est la ?
La femme lui sourit et le fit entrer, elle lui montra les escalier en lui disant qu’il ne pouvait pas manquer sa chambre. Le chat la remercie et il grimpa les marches d’un escalier en bois ciré, les parents de sa cousine était divorcés d’après ce qu’il savait. Il arriva en haut et remarqua plusieurs porte dont une avec un écritaux : « Kagura et Rinne » il frappa :
_ oui ?
C’était la voix de Kagura il passa sa tête dans la chambre et la jeune fille s’exclama :
_KYO !
Elle lui sauta dans les bras et il l’a repoussa gentiment, en entrant totalement il vit une pièce assez longue, deux lits formait un couloir qui menait à une fenêtre aux rideau orangées. En face de chaque lit se tenait un bureau, sur celui de droite était plusieurs peluches de félin et autres animaux avec un bureau rangé et décoré de fleur. Sur l’autre bureau, sombre mais très organisé,s’entassait des cahiers de cour et sur le lit sobre se trouvait Rinne, un livre en mains qui le regardait de son air têtue habituelle. Les yeux noir de la jeune fille le dévisagea, Kyo lui dit :
_c’est vrai que t’habite là.
_ ouai !
Ce fut ça seule réponse, Kagura soupira et se tourna vers le chat, ses yeux marrons brillaient de joie :
_ Kyo que fait tu la ?
_ je suis venu te voir Kagura, il faut qu’on parle…tu te rappelle de ce jour ou tu t’es éloignée de moi ? je voudrais juste qu’on mette les choses aux clairs…s’il te plait.
Kagura aquiessa tristement, oui il fallait qu’ils en parle. Rinne se leva :
_ bon vous avez de la chance je dois aller faire quelque chose ! à plus !
Les deux adolescents la laissèrent partir et Kyo enchaîna :
_ ce jour là tu as pris mon bracelet et tu t’es enfuie…et ensuite Kagura…

Rinne marchait vivement sous le soleil de plomb, cette chaleur ne lui faisait pas du bien mais tant qu’elle gardait un rythme permettant aux vent de faire voler ses long cheveux noirs tout irait bien. Habillée en noir comme d’habitude, elle attirait les regards de tous, surtout des garçons mais elle n’y prêta aucune attention. Enfin elle l’a remarqua, elle s’était arrêter à l’ombre d’un arbre, parfait. Elle l’appela et l’intéresser se retourna, la surprise puis la joie se lut sur son visage et Rinne vint à sa rencontre pour se présenter :
_ Bonjour Azalée je me présente officiellement Rinne soma
Azalée s’inclina et s’empressa de demander la raison de cette visite. La jeune femme chercha ses mots, comment lui expliquait que chaque nuit elle ne voyait que lui, que chaque pensée n’était tourné que vers lui, que son regard qui se perdait cherchait ses yeux à lui et lui seul. Comment lui parler de cette lettre qu’elle avait lut et relue, de ce message d’espoir auquel elle rêvait de répondre. Elle parla :
_ je voulais juste savoir, ce que t’a dit Haru pour que tu me remette cette lettre…
Azalée sourit gentiment :
_ Il m’a demander sincèrement de te l’a remettre, cela m’a semblait important il était…triste, oui je dirais ça il était mélancolique quand il m’a tendus l’enveloppe.
_ah bon c’est vrai ? je dois…je dois partir excuse moi on se reparlera un peu plus tard !
Elle ne laissa pas le temps à Azalée de réagir que déjà sa marche avait repris, plus rapide, moins sûre. Les larmes lui brouillée la vue, elle s’était jurée de le protéger mais ne voulait que le revoir, elle souhaiter ressentir une nouvelle fois le contact doux de ses mains sur son corps, de ses lèvres sur les siennes…encore une fois…

_IMBECILE !
Akito frappa encore avec son fouet, le sang jaillisait sur les mur de bois du manoir, Kureno ne disait rien mais souffrait horriblement. C’était sa faute, il ne fallait pas refuser de dire son nom. Tout s’embrouillé, la seule façon était de se taire, protéger celle que l’on aime n’est pas simple. Akito hurla de nouveaux : « quel est son nom ? disait il ou habite elle ? » mais Kureno ne répondait rien, la seule chose qui le faisait tenir était que ce rire qu’il pouvait écouter pendant des heures, ce sourire qui le faisait chavirer, serait sauvé. Les blessures sur son corps lui prouverait à jamais qu’elles ne serons jamais sur son corps à elle.
Las, le chef de famille renvoya l’homme. Meurtri de douleur Kureno se releva pourtant et décida d’agir, il fallait que sa volonté atteigne son but. Puisant dans ces dernières forces il marcha, sortit du manoir, pris les petites ruelles et marcha à l’abri des regards.

Rinne ne regardait plus devant elle mais une vois l’appela. Elle leva la tête :
_non ce n’est pas vrai, murmurra t-elle
_c’est moi
_ laisse moi ! tu ne fera qu’aggravez les choses !
Mais déjà Haru avait pris la femme dans ses bras et la serrait tendrement. Rinne ne se batie pas, se laissant bercer doucement.

Kagura avait tout racontée, elle était fatiguée mais ce sentait libérer d’un poids. Kyo lui dit qu’il allait partir, elle redressa la tête et acceuillie un baiser sur son front. Surprise elle ne dit rien, Kyo enleva délicatement ses lèvres et caressa la joue de sa cousine en murmurant :
_ je ne t’abandonnerais plus
Puis doucement il enleva sa mains et repartit. Kagura rougit et posa instinctivement sa mains à l’endroit ou le baiser était arrivé, et sourit tendrement en laissant ses doigts parcourir son front…

Azalée rentait chez elle, la marche l’avait épuiser. Elle pris une ruelle deserte pour arriver plus vite quand un homme lui dit :
_mademoiselle misso…s’il vous plait…
Azalée mit sa main sur la bouche pour s’empêcher de crier, l’homme était couvert de blessure. Il vacilla et un nuage de fumée apparut avant qu’il ne touche le sol, un oiseaux, posé sur le gravier, respirait faiblement. Azalée le prit délicatement dans ses mains et ramassa ses vêtements. L’oiseau parla, elle pencha la tête et il répéta avant de s’évanouir :
_ il ne dois jamais tomber sur Arisa, s’il vous plait…

A SUIVRE

Chap 18
"une nouvelle malédiction"

Rinne se laissa doucement bercer dans les bras de Haru jusqu'a ce que ces convictions lui reviennent en mémoires, le protéger, de toute ses forces...c'était ça, la réponse à ces peurs, la seule chose capable de lui faire tenir le coup était cette pensée "en s'éloignant de Haru, il vivrait". Elle se dégagea de ses bras si chaud ou elle aimait tant se réfugier et parla d'une voix chevrotante:
_ non...non arrête
_Rinne, murmura Haru
_ JE T'AI DIT DE PARTIR j'EN EST MARRE DE TOI C'EST CLAIR?
Ses yeux était exorbité par la peur, la haine et la tristesse. Cet homme qu'elle aimait tant, elle faisait tout pour qu'il parte...Haru approcha sa mains de la joue de Rinne mais celle ci la repoussa violement:
_ta pas compris?
_ tu n'est pas sincère...
_ ET QU'EST CE QUI TE FAIT DIRE CA?
Le boeuf parla d'une voix douce en souriant à cette femme têtue auquel il pensait chaque soir:
_ d'ou viennent ces larmes alors?
La femme recula, elle porta la main à ses joues et sentit le liquide salé qui coulait doucement. Elle vit une des mains de Haru saisirent une de ses gouttes en souriant. Elle se sentit partir dans ce sourire, pouvoir effacer le passé et revenir vers lui était son plus grand souhait mais malheureusement c’était impossible. Depuis ce jour elle devait s’éloigner de lui, il venait la voir si souvent lorsqu’elle était dans cette chambre d’hôpital, sa présence la rassurait mais la venue d’Akito avait tout gâché…tout… : « si tu l’aime tu sais ce que je pourrais lui faire, Personne ! tu entend ? personne n’a le droit d’aimer dans MA famille »
Haru vit le regard de sa bien aimée se voiler, il approcha une nouvelle fois sa main mais cette fois ci elle ne se laissa pas faire, repoussant ses intention elle cria :
_ C’est la pluie non ?
Et elle courut de toute ses forces, Haru renonça à la rattraper…pourtant elle lui manquait tellement. Il sentait la colère monter en lui à présent, cette colère incontrôlable qui lui avait valu son surnom de « black-Haru ». Les gens riaient autour de lui « une dispute » « le pauvre il est chamboulé » Haru allait craquer il le sentait, si personne ne l’arrêtait maintenant il…
_ Haru !
Yuki avait surgit du coin de la rue et avait remarquer les poings serrés de son cousin, signe d’une grande colère… Il accourut vers lui et les filles autour d’eux murmuraient des « si ils on pas de copines moi je leur proposerais bien » mais Yuki avait l’habitude. Il prit le bras de Haru, le sentait trembler, et le tira doucement vers un lieu plus calme. Il avisa un banc à l’abris des regard et le fit asseoir, il attendit patiemment que le bœuf se calme, ses muscle tremblait violement, incontrôlable. Finalement après plusieurs minutes il se calma enfin, respirant lentement, il regarda Yuki dans les yeux. Celui ci semblait inquiet, son intense regard violet ne le lâchait pas. Son cousin lui sourit et le remercia, poussant un soupir le rat lui rendit son sourire en ajoutant que ça aurait fait des étincelle si il s’était battu dans la rue. Haru rit en imaginant la scène avant de dire :
_ dit moi tu es pas avec Tohru ?
_ arrête !
Maintenant Yuki fuyait son regard en rougissant ce qui fit redoubler le rire de Haru. Il le prit par les épaules en s’excusant quand des cris retentirent derrière eux, ils se retournèrent et distinguèrent des femmes et des hommes bien habillés qui couraient dans tous les sens. Reconnaissant l’uniforme des serviteurs et servantes du manoir il s’approchèrent et questionnèrent une femme :
_ que se passe t-il ? demanda Haru
La femme lui répondit en s’inclinant :
_ Monsieur Hatsuharu ! monsieur Yuki ! il s‘est passé quelque de terrible ! Monsieur Kureno s’est enfui
_ Kureno ? s’exclama Yuki, il s’est passé quelque chose avec Akito ?
_ nous savons juste qu’ils était grièvement blesser, pardonnez moi je dois y retourner !
Sur ce, la femme repartit et les deux cousins restèrent immobiles devant cette nouvelles aussi surprenante qu’effrayante. Ils ne connaissaient pas vraiment Kureno mais savait une chose, il était proche d’Akito. C’était le maudit le plus proche du chez de famille et il vivait dans un endroit reculé du manoir. Personne de la famille Soma ne savait grand chose sur lui, ne l’ayant jamais vraiment rencontré on savait cependant que Akito rejetait nombreuses de ses colères sur lui. Et cet personne encaissait tout sans se plaindre, il avait du se passer quelque chose de grave dans la vie de Kureno, pour le pousser à quitter le manoir. Haru soupira :
_ on verra plus tard, tu allais ou ?
_Faire des courses, j’ai dit à Tohru que je m’en occuperais
_ je t’accompagne !
En marchant Haru ajouta :
_ ça me rappelle quand un de mes cousins s’était enfui du manoir lui aussi…
_J’espère juste que Akito ne lui réserve pas le même sort que moi, soupira Yuki.

Kyo reprenait le chemin de la maison de Shigure la tête sur le point d’exploser. Il venait d’embrasser Kagura sur le front ! Alors que quelques semaines plus tôt il n’y aurait même pas pensé, qu’avait il ressentit durant cet instant ? un calme incroyable, oui. Il se sentait pardonné d’être né, il est vrai que sa cousine avait toujours déclarer un amour fou pour lui, il venait d’apprendre pourtant que c’était parce qu’elle se sentait coupable, coupable d’avoir fuie devant son véritable aspect ce jour la…mais il lui pardonnait, oui il savait maintenant que c’était ça. Il aimait Kagura, il aimait tout en elle…Il traversa la petite forêt précédent sa maison. Puis arriva, le cœur léger et le sourire aux lèvres. Tohru buvait du thé dans le salon, calme et détendue. Quand elle l’aperçut, elle se mit à appeler son ami qui vint à sa rencontre. Il l’avait aimée un temps, au moment ou il pensait qu’elle était la seule à l’accepter tel qu’il était mais maintenant il aurait Kagura et elle, elle avait…Yuki.

Azalée paniquait, son invité, après avoir repris forme humaine, dormait dans son lit :
« heureusement que je l’est mis sous les couvertures avant qu’il ne reprenne son aspect sinon je n’ose même pas imaginer la galère ou je serait ! »
Son hôte reprenait lentement conscience, la jeune fille avait put discerner plusieurs plaies et blessure sanguinolente sur son torse et son dos. Des cheveux beige et un regard sombre, ce jeune homme avait tout pour plaire d’ailleurs…n’avait il pas parlé d’Arisa avant de s’évanouir ? Azalée prit peur, si Arisa se retrouvait face à Akito ça irait mal, elle ne voulait pas qu’elle meurt elle aussi. Elle ne voulait plus de morts, plus de massacres. L’homme remua et Azalée se précipita à son chevet. Il ouvrit les yeux et la regarda, il lui sourit et la remercia dans un soupir,faisant une grimace à cause des coups reçus, il se releva lentement. La couverture glissa légèrement, dévoilant un torse musclé, Azalée rougit jusqu’aux oreilles et lui rendit ses vêtements en se retournant. Elle attendit plusieurs minutes avant de pouvoir se retourner, l’homme se présenta :
_ Mademoiselle Azalée je me présente, Kureno soma. Je vous suis reconnaissant de m’avoir aidé.
_ mais ce n’est rien je…
« pourquoi c’était un oiseau ? il y a un coq je le sais mais pas de…oh et puis ! Hatori se transforme bien en hippocampe ! »
_ dites moi ? d’ou vous viennent ses blessures ?et que cherchiez vous dans la rue ?
_ je suis sortit du manoir après une punition infligé par Akito.
Son regard se voila en prononçant ce nom, Azalée entreprit de lui panser certaine blessures qui risqueraient de se rouvrir. Kureno se laissa faire et lui dit que c’était elle qu’il cherchait. La jeune fille arrêta son geste et l’homme poursuivit :
_ Je n’ai pas dit à Akito ou elle habitait et qui elle était…je veux la protéger et cela à coûté quelques gouttes de sangs…
_ quelques ? s’indigna la jeune fille, j’ai jamais vu quelqu’un d’aussi blessé que vous se balader dans la rue…bon cette jeune fille c’était Arisa…Uotani ?
Kureno hocha la tête et ajouta que si il avait prononcée son nom, elle ne serait sûrement déjà plus de ce monde à l’heure qu’il est. Azalée lui conseilla de se recoucher en attendant d’être assez en forme pour repartir :
_ je devrais vite m’en aller, je devrais partir maintenant ! Akito doit me chercher partout je…
Azalée le repoussa doucement sur son lit :
_ pas dans cet état ! vous vous transformer lorsque vous êtes trop affaiblis alors ne prenait pas ce risque en pleine rue ! Et puis Akito peut venir je n’ai pas peur, dit elle en souriant.
En fait c’était un mensonge, elle était terrorisé à l’idée que ce monstre vienne chez elle, Kureno s’endormit et le temps commença à passer lentement, au rythme de sa respiration régulière. Les heures passèrent doucement, le cœur d’Azalée battant à tout rompre. Bientôt 22h00 sonnèrent et un bruit se fit entendre à l’étage en dessous.

Yuki se réveilla d’un coup. Il était 22h00 et un cauchemar venait de le tirer de son sommeil. Il se rallongea et tenta de penser à autre chose mais ne le pouvait pas. C’était un rêve étrange. Il marchait le long d’un couloir sans fin avant de d’apercevoir un gouffre, ses jambes ne lui obéissaient plus et il courrait, droit vers ce gouffre sans fond. Il criait mais ne s’arrêtait pas jusqu'à ce qu’il tombe…et qu’il se réveille. Se trouvant dans l’impossibilité de se rendormir, il décida de sortir prendre un bol d’air frais. Mais quelque chose clochait, pourquoi le fait d’être dehors lui donnait il une étrange impression ? il sentait un vide en lui, comme si il se retrouvait plus seul que d’habitude. Il sentait qu’une part de lui même venait de partir et se souvint d’un coup d’une vieille phrase qu’il avait déjà entendu :
« et le jour ou « il » aura été trahi par 3 fois… »
_non ce n’est pas possible ! murmura t il

Azalée commencer à s’endormir, mais Kureno se leva d’un coup, les yeux remplis d’effrois. Ils scintillaient dans la pièce plongeait dans l’obscurité, Azalée le regarda et comprit tout de suite :
_il arrive, murmura le jeune homme
La porte s’ouvrit à ce moment la, la lumière envahi la chambre et Azalée se leva d’un coup imité par Kureno, Akito se tenant devant eux. Le chef de clan s’approcha lentement de Kureno sans se soucier de la lycéenne tremblant de la tête aux pieds à ses côtés :
_ tu m’a désobéît, dit il d’une voix doucereuse, tu m’a trahi Kureno. Tu me dois obéissance et tu m’a TRAHIS !
Akito frappa l’homme dans le ventre. Celui ci poussa un cri silencieux avant de se transformer, encore affaibli par ses blessures. Akito prit l’oiseau inconscient et sembla être tirailler entre l’envie de le serrer jusqu'à le tuer et celle de le mettre dans sa poche. Il opta pour la deuxième option et son regard glacé se tourna vers Azalée. La jeune fille voulut s’enfuir mais aucun de ses membres ne voulait lui obéir, elle voulut se calmer mais son cœur refusa, il battait, cognant dans sa poitrine, faisant un bruit d’enfer, si fort qu’elle eu peur que Akito l’entende. L’homme lui parla :
_ tu me les a pris…
Il l’a gifla :
_ tu les a forcés à se retourner contre moi…
Il l’a claqua une seconde fois :
_ tu m’a pris MA FAMILLE !
Cette fois ci il lui prit les cheveux et tira jusqu'à lui arracher un cri de douleur, il leva sa tête en tirant par cette poigné de cheveux brun et l’obligea à le fixer dans les yeux. Azalée le regarda et vit dans ces yeux sombre tant de souvenirs qu’elle croyait avoir laissé de côté. Et il y en avait un, une allée de gravier, un cercueil qui passait…
« je la vois encore…cette allée…pourquoi ? c’était un souvenir enfouit… »
Cette allée, le cercueil, celui de Robin. Robin…le sourire du garçon lui revint en mémoire. Il ne fallait pas abandonner, pas maintenant…pour Robin :
_ à cause de toi sais tu ce que je dois faire ? susurra Akito a son oreille, je dois les tuer…
Il l’a laissa tomber et lui donna encore un coup de pied dans l’estomac avant de s’enfuir. Azalée ne pouvait plus respirer, sa tête, son ventre, tout son corps était douloureux. Mais il fallait bouger :
« je ne peux pas… »
Pour Robin. Doucement elle rouvrit les yeux.
« Tohru, Arisa, Momo… »
Elle s’assit sur le sol toujours pliée en deux par la douleur :
« Kyo, Yuki, Shigure, Kagura… »
Elle releva la tête
« Haru, Rinne, Kisa, Hiro.. »
Elle se leva en chancelant et marcha de plus en plus vite vers la rue. Arrivée dehors elle inspira lentement et se mit à courir.
Azalée volait presque. Ses long cheveux s'éparpillant à l'arrière de sa tête comme un voile majestueux, ses pensée se mettait lentement en ordre. Les passants, restés tard à l'extérieur, la regardait courir comme si ça vit en dépendait. Il était très tard, enfin le bois familier apparut devant elle. Elle s'y engouffra, toujours plus vite, son coeur ne battant plus. Les paroles de Akito l'avait frappée de plein fouet, si il était capable d'aller jusque la il fallait agir et vite. La maison de Shigure surgit de derrière un arbre, aucune lumière dans la maison, ils dormaient sans doute mais tant pis, elle irait réveiller quelqu'un. Si là ! une ombre dans la nuit, elle appela. Le garçon se retourna et Azalée se jeta devant lui reconnaissant à peine la personne, ses yeux pleurait à cause du froid mais elle distingua les yeux violet:
_Yuki c'est terrible, Kureno!Arisa! vite!...vite...Akito est...
Elle s'écroula dans les bras du garçon qui la rattrapa. Il la posa doucement sur le sol et, après s'être assurée qu'elle ne risquait rien, courut chercher de l'aide. La situation s'aggravez. Il entra dans la maison et hurla :
_ DEBOUT !
Il alla chercher une couverture et se précipita vers l’extérieur en re-criant :
_ LEVEZ VOUS VITE !
Kyo grogna mais se décida à se lever, il était de très mauvaise humeur. Tohru s’éveilla en sursaut et sortit de sa chambre en croisant Kyo et Shigure :
_ que se passe t-il ? demanda t elle affolé
_ j’en sais rien ! il est ou le rat ? il nous réveille et il disparaît !
_je suis la vite ! appela Yuki
Ils descendirent rapidement et Shigure s’exclama :
_ Yuki…tu…
Le garçon venait de rentrer, une couverture dans les bras, à l’intérieur de l’épais tissue se trouvait une personne, les personnes avaient immédiatement reconnu les cheveux bruns d’Azalée. Yuki ne bougeait pas, la jeune fille dans les bras sans que rien ne se passe. Ce fut Kyo qui réagit en premier :
_ c’est quoi ce délire ? t’es en trains de la porter et tu ne te…
Yuki soupira et s’en alla vers le canapé en disant :
_plus tard ! venez m’aider elle est gelée !
Il arrivèrent tous et constatèrent en effet le pâleur de leur amie, mais elle respirait doucement. Ils l’allongèrent et la laissèrent reprendre ses esprits. Yuki raconta son rêve et se tourna vers Shigure :
_ ça te dit rien ? j’avais déjà entendu un truc du genre mais…
Azalée remua, elle bougea faiblement et, reconnaissant l’endroit se leva brutalement. Elle regarda Yuki et se confondit en excuse :
_ je suis désoler Yuki je ne voulais pas mais euh…
_ c’est fini, dit Shigure la mine sombre, Azalée il n’y aura plus de transformations…
Le silence suivit sa phrase et Azalée se souvint :
_ Akito ! akito était chez moi ! il a dit que…
_ attend ! qu’est ce qu’il faisait chez toi ? cria Kyo
La jeune file leur raconta sa rencontre avec Kureno, l’arrivé d’Akito. Tohru fut surprise d’apprendre que l’homme dont parlait Arisa était Kureno soma. Azalée fini avec la phrase d’Akito :
_ il a dit qu’il devraient vous tuer…
Shigure enchaîna :
_en fait…ils nous tueras…mais en suivant un ordre qui lui est propre je pense…
_ comment ça ? demanda Kyo, J’y comprend rien !
_ il y a une suite à la légende, ajouta Yuki, mais je ne la connais pas vraiment je sais juste en gros en quoi ça consiste…
Le chien raconta :
_ « lorsque Dieu aura été trahi par 3 fois par ses serviteurs. Il les tuera, il tuera le premier qui l’aura trahis, et celui qu’il hait le plus. Après il sera en droit de tuer les autres ou de remettre la malédiction » c’est une sorte de suite parallèle. Kureno à trahi Akito en protégeant Arisa, Hatori en hébergeant Momo contre sa volonté et…
Son regard se tourna vers Yuki :
_ et moi lorsque j’ai quitté le manoir étant enfant…fini t-il, il ne peut pas voir Kyo ce sera donc lui et moi…les premiers à mourir.

A SUIVRE…

Chap 19
« source thermale, un lieu pas si sûr que ça »


Aucun bruit ne régnait dans le salon de la maison de Shigure, l’annonce était tombé comme un coup de fouet. Yuki gardait le regard baissé, ses yeux brillait sous l’ombre de ses cheveux, Kyo regardait Shigure dans les yeux en espérant que ce dernier lui annonce que c’était un blague mais ce il fixait obstinément ses mains, croisés sur la table, avec l’air de réfléchir profondément à un plan inexistant. Tohru était tellement choqué que les larme commençaient à monter à ses yeux qui ne se fermait pas, Azalée avait le cœur qui battait à toute allure, tremblante de froid et de peur. La peur de voir ses amis mourir les uns après les autres. Personne n’osait rompre le silence, comme si le moindre bruit de leur par attirerait le chef de famille, ils l’imaginaient, passer la porte d’entrée, son kimono glissant par terre avec un bruit léger. Lentement il s’approcherais de Yuki ou Kyo et abatterais son arme tranchante avant de se diriger vers l’autre, laissant sa victime dans un bain de sang. Ils chassèrent cette idées de leur tête en même temps. Ce fut Shigure qui brisa le silence en disant qu’il allait téléphoner à Hatori, il partit laissant les ados seuls dans leur mutisme respectif. Finalement Azalée commença à pleurer doucement, les larmes coulant sur ses joue et tombant comme de fines gouttes de pluies. Trop de malheur, de tension, de peur et de tristesse, Tohru lui tint le bras en pleurant aussi. Kyo râla et leur dit que ça ne servirais à rien de pleurer :
_ mais c’est vrai quoi ça vous concerne pas ! dit leur toi ! dit il en se tournant vers Yuki
Ce dernier soupira et ne dit pas un mot ce qui énerva encore plus le chat. Et il ne savait pas pourquoi il était si en colère ce qui le gonflait encore plus, finalement il décida de s’asseoir et lança :
_ bon ! on n’est quand même pas obligé de se taire !
Azalée releva la tête et le regarda avant de rire :
_ MAIS QU’EST CE QUE T’A ?
Azalée fit des signes mais laissa tomber et continua à pouffer, bientôt rapidement imité par Tohru. Les deux garçons se regardèrent et Yuki déclara finalement :
_ ça doit être nerveux, mais mieux vaut rire que pleurer pour le moment…
Les filles se calmèrent et arrivèrent à afficher un sourire forcé, Kyo continua de grogner et Yuki lui gardait un visage fermé mais calme. Ils attendaient patiemment que Shigure revienne. Ce dernier arriva en déclarant :
_ bon Hatori s’occupe de Momo quand à vous 4 direction les sources thermales, allez hop les jeunes !
_ pardon ? s’écrièrent ils tous en même temps
Shigure prit une voix théâtrale :
_ ne me remercier pas je sais à quelle point vous voulez le faire à genou de vous conduire à cet endroit de rêve mais par pitié contrôler vous ! allez faire vos bagages le minibus arrive dans 10 min !
Ils les poussa vers les escaliers en les empêchant de dire quoi que ce soit :
_mais dépêchez vous ! je sais que l’émotion vous coupe les jambes mais faites vite…
Les adolescents renoncèrent à poser des questions et montèrent dans leur chambres respectives, Azalée se dirigeant chez Tohru, les jeunes fille entrèrent dans la pièce et Azalée aida son amie à faire son sac mais elle s’inquiéta :
_ Tohru je fait comment moi ? je n’est pas de vêtement ici …
_ pas de problème je vais t’en passer on fait la même taille ! tu verra la station thermale est génial !
_ t’y est déjà allé ? raconte !
Elles se mirent à parler du lieu ou elles se rendaient, parler de chose banale après une horrible nouvelle, se concentrer sur autre chose en redoutant l’inévitable. Pliant tee-shirt et robes, pantalon et pull, le cœur gros mais le sourire au lèvres, l’envi de pleurer mais un regard joyeux.
A côté, dans la chambre de Yuki, le rat faisait tranquillement sa valise. Cette nouvelle, il s’y attendait depuis, depuis que Azalée avait découvert leur secret, il se doutait bien que quelque chose n’irait pas, peut être qu’Akito avait fait exprès de ne pas lui effacer la mémoire pour pouvoir en arriver la ? Et dire que Shigure essayait de détendre l’atmosphère. Il soupira et murmura en levant sa valise :
_ je ne suis pas sur que cela soit très prudent…Shigure
Kyo fermait sa valise rageusement, il avait peur. Il ne voulait pas mourir lui il voulait vivre ! Et le cleb’s qui faisait de l’humour, c’était vraiment pas le moment. Le rat qui savait tout ! qui sait toujours tout d’ailleurs ! et lui derrière on lui dit qu’il va mourir comme si on l’invitait au restaurant, mais il avait tellement peur. Le souvenir de sa mère, le sang gâchant son visage dans un éternelle sourire lui revenait en mémoire. Il chassa ses idée et ouvrit la porte, finalement il irait peut être mieux, tous ensemble…
Shigure fit grimper les adolescents dans le bus en leur faisant de grands signes de la main. Le moteur du véhicule se mit en route et il prit la route de la station emportant dans la nuit, les 4 enfants.
Resté sur le pas de la porte, Shigure regardait le bus rouler de plus en plus loin dans l’obscurité. Il soupira, dans peu de temps il serait là mais pour l’instant, seul leur vie lui importait. Il rentra dans la maison, ranger les affaires leur appartenant avant de faire celui qui ne savait rien…
Dans le minibus, le chauffeur conduisait de l’autre côté d’une vitre insonorisé en râlant intérieurement contre ces gens qui en réveille d’autre sans raison valable, enfin c’est ce qu’il pensait. A l’arrière, les filles en face des garçons, les ados parlait du comportement de Shigure :
_ je le crois pas ! on apprend qu’on va se faire tuer et lui il nous envois aux sources ! protesta Kyo
Tohru s’inquiéta :
_ j’aurais du lui faire quelque chose à manger !
Ils l’a regardèrent tous en souriant tristement, c’était pour elle la façon de dire qu’elle s’inquiétait. Azalée regarda Yuki, il semblait penser à la même chose qu’elle, cela l’arrangeait alors elle parla :
_ j’ai quand même l’impression que c’était…imprudent de sa part non ?
Yuki tourna la tête vers elle et lui sourit :
_ très imprudent, il se met en danger de cet façon…
_QUOI ? hurlèrent Tohru et Kyo à l’unisson
_ Akito se sent proche de Shigure alors ce sera la première personne chez qui il va aller…
Le véhicule roulait vers la station pendant que les jeunes gens s’endormaient doucement. Laissant leur esprits se tranquilliser le temps du voyage…

«_ DIT MOI OU ILS SONT !
Shigure gardait le visage baissé, il lui désobéissait pour la première fois mais il refusait, refusait de voir Yuki et Kyo mourir ainsi. Kyo avait fait tellement d’effort pour se sortir de son propre désespoir, de sa douleur la mort de sa mère le rejet de son père puis de lui même. Il avait surmonté tout ça et il devait vivre. Il ne pouvait accepter de voir Yuki s’éteindre aussi, le jeune enfant qu’il avait hébergé sur une demande de Haru, lui qui réussissait enfin à sourire et à s’ouvrir aux autres. Un autre coup survint, moins fort que les autres…ou alors était ce la douleur qui commençait à l’empêcher de ressentir autre chose. Les coup fusèrent, le sang aspergea le mur. D’un coup il le lâcha en hurlant, hurlant de fureur. Il les sentaient, ils n’étaient pas loin :
_ parle et ainsi je te sauverais…Shigure, mon petit chien, obéis à ton maître…
Shigure leva le visage, ses cheveux noirs lui tombé sur la figure, couverte de blessure sanglantes, et il fit ce qu’il n’avait jamais oser imaginer. Il lui cracha au visage, avant de tomber sur le sol, respirant faiblement. Akito hurla et frappa une ultime fois avant de s’en retourner à la résidence…

_Ce que c’est grand !
Azalée se trouvait devant un immense hôtel de bois, cela ressemblait à un antique palais japonais. Les fenêtre s’élevait sur au moins 4 étages, les volets immobile, plaqué contre le mur. Une grande porte de bois massif avec le blason de la famille soma se tenait devant eux. Tohru avait l’air ravie de se tenir ici de nouveau quand à Azalée elle était simplement émerveillée devant une telle splendeur. Les garçons arrivèrent, les valises en mains et ouvrirent la marche mais la porte coulissante s’ouvrit laissant apparaître deux femme en kimono. L’une avait les cheveux noir, noués en chignon, un kimono vert pale avec une ceinture noir. Elle semblait être âgée d’une quarantaine d’année, sûrement la mère de l’autre jeune fille. Une très belle d’ailleurs, ses cheveux long et mordoré, les yeux marrons et un grand sourire au lèvres. Tohru s’exclama :
_Madame l’hôtelière Ritsu je suis ravie de vous revoir !
« ainsi donc la jeune fille c’est Ritsu et l’autre c’est la gérante de l’hôtel… »
Ils entrèrent tous jusqu'à arrivés à une chambre spacieuse, l’hôtelière prit la parole :
_ mes enfants, je vous est mis les mêmes chambres que la dernière fois, mademoiselle Tohru vous dormirez avec Azalée et vous deux les garçons vous serez juste à côté.
Kyo soupira mais accepta, pour une fois, de se trouver dans la même chambre que son cousin. Ritsu s’inclina devant Azalée :
_je suis Ritsu soma enchanté !
_enchanté moi aussi je…euh, qu’avez vous,
Les yeux de Ritsu regardait derrière l’épaule de la jeune fille dans un sentiment de peur inconsidéré. Les ados se retournèrent et virent les couvertures posé sur des lits :
_ho ho, dit Yuki
_ c’est partit, dit Kyo
Ritsu hurla :
_MAMAN LES LITS NE SONT PAS FAIT !
Ce fut comme si une tornade venait d’éclater et la mère hurla a son tour en d’adressant au jeunes gens :
_NON NOUS SOMMES DES INCAPABLES ! PARDON PARDON D’AVOIR COMMIS UNE AUSSI GROSSE ERREUR JE SUIS DESOLER JE SUIS HONTEUSEMENT DESOLER NOUS ALLONS REPARER CA TOUT DE SUITE !
Azalée et Tohru tentèrent de dire que ce n’était pas grave mais rien a faire Ritsu s’y mit aussi et ce fut une bagarre d’excuse qui démarra devant les enfants :
_ JE SUIS LA PLUS DESOLER !
_NON C’EST MOI
_MOI
_MOI
Finalement plusieurs heures plus tard les enfants passèrent à table devant un somptueux repas, composé de toute sortes de plats exquis. Azalée fut mise au courant pour l’humeur instable de cette partit de la famille mais cela fit rire la française en affirmant que c’était tout de même très drôle. Ils allèrent ensuite aux sources chaudes, fille et garçon séparé, discutant à travers la palissade de bois. A la fin ils allèrent se coucher et Tohru annonça à son amie une nouvelle qui l’a fit sursauter :
_hein Ritsu est un mec ???
_oui, rigola Tohru, j’ai vu que tu le prenais pour une fille depuis le début, comme moi à la première rencontre !
Elle s’endormirent vite en pensant que tout irait bien mais le drame survint le lendemain soir.
Kyo était allé se balader dans le fond du jardin comme à son habitude, les autres étant rester parler dans le salon. La fraîcheur du soir et le bruit des insecte contribuèrent au fait qu’il ne l’entendit pas. Rapide, sans un bruit, il surgit dans son dos et lui passa le bras autour du coup. Le chat voulut crier mais il n’avait plus de souffle, Akito avait une force incroyable :
_mon petit monstre, tu va mourir maintenant !
Le regard de Kyo se voilà au moment ou il fut poussé contre un arbre, Akito leva son arme et le chat ferma les yeux, pensant à Kagura, à ses cheveux bruns mais la douleur ne vint pas. Il se retourna, encore tremblant et vit que Akito avait disparus, à ses pied se trouvait Ritsu. Allongé sur le sol, les ventre transpercé en train de se vider de son sang. Kyo hurla, ses amis et la gérante accoururent. La scène qui suivit fut dur pour tous. Tohru s’effondra totalement, et, les mains devant la bouche, pleura toutes les larmes de son corps. Yuki hésita un instant, puis la prit dans ses bras ou elle s’y accrocha comme seule source de salut. Kyo laissa Azalée lui serrer le bras très fort pour éviter de tomber, il comprit que Ritsu, voyant le chef de famille, s’était jeté devant lui pour prendre le coup à sa place. Il était mort, le singe du zodiaque s’éteignait dans une mare rouge, sa mère le tenant dans ses bras et pleurant doucement en s’excusant, des excuses sincère et terriblement triste : « pardon pour ne pas t’avoir assez aimé, tu es mon fils et je ne l’oublierais jamais ,pardon »

Hatori avait les yeux écarquillé devant le corp froid de Shigure, cela faisait 10 min qu’il reprenait son pouls, cherchant une respiration mais rien et pourtant il refusait d’y croire. Le visage et le corps battu, les yeux fermer et le sang coulant par un couteau enfoncé dans le dos. Shigure ne bougeait plus et Momo, qui avait accompagné Hatori malgré l’interdiction de ce dernier dit :
_ Il est mort…comme ma maman et mon grand frère
Hatori pleura comme il n’avait jamais pleurer, il pleura comme un enfant, depuis la fin de son histoire avec Kana il n’avait plus versé de larme mais là il ne pouvait pas se contenir. Momo ajouta en s’endormant contre lui :
_ la mort…

_...fait partit de la vie, murmura Azalée
« je ne veux pas y croire ! Il a échoué avec Kyo donc, il s’en prendra à Yuki après »
Un regard vers ce dernier lui apprit que lui aussi, savait…

A SUIVRE…
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love_kisa
posté Jan 14 2006, 10:12 AM
Message #14


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Un second espoir (suite et fin)

Chap 20

"la fin"

La semaine fut très dure, Shigure et Ritsu furent enterrés le même jour, à la même heure…côte à côte près de la tombe de Momiji qui était déjà recouverte de fleurs multicolores. La gérante de la station thermale était soutenue par son mari devant la tombe de son fils, toutes les larmes de son corps y passaient, les yeux equarquillés derrière ses doigts écartés, acroupie devant la pierre tombale en hurlant des phrases tel que : « pourquoi lui ? pourquoi dites moi ! ». Doucement les deux cercueil entrèrent sous terre pour leur dernier voyages,ce fut à cet instant que tout bascula. Kisa alla se refugier dans les bras de Hiro en tremblant de toutes ses forces et en pleurant à chaudes larmes, Tohru gardait les yeux baissés en serrant fortement la main de Yuki qui soutenait Ayamé. Le serpent resté accroupis sur le sol en ne prononçant pas un mot, ses yeux étaient vides d’expression et la douleur pouvait s’y lire. Hatori portait Momo dans ses bras, l’enfant avait de fines gouttes salés qui coulaient le long de ses petites joues, Kagura ne retenait pas le liquide qui debordait de ses yeux, Kyo la tenant par les épaules gardait le regard fixe sur le trou qui se recouvrait peu à peu de terre. Mitsuru, l’attaché d’édition de Shigure pleurait devant les deux tombes mais ne s’empêcher pas de regarder la dernière photos de Ritsu en ayant une expression de fatigue incomparable. Tous les membres ne souhaitaient qu’une chose, en finir avec ses massacres. La malédiction pouvait revenir ils s’en fichaient, ils avaient peur.
A la fin Azalée laissa la famille Soma partir avant de se diriger vers les trois pierres côtes à côtes, elle s’accroupit, jamais elle n’avait prié de sa vie mais décida au moins de rester dans cette position :
« je ne sais plus quoi faire par pitié je n’en peux plus »
Elle resta ainsi pendant une bonne dizaines de minutes, pensant très fort à ces personnes que plus personne ne reverraient. Et une voix se fit entendre dans sa tête, elle reconaissait le ton un peu enfantin de Momiji, juste une phrase :
« je veux que tu souris tout le temps Azalée »
Le visage du garçon lui revint en mémoire, les cheveux d’un blond parfait, des yeux marrons refletant un regard malicieux, si jeune et si adulte. La voix gaie et enjoué de Momiji sonnait doucement aux creux de ses oreilles, Shigure qui les avait écarté de sa maison juste pour eux, et Ritsu avec son visage rayonnant, si…si simple…
Elle rouvrit les yeux, le soleil descendait lentement derrière les immeubles que l’on voyaient au loin, elle se leva, cet voix était ce un effet de son imagination ? Elle repartit vers la pension, l’envie de voir les soma était trés forte mais sûrement pas raisonnable, elle les surveillerait…de loin mais ne s’en approcherait pas :
« peut être le seul moyen pour que je regagne le sourire…Momiji »

L’ècole repris en debut de semaine, Yuki,Kyo et Haru reçurent des condoléances toutes la journées. Ils remerciaient leur auteur sans sourire, leur peine était encore trop grande. Le lycée se posait quand même des questions, autant de mort dans cette famille depuis…depuis que Azalée était arrivé. Rapidement les regards vers la jeune fille se firent noirs, on chuchotait sur son passage, on lui lançait des bouts de gommes pendant que les professeur ne regardaient pas. Elle recevait des messages dans son casier : « rentre chez toi et arrête de tuer des gens »
Azalée laissaient les regard et les remarques glisser sur elle, recevaient les projectiles et les insultes sans y répondre, évitait le regard des Soma et de Tohru qui tentaient tant bien que mal de prendre sa défense. Kyo s’énervait rapidement mais il suffisait que l’on lui rappelle un des mort pour qu’il regagne un certain mutisme, Yuki ne pouvait en faire plus et Haru devenait de plus en plus souvent « black » pour se calmer instantanément, inconsciemment, il savait que cela n’arrangerait rien. Tous disparaissaient après les cours pendant plusieurs heures pour ne rentrer que très tard, Yuki rendait visite à Ayamé à sa boutique, essayant tant bien que mal de lui faire retrouver le sourire en se forçant lui même, aidant Minné à l’acceuil, Kyo allait se réfugier chez son maître, faisait les entrainements avec lui et se battait pour évacuer son stress. Il y retrouvait Kagura et ensemble ils parlaient de toutes sortes de chose avant de s’embrasser. Haru quand à lui, restait avec Rin jusqu'à très tard le soir dans de longues promenades nocturne, il l’a raccompagné chez elle et se glissait au manoir la peur au ventre.
Il était 18h30, Yuki rangeait quelques materiels de couture avec Ayame, ce dernier ne partait plus dans de long discours roccambolesque et ne parlait, au contraire, presque plus. Il fixa son petit frère le regard vide :
_pourquoi tu restes la ?
La question prit le jeune garçon de court mais içl répondit franchement :
_tu ne gére plus rien, Minné n’y arrive pas seule alors je viens c’est tout…
Ayamé rit doucement puis de plus en plus fort, son rire devint un hurlement déchirant et les larmes innondèrent ses yeux. Yuki le regardait tristement avant de le prendre dans ses bras, comme il aurait aimé que ce dernier fasse avec lui même quand il était petit. Il lui chuchota des mots pour le calmer et doucement, le serpent tomba, épuisé dans ses bras. Yuki l’allongea sur le canapé et sortit en prevenant Minné.
Kyo avait fini son entrainement, il avait décider comme chaque soir de rester un peu plus longtemps au dojo. Il s’y sentait en securité dans le jardin devant la grande batisse en bois. Ce soir là comme à chaque fois Kagura vint avec un petit panier, et ensemble, assis sur le muret de pierre, ils mangeaient tranquillement en parlant des dernières prises qu’ils venaient de voir, de livres lus recemment :
_ je vais y aller, murmurra Kyo, ils vont m’attendre je suis sur qu’ils sont déjà rentré depuis longtemps.
_ Kyo…
Le chat lui prit delicatement le visage entre ses mains et approcha doucement le sien, leur lèvres s’éffleurèrent avant de se rester l’une à l’autre en un long baiser. Kyo se sentait si bien à ce moment là, ses soucie et ses peines disparaissaient dans un tourbillons d’étoiles et lui laissait un sentiment de calme même à la fin de cet instant.
Lorsqu’il rentra chez lui il trouva comme d’habitude la maison bien vide, l’absence de Shigure rendait le lieu plutot lugubre. Hatori leur avaient proposé de venir loger au manoir, mais après un refus catégorique de Yuki les deux autres lui avaient dit qu’ils preferaient rester dans cette maison aussi, le bruit de conversation s’arrêta au moment ou il arrivait dans le salon. Il avait entendu Tohru qui disait que Azalée ne répondait toujours pas. Kyo alla cherche un verre d’eau pour s’asseoir avec eux :
_ comment s’est passé ton entrainement Kyo ? demanda Tohru
_ ouai comme d’hab’ je suis rester un peu à la fin avec mon maître puis avec Kagura et vous ?
Le chat et le rat s’appréciaient desormais, depuis que Shigure était mort,non, depuis que Azalée était arrivé, ils ne voyaient plus de raison de se disputer.
_ j’ai essayer de voir Azalée mais personne ne m’a répondu, dit Tohru, il faudra lui parler, je n’ai pas oser l’apeller…
_comment t’a sue que y avais personne alors ? demanda Kyo
_je devais retrouver Uoh et Hana et j’en est profiter pour sonner…pourtant j’ai entendue du bruit…
_ elle devait pas vouloir ouvrir voilà tout, et toi ?
_ Ayamé ne va vraiment pas bien et je sais plus quoi faire, soupira Yuki
Tohru trouvait que le garçon ne montrait aucun sentiments, ni tristesse ni peine. Ayamé venait souvent pour rester avec Yuki, ainsi que Kagura avec Kyo. Tohru elle passait très longtemps en compagnie de ses amies. Kyo et Yuki levèrent la tête en même temps en faisant signe à Tohru de ne plus faire de bruit, ils se rendirent dehors et rentrèrent quelques minutes plus tard avec Ayamé à bout de bras, l’homme était complétement sonné. Il dégageait une âcre odeur d’alcool et pleurait. Yuki soupira et le porta d’un coup seul :
_ je vais m’en occupé, je comptais allé me coucher de toute façon, bonne nuit !
_nuit’ dit Kyo
_ à demain, lui sourit Tohru
Yuki avait laissé son lit à Ayamé, ce dernier s’excuser sans cesse envers lui mais il fini par s’endormir, il n’avait pas bu beaucoup. Yuki tombait de fatigue sa tête glissa sur le côté et commença à fermer les yeux quand quemlque chose lui boucha le nez et la bouche. Une douce odeur lui monta au nez et il n’eut que le temps de voir la fenêtre grande ouverte avant de sombrer dans le sommeil.
Le lendemain, Tohru alla réveiller Kyo qui ne se lever toujours pas. Ce dernier grogna et l’apperçut :
_mince il est tard ?
_un peu mais c’est bon, Yuki ne se lève pas non plus…
_ il se lève jamais attend j’y vais, si ça se trouve il a pas dormi de la nuit avec Ayamé sur les bras.
Tohru redescendit pour mettre la table du petit déjeuner, instoinctivement elle avait pris dans ses mains les couverts de Shigure avant de les reposer tristement. Un appel de Kyo l’a sortie de ses souvenirs et elle monta à toute vitesse pour se retrouver devant une chambre vide, Ayamé était assis sur le lit de Yuki et secouait Kyo en hurlant des paroles incomprehensible. Kyo le força à se calmer et Tohru lui apporta un verre d’eau que ce dernier vida d’un coup avant de reprendre :
_ il n’est plus là ! je me suis levé et il avait disparu !

Azalée dormait, un bruit dans la rue la fit brutalement sursauter, elle se leva et s’approcha de la fenêtre fermé. Elle apperçut un homme en noir qui tirait une sorte de paquet. Son rêveil se mit à sonner et alerta l’homme dans la rue qui leva les yeux vers sa chambre, Azalée se glaça. C’était Akito et le sac qu’il tirait, elle distingua la tête de Yuki. Elle courut éteindre son rêveil avant de se précipiter au balcon mais seul dans la rue restait les deux poubelles renversée qui l’avait alerté. Sans perdre de temps elle s’habilla.

_ calme toi Ayamé il doit bien il y avoir une raison !
_ c’est ma faute ! il va mourir comme Shigure et je vais me tuer je vais me tuer !
Il commençait à perdre la raison,Tohru voulut s’en approcher mais quelque chose retint son attention. Elle ramassa un mouchoir humide sur le sol et le tendit à Kyo, ce dernier le prit et s’exclama :
_M*RD* c’est du chlorophorme !
Le téléphonne sonna, il le décrocha sans hésiter :
_Azalée ? s’étonna il

Azalée se tenait à moitier habillé au fond de sa chambre, elle essayait de passer son pantalon, le combiné callé entre son oreille et son épaule. Elle raconta à Akito ce qu’elle venait de voir pour s’assurer que ce n’était pas faux, il lui répondit que vu la situation c’était la vérité. Et elle raccrocha sans lui laisser le temps d’en dire plus. Elle descendit les marches d’escaliers quatre à quatre et courut de toute ses forces vers le manoir Soma. Le paysage était flou , son cœur commençait à cogner contre sa pointrine, ses jambes lui brulait tant elle forçait dessus. Le souffle commença à lui manquer qauand l’imposant portail se présenta devant ses yeux. Elle fonça vers le lieu de résidence du chef de clan.

Yuki battit doucement des paupières, il reconnut instantanément l’homme qui se trouvait devant lui, il était accroché à un des poteau supportant le toit, les cordes commençaient à lui bruler les membres. Encore étourdis par le produit qu’il avait respirer il n’osait pas parler. Akito remarqua qu’il s’était réveiller et le frappa, la tête du garçon tourna d’un coup sur le côté manquant de peu le bois. Akito continua, chaque gifles sortait Yuki de sa léthargie mais le plongeait encore plus dans sa torpeur, puis le chef de clan s’arrêtat :
_ alors petit rat, pourquoi nargue tu ton Dieu ainsi ?
_je ne vous…nargue pas akito
Un coup lui coupa la parole, le sang commença à couler de sa joue :
_ NE MENS PAS AUJOURD’HUI TU VA MOURIR APRES CE SERA LE TOUR DU MONSTRE !
Il leva son poignard et fendit l’air, Yuki ressentit une vive brulure sur son bras qui était libéré de la corde. Cette dernière avait était sectionné en même temps qu’une partit de sa peau. Il ne pouvait plus prononcer un mot, l’étourdissement et la peur le bloquait. Akito lui attrappa la gorge et le souleva de terre comme si ce n’était qu’une simple poupée de chiffon :
_ c’est ça la force de Dieu petit rat, péri maintenant péri de la main de ton maître !
Yuki commençait à agoniser, son rythme cardiaque s’accélérat, il n’avait plus d’air. Dèjà la tête lui tourner, il sentait un froid obsucure s’emparer de lui, ses membres devinrent raide et gelé , il s’éloignait lentement…
Akito se figea, son sourire s’effaça et ça main lacha le rat qui tomba louirdement sur le sol en suffoquant. Sa tête lui tourner mais il la leva vers le chef, ce dernier rester en l’air avec une expression de stupeur sur le visage et il tomba sur le ventre devant Yuki, un poignard profondément enfoncé dans son dos et à la place Azalée, les mains en sang. Yuki se leva et se dirigea vers Azalée :
_ Azalée c’est toi qui a…
La jeune fille ne le regardait pas, ses yeux s’innondèrent de larmes et elle se jeta dans les bras de Yuki, ce dernier tomba sur le sol avec l’enfant qui pleurer dans ces bras. La porte s’ouvrit et les Soma pourvaient voir Yuki, le visage rougit par les coups et le bras ensanglanté qui tenait une jeune fille en pleurs dans ses bras, les mains de l’enfant couvert de sangs, souillé à jamais. Et Akito, un couteau dans le dos, mort, qui baignait dans le sang de sa haine. Yuki mit une main sur la tête de Azalée et lui dit la voix un peu enroué :
_ c’est fini, tout est fini maintenant.

« Le vol en direction de la France ! porte n°73. Merci »
La voix mécanique d’une hotesse de l’air résonna dans l’aéroport. Azalée tenait ses sac à bout de bras. Yuki et Tohru main dans la main lui souriait, le jeune garçon n’avait eu aucune blessures vraiment graves il s’en tirerait sans sequelles, son frère lui tenait les épaules au côté de Hatori qui tenait la mains de Momo qui se trouvait entre le médecin et son père. Kagura avait les épaules entouré dans le bras de Kyo, Haru entouré délicatement Rin dans une position de protection. Hiro se trouvait devant sa mère, une mains autour de son fils, l’autre portant le jeune Shinji qui regardait l’aéroport avec ses yeux innocents. Kisa se tenait très prêt du mouton qui rougissait lorsque leur doigts se frôlaient. Et Azalée se tenait en face d’eux, devant la porte de son avion :
_ tu veux vraiment partir ? demanda Rin
_ je ne peux plus rester au Japon, j’ai tué une personne, qu’importe les circonstance je ne peux pas rester.
Après un bref « adieu » elle se tourna vers son avion pour que ses amis ne voient pas ses larmes, elle leur avait demandé la veille de ne jamais venir en France, et elle, elle ne retournerait pas au Japon. C’était sur cet aéroport que se finirait leur histoire. La jeune fille penetra dans le couloir et disparut à un angle. Les soma repartirent doucement. Azalée, assise sur son siège pensa :
« adieu mes amis, c’est ici que nous nous quittons mais… »
« nous partons avec toi… » pensérent Yuki, Kyo et Tohru en route pour rentrer chez eux.
Qu’importe ce qu’il adviendra, l’avenir ne peut être que meilleur. Un rayon de soleil éclairé les trois tombe dans un cimetière desormais en fleurs :
« je veux que tu souris tout le temps Azalée ! »

FIN

épilogue

« salut c’est moi Azalée ! je me dois de finir cette histoire sur une touche joyeuse je pense alors voici ce que je sais des soma, nous correspondant encore un peu par lettres et chacune d’elles à apporté son flot de bonne nouvelles. Tout d’abord il n’y pas eu de « deuxième Akito » certains membres pouvaient le remplacer en tant que chef de famille comme Yuki ou Hatori ou encore Kureno mais aucun d’eux n’a voulus ! le clan soma reste donc sans chef, pour Yuki on m’a dit que ses liens avec Ayamé se sont fortement améliorés et que tous ce passe bien avec Tohru…enfin bon une happy end quoi ! Kyo et Kagura égal the couple m’a on dit ! j’aimerais tant des photos mais j’ai refusée lorsqu’ils m’en on proposés…les revoirs me donnerait envie de partir mais je ne peux pas. Hiro fait un parfait grand frère soutenue par la petite Kisa, Rinne et Haru se sont enfin réconciliés mais ceci ne s’est pas fait sans obstacles, il faudra à Rinne encore un peu de courage pour se libérer complètement de ses craintes mais Haru est quelqu’un de très responsable, tout ira bien ! Hatori revoit Momo qui vit désormais avec son père, mais il doit partager son temps entre l’enfant, son boulot et…Mayuko ! paraît il qu’il se voient beaucoup houlà finalement il avaient tous une petite copines ! Kureno aussi, Arisa ne sait juste pas encore son nom de famille…je me demande combien de temps il pourra encore lui cacher… en bref tout va bien pour eux, et moi ? je crois que je ne pourrais jamais sortir définitivement de ce sentiment d’enchaînement ni me pardonner mes erreurs. J’ai tué Akito soma, et d’autres aussi mais je crois avoir aussi réussie bien des choses. Bon c’est d’ici, de ce cimetière prête de cette tombe que tout fini. Eh oui Robin c’est là que l’on va se quitter, je te rend ton collier, je crois que cela t’a maintenu à moi mais maintenant il faut que j’avance seule ! »
La jeune fille referma son cahier et détacha avec des gestes lents la chaîne de son cou. Elle s’orientât devant la tombe, se baissa et posa le bijou devant la photos…elle hésita…se leva et partit en courant. Elle se retourna une dernière fois avant de quitter à jamais ce lieu de refuge :
« adieu Robin »
La chaîne scintilla et un petit garçon, translucide, apparut :
« adieu Azalée… »
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love_kisa
posté Jan 18 2006, 09:19 PM
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Et attention les yeux XD Voila une chose qui trottait dans ma têtes depuis quelques semaines...la suite de "Un second espoir"!! oui oui il s'agit bien de la fic au dessus, qui est aussi ma toute première fic ^^

petite note importante: Cette fic va surement comporter des spilers, je n'en suis pas vraiment sur mais je le pense bien. Certaines choses ne peuvent par contre pas changer entre ces deux volets spoiler Dans ma première, Hiro à un petit frère appelé Shinji...et non une petite soeur nommé Hinata. Ca, je ene peux pas le changer pardon v_v


UN SECOND ESPOIR : VOLET II
L'AME DES MORTS


RESUME DU VOLET PRECEDENT Azalée Misso, 16 ans, débarque de la France au Japon direct au lycée Kaïbara. Elle découvre très vite la malédiction frappant Kyo et Yuki soma, ses camarades de classes. Elle se lit d’amitié avec chacun des membres, jusqu’à ce que ses rêves l’orientant vers son rôle « d’ange gardien » la mette de nouveau au qui vive. La malédiction se trouve levé, Akito enclenche la suite de la malédiction. Il décide de tuer Kyo et Yuki, après la mort de Momiji. Shigure meurt en les protégeant, les envoyant Azalée, Kyo, Yuki et Tohru dans la station thermale. Ritsu protége Kyo d’Akito et meurt à sa place. Le chef de famille décide de s’en prendre à Yuki, Azalée arrive à temps et tu Akito d’un coup de poignard dans le dos. Poussée par les regret, elle fini son année scolaire (qui touchait déjà à sa fin) et rentre en France, disant adieur à toute la famille soma (Hiro ayant eu un petit frère, Shinji, maudit quelques temps par l’esprit du lapin remplaçant ainsi Momiji). L’histoire se termine sur Azalée qui rend la chaîne de son ami Robin, décédé plusieurs années avant , en la posant sur sa tombe. Elle s’en va ainsi et décide de tourner le dos au passé… C'est un resumé trés peu complet, je vous conseil de lire la premiére ^^


CHAP 1 : De retour aux sources

Ils traversaient une épaisse forêt, il était plus de minuit à présent. La lune disparaissait aléatoirement entre els branche des arbres de plus en plus touffues au fur et à mesure qu’ils avançaient. Les deux formes se frayaient un chemin, prudemment, respectant le plus possible le silence environnant. La plus grande silhouette s’arrêta et se retourna :
_ Pas trop fatiguée ?
_ C’est moi qui est voulue venir papa, ça m’intéresse vraiment ! Il n’y à que toi pour faire des recherches de cette sorte, s’esclaffa l’autre
Le père posa une main affectueuse sur sa tête et sourit :
_ J’aime mon métier…
Les fourrés autour d’eux s’agitèrent violement, ils cessèrent de respirer. Peu à peu, de grand yeux luisant apparurent dans la nuit. Leur pattes émirent de léger frottement sur les feuilles mortes déposée sur le sol. Ils grognèrent faiblement, des crocs jaunes apparurent, le père se plaça devant son enfant mais ils en arrivaient de derrières :
_ Ce sont eux ? comment…pourquoi ? murmura l’enfant avec ce qui lui restait de voix
Ils bondirent, aussi silencieux que la façon dont ils avaient entouré les deux êtres. Le père poussa sa fille en avant, elle tomba sur le sol et se retourna immédiatement :
_ COUR AZALEE, COUR VIT…
Ce fut ses derniers mots, devant le repas que les bêtes se faisait de son père, Azalée hurla, l’un d’entre eux tourna alors son visage allongé dans sa direction. Les jambes de l’adolescentes ne bougeaient plus…

_Azalée, tu es bien sur que tu ne le regrettera pas ?
La mère de la jeune fille avait les mêmes yeux qu’elle mais les cheveux court et blond. Elle regarda sa fille, une lueur compatissante dans le regard. Azalée fixa ses pieds, emmitouflé dans des chaussons de laines, elle ne savait même plus ce qu’elle devait ou ne devait pas faire. Elle ferma ses paupière, son rêve se superposa alors dessus, elle les rouvrit et se força à sourire :
_ Je ne regretterais rien. Ils comprendrons, et si cela ne se passe pas comme prévu…je rentrerais.
Elle leva son bras en l’air, le billet d’avion fermement tenu entre son pouce et son index :
_ Le Japon m’attend maman !
Sa mère sourit à son tour. Azalée se mit à pleurer sans le vouloir, conservant un aimable sourire sur ses lèvres rouges. Ses yeux verts se refermèrent fortement, elle essuya de son bras ses lames, mais le flots ne s’arrêtait pas. Sa mère la prit dans ses bras et chuchota au creu de son oreille :
_ Je sais que tout ira bien…
« Parce que rien ne peut aller plus mal » pensa tristement l’enfant.

Tohru retira son tablier de travail et le rangea dans son casier, elle y récupéra son tee-shirt et se changea rapidement. Elle regarda sa montre , elle avait finie pile à l’heure. Il n’était pas très tard, c’était à son tour de faire le repas ce soir, elle attrapa le sac plastique contenant ce qu’elle avait préparé quelques minutes plus tôt et sortit du vestiaire. Elle salua Arisa d’un signe de la main, son amie la gratifia d’un sourire.
La nuit était fraîche, le vent fit voler les ,désormais, très long cheveux bruns de Tohru. Ils lui arrivaient au milieu des fesses, ses grand yeux bruns dégageaient toujours autant de chaleur et de joie de vivre. A la vue du petit chemin serpentant dans els bois jusqu’à chez elle, elle accéléra. La jeune fille ouvrit la porte et retira rapidement ses chaussures dans l’entrée en s’écriant :
_ Je suis rentrée !
Un bruit se fit entendre, la porte à sa droite s’ouvrit et Yuki apparut tout sourire. Il avait beaucoup grandi, bien que Kyo ne le dépassa d’un centimètre, ses cheveux gris avaient gardé leur coupe habituelle mais ils avaient légèrement poussé. Il s’écarta quand Kyo apparut à son tour :
_ Il fait plutôt froid non ? t’as les joues rouges Tohru.
Ses cheveux oranges étaient passé de son ancienne coupe, normalement lisse, à des cheveux presque tous le temps en batailles, surtout lorsqu’il étudiait, ce qui était le cas. Ses yeux rouge tombèrent sur le sac que tenait Tohru et il s’exclama :
_ Je meurt de faim !
Tohru sourit, Yuki rit :
_ Goinfre va ! plaisanta t il, fallait t’occuper du repas.
Son cousin lui jeta un regard en travers, disparut de la vue de Tohru pour retourner dans le salon et revint vers la jeune fille en lui plaquant son livres devant les yeux :
_ J’ai bloqué la dessus…est ce une bonne excuse ?
La jeune fille lut la question de math et du bien admettre qu’elle n’y comprenait rien. Kyo poussa une exclamation victorieuse et envoya le manuel à Yuki qui le rattrapa d’une main en soupirant :
_ Tu es sur que tu ne veux pas que je t’aide ?
_ NON, pas cette fois, se plaignit Kyo.
Ils se mirent à table. 4 ans après leur sortit du lycée, ils avaient décidemment choisit des voies bien différente, Tohru, conformément à ses désirs, avait arrêté les cours, travaillant avec Arisa dans le meilleur restaurant de leur ville, comme serveuse et cuisinières. Yuki s’était orienté vers une fac de lettres, il allait dans la même université que Kyo qui lui avait choisit une voie scientifique. Yuki et Tohru étaient finalement redevenus de très bon amis, l’ancien rat ayant orienté la jeune fille vers Kyo, qui avait vu en Kagura une grande sœur. Ce que sa cousine avait très bien pris, et qui assumait son rôle avec sérieux, l’appelant tous les deux jours. Machi Kuragi était allée trouvé Yuki un mois après. Ils leur fallut deux semaines pour se mettre officiellement ensemble, ce que Manabe Kakeru s’était fait une joie de révéler a tous :
_ Haru à appelé, se souvint Yuki, il voudrait savoir une chose…
_Quoi ? demanda Tohru
_ Ce que Rin voudrait pour la saint valentin
Tohru se frappa le front, s’était bien vrai que le 14 février était après demain,elle avait complètement oubliée :
_ Elle m’a parlé d’un collier il me semble…de l’or avec un pendentif d’argent représentant un lotus…
Kyo avala sa bouchée :
_ Elle demande pas des trucs dur, et toi Tohru tu veux quoi ?
La jeune fille lui fit un clin d’oeil et tira la langue malicieusement :
_ Ca ,c’est à toi de voir.

Azalée arpenta les rues marchandes, fraîchement arrivé elle avait eu la triste confirmation de la fermeture de la pension qui l’avait hébergé il y avait bien longtemps. Avec sa mère ,elles avaient réservé un appartement dans le centre, elle y avait rapidement déposé ses affaires mais devait partir à la recherche d’un futon et de quoi remplir son frigo vide. Ses cheveux bruns étaient relevés en queue de cheval haute par un élastique rouge et brillant, ses yeux verts guettait comme un prédateur cherche sa proie, à l’affût de la moindre promotion ou supermarché. Elle s’arrêta et prit le temps de regarder autour d’elle, des maisons, des boutiques, encore des boutiques :
« Que des vêtements, et rien pour mon estomac ce soir, misère »
Elle déboutonna son manteau noir, révélant son pull vert émeraude qui couvrait le début d’un jeans délavé. Elle regarda en face d’elle…

_ Merci Tohru, tu m’arrange bien là.
La jeune fille répondit que c’était avec plaisir, le garçon voulait prendre une robe pour Machi et Tohru faisait à peu prés sa taille. Une voix les appela :
_ YUKI ! TOHRU !
Agitant les deux bras quelque mètres devant eux, des larmes dans des yeux verts et scintillant, Azalée rigolait en les appelant.

A SUIVRE….

Chap 2 : les gens changent, les souvenirs restent
_YUKI ! TOHRU !
Les deux adolescents s’arrêtèrent, ils ne pouvaient pas se tromper sur la personne, autour d’eux les passants avaient stoppé leur marches. Azalée courut vers eux et , arrivé sous leur yeux elle s’écria :
_ J’ai bien faillie ne pas vous reconnaîtrent !
_ Azalée, c’est bien toi ? demanda timidement Tohru
La jeune fille hocha frénétiquement de la tête. Comment auraient ils put se tromper ? Aussi étrange que cela paraissent, Azalée était resté la même que ce jour de départ à l’aéroport. Des cheveux bruns, de grand yeux verts et un visages aux traits fins. Son timbres de voix était toujours aussi gaie et rieur que dans leur souvenirs, léger et clair comme l’eau d’un ruisseau. Tohru l’a prit dans ses bras, Yuki souriait pleinement :
_ Que fait tu ici ? demanda t il
_ Oh, une trop longue histoire, s’esclaffa Azalée, venez on va boire un coup ? Je vous explique brièvement !
Elle désigna un café à proximité d’un signe de têtes. Sans hésitation, en pressant le pas, ils s’y rendirent. Les trois personnes commandèrent un thé à la rouquine qui occupait le poste de serveuse. Devant leur tasses fumantes , les mots ne sortaient plus. Ils ne s’étaient pas vus durant 4 ans, les lettres avaient arrêter leur échanges au bout d’à peine quelques mois et chacun avait repris sa vie de son côté. Finalement Yuki redemanda à Azalée ce qu’elle faisait au Japon, la jeune fille afficha un rayonnant sourire et parla :
_ Je suis revenue,seule, par un choix du destin !
Tohru rit de bon cœur, elle n’avait jamais put oublier dans quel pétrins le destins les avaient tous fourré. Mais son rire s’assombrit bien vite, les sourires sur leur visages devinrent froids, les yeux perdus dans le vagues. Beaucoup de souvenir restaient en eux comme des flammes chaudes et chatoyantes mais pour le reste, un bloc de glaces s’était formé autour. Comment pouvait ils abandonner le souvenir de Momiji ? Comment pouvaient ils perdre dans leur mémoires, la traces de son doux sourire le jour ou il avait revu sa petite sœur ? La bonté et l’humour de Shigure comme les côtés extravagant de Ritsu ?
_ Je ne l’es ai pas oublié, murmura Azalée, c’est de ma faute cela…
_ Oui, répondit Yuki sincèrement, le destin t’as poussé, tu as agit et tu as provoqué des malheurs. Mais regarde nous maintenant, nous sommes libres Azalée, et c’est aussi cette chose là que l’ont te doit.
_ Ce n’est pas rien, renchérit Tohru
La jeune fille sourit, mais son cœur restait gelé. Ils avaient été gentil, aucun commentaires n’avait été fait sur son apparence inchangée.
_Ca ira ? s’assura Tohru
Azalée tenait dans chaque mains deux gros sacs de nourriture, un peu lourds. Elle leur garantit que tout allait et qu’elle n’habitait pas loin, ce qui était vrai. Après avoir appris que leur adresse n’avait pas changé ils se séparèrent.
Yuki et Tohru regardèrent leur amie avancer devant un soleil éblouissant qui se dirigeait derrière une montagne pour s’y coucher :
_ Yuki ? demanda Tohru , tu te souviens que je t’avais parlé de ses rêves prémonitoires.
Le garçon hocha la tête, ses cheveux encadrèrent son visage impassible, il se souvenait bien des longues explications que son amie avait apprise auprès d’Azalée. La raison évidente de son acharnement contre la malédiction des 12 :
_ Que s’est il passé durant ces 4 années ? s’interrogea t il , crois moi Tohru, elle est exactement la même.
Tohru baissa le regard, la confirmation de l’ancien rat était une preuve irréfutable. Quel mauvais sort que le destin !

Azalée s’accroupit, il n’y avait pratiquement plus de lumière, le lieu ou elle était se trouvait illuminé par de haut lampadaires ou les papillons de nuits et autres insectes s’y réunissaient en masses. Elle s’accroupit devant les trois tombes blanches, elle déposa ses petits bouquet de tulipes rouge, cerné par un ruban blanc , devant chaque nom. Momiji soma, Shigure soma, Ritsu soma…Elle laissa les larmes couler mais se força à sourire :
_ Bonsoir. Cela fait 4 ans maintenant !
Personne ne lui répondit bien sur, le vent souffla timidement et les cheveux de la jeune fille volèrent, il sécha ses larmes amères de culpabilité. Elle effaça les dernière traces de ses courts pleure d’un geste de la main et sourit franchement :
_ Momiji, il me semblait t’avoir entendu il y a quatre ans. J’ai eu l’impression que tu me disais « je veux que tu souri tout le temps »…c’est ce que je fait tu vois ?
Elle se tourna vers les deux autres tombes :
_ Ritsu-san, je vous connaissez trop peu il me semble. Mais vous étiez emplit de bonté et de gentillesse.
Ces paroles lui semblèrent stupides mais elle les pensaient et l’on ne pouvait rien caché à des gens qui attendent depuis si longtemps, sur un nuage ou dans la terre :
_ Shigure-san, Yuki et Tohru vont très bien ! Ils semblent être heureux. Je vais les revoir bientôt avec Kyo, je suis de retour à présent. Votre famille est très forte, elle à toujours eu ce courage et cette volonté pour se battre et toujours faire des efforts.
Ensuite elle s’excusa de ne pas être venue plus tôt, mais le futon qu’elle devait se faire livrer avais mis pas mal de temps à arriver. Elle raconta son retour en France…les événements qui s’en suivirent.
Lorsqu’elle jeta un derniers coup d’oeil sur le cimetière en partant, elle se sentait apaisée.

Kyo ne rêvait pas, la jeune fille, inchangée, se trouvait bien en face de lui. Très petite par rapport à l’adolescent, il la toisa du regard, elle sourit et il lui ébouriffa els cheveux :
_ Bienvenue à la maison Azalée.
_ Bonjour kyon-kyon !!!
Elle se prit une tape sur la tête et alla se plaindre à Yuki :
_ Tape le va y ! l’encouragea t elle
_ Toujours aussi folle à lier, soupira Kyo, t’as pas un petit creux ?
Tohru arriva tout sourire, les retrouver et s’accrocha au bras de Kyo en déclarant :
_On attend juste quelqu’un d’autres et on mange !
Azalée se demanda qui s’était, Kyo aussi. Personne ne répondit mais la porte s’ouvrit d’un coup en grand. Une jeune fille attrapa Yuki par le coup, elle faisait une demi tête de moins que lui et possédait des cheveux châtains clairs qui lui frôlaient doucement les épaules délicates :
_ Yuki ! pardon du retard, s’exclama t elle
Il se retourna et lui sourit en disant que ce n’était rien. Kyo lui râla malicieusement :
_ ho je vois, il manquait une petite souris par ici.
Avant que Yuki n’est put riposter il prit Tohru par la main et Azalée par les épaules et les força à s’assoirent dans le salon :
_ Je fait le service mesdames ! lança t il
Elle éclatèrent de rire, et quand Yuki arriva avec la jeune fille , Azalée se leva pour la saluer :
_ Je suis Azalée Misso.
_ Machi Kuragi, lui sourit la nouvelle
Machi avait un regard qui dissimulait de nombreuses souffrances passée, malgré cela il pétillait.
Le repas se passé dans la meilleure ambiance qu’il soit, agrémenté de discussion joyeuses et de blagues, aucune références au passé ne se fit entendre. Machi fit un chemin avec Azalée au moment du retour, il était au alentour de 22h déjà et demain la semaine reprendrait pour les 4 étudiant :
_ Alors tu fait les même études que Yuki Machi-chan c’est ça ?
Machi aquiéssa :
_ J’ai un an de moin que lui précisa t elle, on s’est rencontré lorsqu’il présidait l’association des élèves.
Le déclic se fit dans la tête d’Azalée au moment ou elle lui disait au revoir d’un signe de main :
« Je l’avais déjà vue, ou plutôt entendu quand Yuki m’avait empêcher de me chopper une colle ! Sa voix m’avait semblé bien plus terne à l’époque… »
Azalée secoua sa tête, ses cheveux se balancèrent au bout de sa demi queue et elle rentra chez elle d’un pas allègre et rapide.

Une jeune fille courut doit devant elle, et sauta dans les bras d’un jeune garçon de son âge. Elle lui sourit, son uniforme était d’un bleu gris, de longue chaussettes noires remontait le long de ses mollets. Elle avait des cheveux d’une couleur qui rappelait à la fois la douceur du miel et les crinières fauves des lions. Ses yeux ambrée luisait de joie quand son ami lui déposa un baiser sur sa joue :
_ Hiro-chan, s’écria t elle , je n’était pas sur que tu viendrais ton collège est bien plus loin !
Il lui prit une de ses deux longue mèche, qui arrivait jusqu’au milieu de son dos et lui passa derrière l’oreille :
_ Si j’ai le temps, je viens. C’est une règle d’or !
Kisa rit, Hiro était toujours aussi mignon avec elle. Bien qu’ils étaient tous d’eux dans un collège différent, leur liens ne s’étaient en aucuns cas affaiblis, ils s’étaient même renforcé. Si bien que Kisa repoussait dédaigneusement toutes les propositions de rendez vous des autres garçons. Elle était toujours un peu timide mais son caractère , désormais affirmé, était celui de quelqu’un qui s’accroche jusqu’au bout. Pour Hiro, dont la gentillesse était sans limite lorsqu’il s’agissait de sa cousine ou de son petit frère, rien n’équivalait le sourire franc de Kisa :
_ Hiro-chan tu sais quoi ? Tohru m’a dit que Azalée était revenue ici !
Le garçon sourit :
_ Ca ne te fait pas plaisir c’est ça ? souligna t elle compatissante
Le garçon réfléchit un instant et répondit finalement :
_ Non au contraire, bien qu’un peu gourde et pas super vive elle à du courage mais aussi…
Le vent souffla plus fort, dans un jardin voisin un jet d’eau s’alluma seul. Les volets claquèrent violement sous les cris à la fois surprit et effrayés des habitants :
_ mais aussi un certain don pour s’attirer des ennuis, compléta Hiro en rigolant
Une feuille s’arrêta juste avant de toucher le sol, elle resta suspendu, immobile, dans l’air cinq secondes puis se posa à la verticales.

A SUIVRE….

chap 3 : retrouvailles forcées
CHAP 3


Un homme élégamment vêtu attrapa d’un geste rapide et précis un des fils et piqua le tissu rouge sang. Avec précision et dextérité il fini l’ourlet en un rien de temps, il attacha ses long cheveux d’une natte bien droite et souple, ses yeux jaune ocre luisait de talent artistique :
_ Monsieur Ayamé ! La cliente est venue récupérer sa robe et votre frère est là.
Celle qui venait de parler portait de grande lunette avec des nattes noirs roulé au dessus de ses oreille, elle avait un teint rose, un grand sourire et respirait de joie. Un hochement de tête et un sourire de son patron la fit disparaître de nouveau dans le magasin, traversant l’épais rideau de velours dans les teintes roses. Ayamé posa sa paire de ciseau et passa sa mains dans ses , désormais, très long cheveux argenté. Ses yeux jaunes regardaient le rideau, rempart entre la boutique et l’atelier, comme personne ne venait, il baissa son regard étincelant et attrapa une robe de soirée pourpre. Il plia sa tenue et passa dans la boutique, une femme attendait, ses cheveux châtains lui arrivaient au omoplate, elle se tenait droite et fière, ses yeux étaient posé sur le visage pâle de son deuxième fils :
_ Mére, s’étonna Ayamé, la robe était pour vous ?
Yuki salua son frère d’un signe de la main, sa mère se contenta d’un hochement de tête, pour son affirmation et son « bonjour » à son fils. Entre les trois personnes la ressemblance ne se distinguait que dans les cheveux et les yeux. Yuki avait eu les yeux dur et froid de sa mère, Ayamé avait hérité de cheveux aussi fin et lisse qu’elle. L’aîné tendit, bien qu’un peu maladroitement, la robe à sa mère. Elle la prit de ses main fortes et pâle, son regard trahissait sa reconnaissance, elle salua et précisa que l’argent avait déjà été pris sur son compte, Yuki inclina légèrement sa tête, Ayamé fit de même et leur mère s’en alla.
Ils se retrouvèrent deux minutes après autour d’un thé fumant dans une pièce complètement séparé de la boutique, un peu bruyante pour discuter :
_ Je ne m’attendais pas à tomber sur elle, expliqua Yuki, elle est entré juste derrière moi. Elle est…petite non ?
Il sourit, un peu honteux de sa propre remarque :
_ Yuki, quand tu était petit elle t’as sans cesse regardé de haut, te dénigrant sans cesse avec Akito.
Le jeune garçon remercia son frère d’un doux sourire, il se cala contre le fond du canapé ou il était assis et ferma tranquillement ses yeux :
_ Pourtant grand frère, Akito est mort…beaucoup ont fait tant de chose pour moi, je dois faire de mon mieux aussi, je ne rejetterais pas notre seule famille. Mais je ne les déculpabilise pas non plus, ajouta t il devant le regard méfiant de l’ex-serpent
Ayamé soupira, décidément son frère était bien indulgent. Il but délicatement une gorgée de thé, cela lui réchauffa la gorge, le temps était frais au dehors et il était bien sensible à tous els changements de température, son souvenir de la malédiction. Tous en avait gardé une marque les liant tout de même une dernière fois à leur Dieu, désormais en enfer. Kyo avait gardé un sentiment de sécurité dans els endroit en hauteur, Yuki un sens de la déduction extrénement aiguisé, Hiro un répondant à tout épreuve…tous ses traits de leur personnalité, malgré tout décerné par les esprits les ayant possédé, resterait à jamais gravé dans cette génération d’ex-maudits :
_ Alors petit frère ? Je suppose que ta visite n’est pas juste pour un thé ?
Le garçon aux cheveux gris rit un peu, rapidement effacé par un air calme, posé et sérieux. Sa visite n’était que pour une information :
_ Je viens juste te le dire, Azalée est revenue en ville.
Le silence tomba, le regard d’Ayamé se voila et devint sombre :
_ Tu ne l’aime pas vraiment c’est cela ? fit remarquer Yuki
Ayamé secoua négativement la tête, ses beaux cheveux suivirent le mouvement, l’homme se prit son visage dans ses grandes mains :
_ La mort de Shigure…c’est sa faute. Je ne peux , non je ne pourrais jamais lui pardonner cela.
Un coup de vent ouvrit brusquement la fenêtre, faisant sursauter les deux frère :
_ étrange, murmura Ayamé, il n’y à pas de vent aujourd’hui, et je l’avais fermé à clé…enfin bon
Il ferma le loquet et se retourna vers Yuki :
_ Je ferais avec et si nous nous voyons je la saluerais poliment, merci de m’avoir prévenue
Yuki fit un signe de la tête, fini son thé et sortit.

Azalée croisa ses main derrière sa tête et tomba lourdement sur son lit. La journée avait été longue, trop longue et elle s’ennuyait. La jeune fille n’aspirait qu’a revoir les soma, ses amis. Ses seuls amis jusque la. Elle décida de se doucher un coup avant de sortir un peu, elle voulait croire au destin, bien qu’il semble s’être acharnée sur elle. Au moment où elle attrapait une tenue dans son placard le téléphone sonna :
_ Ici Azalée, répondit elle machinalement
Sa mère la salua avec entrain. La conversation commença par les banalité, le voyage, l’ameublement et les premières difficulté que pose un logement. Puis elles parlèrent des soma :
_ Oh maman ! s’exclama Azalée, ils ont tellement changés ! Ils ont comment dire…
_ Grandi ?
Azalée se tut brusquement, sa mère ne s’excusa pas, son silence était lourd de sens :
_ oui, murmura Azalée, c’est sûrement ça !
Puis elle reprit d’un air faussement enjoué :
_ Bon je vais sortir un peu ce soir ! Je vais me prendre une bonne douche, tu ne peux pas imaginer, y a pas de vent mais le froid est mordant ! Allez à bientôt !
Azalée raccrocha, presque plus déprimé qu’avant l’appel.
« Azalée, courage ! On laisse pas tomber maintenant ! »
Elle se rua dans la douche, elle se débarrassé rapidement de ses vêtement et plongea dans un bain brûlant, elle baissa la moitié de son visage sous l’eau en faisant des bulles avec sa bouche. Elle emmena ses jambes repliées sous son menton et y croisa ses bras, un tatouages luisait. Elle le regarda, saisie un rasoir et posa la lame sur le signe de façon à pouvoir le couper en un geste du poignet :
_ Et après, se demanda t elle, je serais guère plus avancé
Elle reposa l’instrument et mis entièrement sa tête sous la surface aqueuse avant d’en ressortir, à moitié lavée des pensées négatives qui obscurcissaient son cerveau.
Elle enfila une tenue décontracté et chaude, prit ses clés d’un geste habile et sortit en claquant la porte.

Une jeune femme attendait devant la porte d’une boite de nuit, elle avait le cheveux et les yeux terriblement sombres qui regardait sans voir les arrivants dans la boite de nuit. Ses cheveux étaient courts, sa taille élancée. Les hommes qui passaient regardaient plus son corps, presque parfait, que son visage, pâle et fermé. Elle mit un certain temps à apercevoir le regard de quelqu’un sur ses formes et sur son ventre. Elle s’avança, comme une démone sortit de l’enfer, elle lui prit le menton, fermement et calmement :
_ Oui ? demanda t elle sensuellement
L’homme bredouilla faiblement, une créature de rêve venait de lui adresser la parole :
_ Vous prenez combien ? osa t il suggérer
La femme sourit froidement, sans lâcher sa main ou son regard de l’homme. Elle se recula d’un demi- centimètre et souffla :
_ Je te plait ?
Avant que l’homme n’ai put faire un geste elle le gifla résolument :
_ VA TE FAIRE VOIR OBSEDER !
Elle lui tourna le dos et retourna contre le mur ou elle se trouvait précédemment, l’homme la suivit et prit sa main avec fermeter :
_ Petite dévergondé, on ne frappe pas un client. Allons viens, laisse toi faire
_ Mais c’est qu’il s’y croit…rétorqua paisiblement quelqu’un
Un jeune homme venait d’arriver, il afficha un sourire radieux et envoya son poing dans l’estomac de l’homme :
_ Que je ne t’y prenne plus à mettre la main sur ma petite amie, - tuuut -.
Il prit doucement le bras de la femme et l’emmena plus loin, elle prit le bras de son petit ami et rit :
_ Haru, tu es arrivé pile au bon moment
Il lui sourit gentiment, Hatsuharu portait une chemise fermer, malgré le froid, d’une couleur bleu foncé. Un manteau de cuir reposait négligemment sur ses épaules, il avait un jeans bleu délavé et marchait de façon calme. Rin arborait une tenue un peu plus chaude, quoique très ouvert, un ensemble noir :
_ J’aurait peut être du le tuer non ? ajouta t il rêveusement
_ Haru c’est bon, s’esclaffa Rin
Ils s’arrêtèrent alors qu’ils tournaient à l’angle d’une rue, devant se trouvait la personne dont ils avaient tant entendue parler ces derniers jours :
_ Azalée ? S’étonna Haru
La jeune fille jeta un regard sur les cheveux, inchangé d’Haru et sur la femme qui l’accompagnait :
_ NON, Isuzu-san ! Haru-san !
Elle courut vers eux, les joues rouges et les larmes aux yeux, elle se plaça devant eux. Rin affichait un sourire radieux, éclairant son beau visage, Haru souriait aussi, de façon plus réservé mais tous aussi chaleureuse :
_ Isuzu-san, tes cheveux, c’est bêtes ils étaient beaux très long !
Haru posa sa main sur l’épaule d’Azalée :
_ Une longue histoire, dit il mystérieusement, mais et toi ? On ne s’attendait pas à te voir ce soir, j’allais me renseigner pour savoir ou tu habitais mais…
_Hein ? s’exclama la jeune fille, ou j’habite ? Qui est au courant que je suis rentrée ?
_ Tout le manoir, répondit Rin, nous sommes ravies tu sais ? Mais ta venue n’est pas du au hasard n’est ce pas ?
Azalée ragarda ses pied :
_ Le hasard, chuchota t elle, non pas vraiment.
_ Mais ta venue, bénéfique ou non, nous rassure croit moi, conclu Rin

Le jardinier du cimetière passait entre les allées en sifflotant, la nuit tomba soudainement. Un éclair résonna, le vent souffla, trois formes immenses semblèrent émergées du ciel sous une forme spectrale.
Le vent retomba, le jour revint, sa lumière emportant les créatures surgit de nul part. Le jardinier changea l’air de sa chanson, il n’avait rien remarqué, mais ce n’était pas le cas de Kagura qui passait par là pour voir Kyo, Tohru et Yuki. La jeune fille sentit son cœur s’accélérer, ne remarquant rien de plus elle tenta de se forcer à se dire qu’elle avait rêvé et repris sa marche.

A SUIVRE

Chap 4 : Faites place aux problémes
CHAP 4
_Kyo-chan tu ne devineras pas !
Kagura venait d’ouvrir en grand la porte sans frapper, sa voix résonna dans l’entrée. Tohru l’appela dans le salon et la femme s’y précipita tout sourire, ses cheveux bruns attaché comme à son habitude en demi queue et ses grands yeux bruns balayaient la pièce ou son amie et ses cousins faisaient leur devoirs. Enfin, Yuki aidait Kyo alors que Tohru reprenait certains exercices des deux garçons pour ne pas couper le lien avec les études. Kyo leva ses yeux rouges vers Kagura et sourit, c’était toujours un plaisir de la revoir en tant que sœur plutôt que petite amie :
_ Bonjour Kagura, lui dit il simplement
La jeune femme esquissa un doux sourire, alla s’asseoir à côté de lui et regarda les exercices. Ses études de droits lui semblèrent très douces face à tant de chiffres :
_ Kyo on arrête si tu veux, c’est pas tous les jours que Kagura viens, proposa le rat
Tohru hocha la tête et Kagura ne put s’empêcher d’accepter :
_ Je viens tellement peu Kyo-chan ! Tohru-chan viens on va préparer quelque chose !
Elle prit Tohru par les mains et l’aida à se relever, bavardant gaiement elle se dirigèrent vers la cuisine, les deux garçons restèrent seul. Kyo se passa la main dans ses cheveux oranges et reprit son crayon pour finir son exercices :
_ Te force pas ce serait idiot, remarqua Yuki, je t’aiderais à finir si tu veux
Kyo grogna, signe qu’il était fâché et qu’il ne fallait pas le déranger. Yuki soupira et commença à débarrasser la table, Kyo était toujours jaloux de lui du fait que dans les « restes de leur malédictions » son cousin ai put garder une telle mémoire. Cette raison aurait pu être une nouvelle sources de conflits, que les meurtres d’il y a 4 ans avaient stoppé, mais Kyo y était allé franchement. A ce souvenir Yuki lui pardonna tout de suite ses emportements.

« _ J’en ai marre !
_ Kyo je…
_ Non ! Laisse moi parler ! C’est injuste que cette malédiction, même partie te laisse toujours des capacités supérieures aux miennes ! Je suis jaloux d’accord ? C’est clair et imprimé ? Maintenant…
_ Qu’est ce que c’est ?
_ Des exercices que je n’ai pas compris. Maintenant Yuki tu m’aides ! »

_ C’était un peu rentre-dedans comme demande non ? Sourit Kyo
Yuki le regarda, surprit un instant puis il rit, Kyo avait deviné ses pensées. Les deux filles entrèrent, toujours en bavardant et ils s’assirent tous. Kyo s’étira un coup en entourant les épaules de Tohru avec amour :
_ Alors Kagura, tu es entrée en disant que je ne devinerais jamais…si tu ne t’explique pas, oui je ne devinerais pas.
Kagura avala son gâteau, but une gorgée et dit d’une voix sombre :
_ C’était prés du cimetière…
Elle leur décrivit rapidement les lumières et le jardinier qui n’avait rien vu. Le silence tomba, chacun évaluant les possibilité de réponses :
_ Peut être…commença Kyo, que c’était en rapport avec la malédiction, ce qui expliquerais pourquoi le jardinier n’aurait rien vu.
_ Je vais aller au cimetière, déclara Yuki en se levant, on verra bien.
Kyo se proposa pour l’accompagner :
_ Toi tu bosses, plaisanta Yuki, pas besoin d’être tous là-bas. Je reviens dans 5 minutes
Il attrapa un manteau et mit ses chaussures dans l’entrée, il allait sortir quand il entendit la voix de Kagura un peu haut perché :
_ 5 minutes ? plutôt 30 si tu croise Machi-chan
Yuki l’ignora et sortit.

Azalée courait le plus vite qu’elle pouvait, elle avait passé une très longue soirée avec Rin et Haru et après s’être assurés de se retrouver elle était allée se coucher. Comme d’habitude ce fut une nuit mouvementé mais là, à travers la brume elle avait vu une tombe, une tombe qu’elle connaissait bien pour y être passé devant il n’y avait pas si longtemps.
« Je le sens très mal…. »
Elle arriva en vue du cimetière mais trébucha. Elle poussa un cri et heurta quelqu’un avant de toucher le sol. Elle se releva de la personne sur qui elle était tombée et entreprit de s’excuser avant de voir les yeux violets :
_ Yuki ? s’exclama t elle
_ Jolie chute Azalée, grimaça t il
Elle s’excusa puis éclata de rire. Ils se retrouvèrent devant le cimetière, ils ne voulaient pas poser la question idiote « c’est ici que tu vas ? », donc Azalée ouvrit la porte et à deux ils traversèrent les allées désertes. Ce qu’ils cherchaient était bien loin dans le fond du cimetière, les deux personnes passèrent devant de nombreuses tombes. Leur marche s’arrêta un instant devant les tombes des soma, Azalée n’était pas croyante mais fit quand même un signe de croix, Yuki salua comme la politesse l’ordonnait quand on voyait une personne la première fois. Il se serait sentit mal de faire un signe religieux, la malédiction ayant toujours était considéré dans sa famille comme une forme de religion. Pour Yuki, ses esprits n’étaient rien d’autres que des envoyés du diable, quitte à se référencer aux thermes religieux. La française s’avança la première devant la tombe d’Akito soma, aucune fleurs ni plantes ne venaient recouvrir la pierre froide. Yuki était resté un peu en retrait mais s’avança, répondant à la question muette d’Azalée :
_ On a essayé d’y mettre des fleurs, elles sont mortes dans l’heure qui suivait. Et aucune plante n’a jamais poussé ici mis à part les ronces.
En effet, la terre était sèche et seule de fine tige couverte de pic entouraient craintivement le marbre, comme attiré par le nom gravé.
Tout arriva vite, alors qu’Azalée se tint subitement le haut du bras en lâchant un petit cri de douleur, Yuki s’effondra sur le sol, prit de vertige. La jeune fille sentit un liquide chaud couler sous ses doigts et s’empressa de s’éloigner, prenant son ami prostré à côté. La scène n’avait duré que quelques secondes entre la douleur et leur éloignement, Azalée saignait et Yuki tremblait :
_ Qu’est ce que tu as au bras ? Souffla t il lentement
_ Rien
Elle frotta en gardant sa manche baissé, le sang s’arrêta de couler ne laissant qu’une marque rouge sur son tee-shirt. Yuki fronça les sourcils :
_ Ne me prend pas pour un idiot, je te redemande, Azalée qu’est ce que tu as sur le bras ?
La jeune fille le regarda dans les yeux :
_ Un tatouage, rien de plus
Yuki demanda à le voir, ce à quoi Azalée répondit par un hochement de tête négatif :
_ Pas encore…tu peux te relever ?
Le garçon soupira et se remit doucement sur ses jambes, de la sueur froide perlait le long de son dos :
_ Je me sens mal je crois, avoua t il
Azalée hocha lentement la tête :
_ Rentrons, dit elle
Il ne répondit pas et la suivit, marchant d’un pas lent. Elle savait, il en était sur, elle savait qu’un froid glacé envahissait peu à peu les membre de l’ancien rat, et elle savait déjà ce qui allait s’en suivre, chose que pour le moment tous ignoraient :
_ Azalée, déclara Yuki
_ Oui ? demanda t elle plus inquiète qu’autre chose
_ Tu vas nous dire aussi pourquoi tu n’as pas grandie ?
La jeune fille murmura un vague « plus tard ». Le garçon n’ajouta rien.

_ Laissez nous passer !
Il hurlait et se débattait comme un fou contre les gardes, ils bloquaient l’unique arrivé de leur masse à la fois imposante et inexistante. Pourtant eux se battaient de toutes leur forces :
_ Vous avez déjà un privilège, continuez et repartez, lança d’une voix mécanique un des gardes
_ IL EST PASSE LUI ! Hurla un autre
_ JE VOUS EN PRIE
Prier, ici cela ne servait décemment à rien. Un troisième « rebelle » arriva, plus incertain que les deux autres, et hurla à son tour :
_ ON Y EST PRESQUE !
Ils tendirent leurs mains au maximum, balayant et caressant le léger vide devant eux.

Alors que tous venaient d’accourir vers Yuki et Azalée, Tohru tendit la main vers la fenêtre ouverte, les larmes aux yeux.

A SUIVRE…

Chap 5 : Ré-aparitions
_Reviens…chuchota Tohru
Kyo la rattrapa juste avant que la jeune fille ne tombe sur le sol. Elle battit des paupières, l’air hébété, et la main toujours tendue vers la fenêtre. Kagura posa la paume de sa main sur le front de la jeune fille et lui demanda si tout allait bien, la jeune fille hocha lentement de la tête et murmura d’une voix fatiguée :
_ Il m’a semblé qu’on m’appelait et il y a eu….un courant d’air glacé et puis plus rien….
_ C’est rien Tohru, la rassura Kyo en lui déposant un baiser sur le front, tu vas mieux ?
Elle aquiessa en souriant et le prouva en se relevant. Azalée se massa le haut de son bras tout en réfléchissant, le fait d’avoir rendue « visite » à Akito et l’impression de Tohru ne pouvait être qu’un très mauvais fruit du hasard. Soudain Yuki, Kyo et Kagura se bouchèrent les oreilles d’un geste unanime. Tohru et Azalée se précipitèrent sur eux, ils étaient agités de spasmes violents :
_ Yuki ! Kagura ! Kyo ! Appela Tohru
_ QUE SE PASSE T IL ? cria Azalée

Hiro appuya lentement Kisa contre le mur de brique glacé au détour d’une ruelle. Il voulait la ramener chez elle mais il ne sentait pas mieux, ils se sentaient tout d’eux faibles. Hiro souhaiter contrôler ses tremblements de plus en plus violents qui s’emparaient de son corps mais rien n’y faisait. Kisa avait la sensation que quelque chose prenait possession d’elle, avec lenteur, un vif dégoût s’empara d’elle. Hiro se calmait doucement et regardait ses mains avec horreur. Il entendit des pas qui venait de la rue en parallèle, il avait presque oublié ou il se trouvait. Un instant il se crut de nouveau dans le manoir soma, à l’abris de la honte et sans être confronté à sois même. Kisa respirait un peu mieux, elle jeta un regard anxieux à Hiro. Personnes ne devaient les voir là, ils étaient en sales états, les vêtements salis par la poussière de cette pauvre ruelle, le visage blêmes et transpirant de sueurs froides. Hiro voulut se relever mais ses jambes tremblaient bien trop, il régurgita et se força. Il grimaça de douleur, il avait tremblé et ses mollets étaient ankylosés. Les pas se rapprochaient, il leur tourna le dos, se plaçant devant Kisa :
_ Ne m’en veut pas, murmura t il
Il l’embrassa, cachant ainsi leur triste situation aux yeux d’un groupes de lycéennes qui rirent puis repartirent sans leur jeter d’autres regards que ceux du mépris. Kisa se leva :
_ Hiro-chan, déclara t elle, on va rentrer et appeler Yuki et Kyo.
Le garçon hocha la tête et ils disparurent rapidement.

Haru courait à en perdre haleine, il était ruisselant de sueur. Si Rin ne lui avait pas confirmé qu’elle allait mieux et qu’elle était en sécurité chez Kagura, il aurait probablement tout détruit sur son passage, pour ne pas faire exploser sa fureur il battait tous les records de courses pour traverser la ville. Se concentrant sur son souffle qui commençait à lui manquer, sur les battements de son cœur qui s’affolait et surtout, il ne devait pas songer à la tristesse qui semblait sur le point de le submerger. Il avala les derniers mètres, ne prit pas la peine de frapper et surgit dans le salon ou vivait ses deux cousins et Tohru. Il reprit son souffle devant Kyo, prostré sur le sol aux côtés de Tohru, les paumes de ses mains plaqués sur ses yeux, les larmes tombaient gouttes à gouttes sur le sol, il tremblait de tous ses membres et la jeune fille n’osait pas trop s’approcher :
_ Hatsuharu ! Cria Azalée, tu es pâle comme la mort ! Que se passe t il ?
Elle était agenouillée entre Yuki et Kagura, la jeune femme se frottait la figure, d’une pâleur fantomatique, elle était agitée encore de quelques spasmes mais semblait se remettre, Yuki respirait de façon saccadée. Les larmes avaient coulés et laissaient de longues marques sèches sur ses joues. Il avait les yeux rouges et se bouchaient les oreilles :
_ moins fort, chuchotais t il, pitié moins fort…
Azalée aida Haru à s’asseoir et lui apporta un verre d’eau :
_ Haru, reprit t elle, que se passe t il ?
Le garçon regarda ses mains, il reprenait peu à peu le contrôle de lui même, cette course effrénée lui avait fait du bien :
_ Les morts reviennent-ils à la vie Azalée ?
_ Les morts ? Répéta t elle

_ J’y comprends rien ! Pourquoi est ce qu’on est aussi loin de chez toi Shigure ?
Momiji sautait presque sur place en criant en plein milieu du centre ville. Il du faire cependant un pas de côtés pour éviter un couples qui s’étaient approché de la vitrine ou ils s’étaient « réunis » :
_ Je n’en sais rien, médita Shigure, je n’ai pas vu grand-chose je me battait encore quand tu à aperçu Tohru…
_ Tohru c’est la jeune fille aux cheveux bruns ? S’enquit un petit garçon
Il était bien moins âgé que les autres, bien qu’après sa mort il ai put changer son apparence pour avoir quelques années de plus, Robin restait un éternelle enfant du point de vu physique. De grands yeux marron sur des cheveux noirs de jaies :
_ Oui c’était elle, sourit Ritsu à ses côtés, Momiji, elle était peut être ailleurs non ?
Momiji secoua fortement la tête, non il était sur qu’elle était bien dans la maison de Shigure. Il avait put apercevoir la table basse, la façon dont la lumière filtrait dans la pièce et le visage de sa plus grande amie. Il avait vu les larmes sur son visage et il avait attrapé sa main, quittant le monde des morts pour celui des vivants, même sous cette inutile forme fantomatique :
_ Donc, soupira Shigure, il nous à repéré et nous a envoyé ailleurs pendant qu’il remettait son pouvoir en place.
Robin s’éloigna un peu, profitant de sa petite taille pour trouver une issue :
_ PAR ICI ! Appela t il, Aza est par là !
Les trois Soma se regardèrent, après tout, Robin semblait être resté en étroit contact avec son amie d’enfance et il n’avaient pas d’autres pistes. Prenant 1000 précautions ils se dégagèrent de la foule pour se hâter à leur maison.

_ La malédiction est revenue, dit Haru d’une voix sèche
Tohru se plaqua les mains sur la bouche, pourquoi maintenant ? Après quatre années de tranquillité et d’épreuves, pourquoi ? Kyo écarquilla les yeux quand il les rouvrit enfin :
_c’est pas possible, murmura t il, Haru tu sais ce qui se passe ?
Yuki se releva et vida le verre d’eau d’une traite :
_ Ce qui se passe c’est que du monde des morts la malédiction est redescendue ici. Comment ? Pourquoi ? Je ne sais pas…mais elle est différente.
Ils se regardèrent longuement, Kyo réalisa soudain, il ne portait pas son bracelet et gardait une apparence humaine :
_ Mais alors on ne se transforme plus ? Cria t il de joie
Yuki se boucha les oreilles instinctivement, il grimaça et dit :
_ Pourtant t’as pas l’impression de voir un peu mieux ?
Kyo hocha la tête, il expliqua qu’il distinguait tout avec une grande précision. Que ce soit les oiseaux qui volaient dans le ciel à plusieurs mètres de la maison et qu’il apercevait à travers la fenêtre :
_ Moi, reprit Yuki, j’entends tout. Enfin je crois que ça s’est deviné. Haru ?
Le bœuf soupira et brisa la table en lui donnant un petit coup, Tohru sursauta en même temps qu’Azalée :
_ J’ai l’impression d’avoir les fleurs de la foret sous mon nez, susurra Kagura en fermant les yeux, je vois aussi ce qui se trouvent dans les coin sombres de la pièce. Si nous avons ça ce n’est pas par hasard non ?
Azalée détourna les yeux alors que tous les autres regards se retournaient sur elle :
_ Je ne savait pas, se défendit elle, dans mon rêve je vous revoyaient tous. J’ai vu aussi, des monstres. Je pense que c’était des animaux, j’ai vue un chien géant et c’est tout. J’ai donc pensé à revenir ici, c’est tout !
Un grand vent envahi la pièce :
_ Non ce n’est pas tout Aza.
Azalée regardait, les larmes aux yeux, un petit garçon qu’elle connaissait bien. Alors que les Soma dévisageaient ce qui semblait être les reflets, à la fois transparents et en couleurs de Momiji, un sourire triste illuminant son visage fantomatique, Ritsu qui leur faisait un vague signe de bonjour gêné et Shigure qui s’était forcé à sourire grandement en lançant :
_ Nous avons tous bravé pour vous revoir mes chers cousins et amis !

A SUIVRE…

Chap 6un peu de distance

Il avait fallu un certain temps de réaction à l’assemblé pour admettre que Shigure, Momiji et Ritsu se trouvaient bien en face d’eux, accompagnés de l’ami d’enfance d’Azalée. Pour réaliser que c’était bien leur fantômes, créatures pâle, transparente et pourtant, pas incolores. Chacun put revoir les cheveux d’un blond parfait et les yeux noisette de l’ancien lapin, un petit sourire au coin des lèvres. Le regard de Shiguré, sombres des mèches noir lui tombant devant, semblait briller de son étincelle de malice qui avait, quatre ans auparavant, illuminé la petite maison. Ritsu avait les mains jointes, son joli petit visage éclairé par ses yeux ocre, ses cheveux de la même couleur tombant sur ses frêles épaules. Le dénommé Robin fixait tour à tour chacun des membres présents, il évitait timidement le regard d’Azalée mais voyant qu’au bout de 10 minutes la conversation ne semblait pas faire surface il se mit face à son amie, elle le regarda, les lèvres tremblantes et la peau pâle. Il remit nerveusement une de ses mèches noires derrière son oreille, par habitude sûrement, et tendit un poing fermé à Azalée. Elle posa sa main ouverte en dessous et l’instant d’après un petit collier s’y réfugia :
_ Robin, dit elle d’une voix étranglé, je l’ai…je l’ai laissé sur ta …tombe
Le mot avait été presque inaudible, comme un souffle, mais que tous le monde saisi. Le petit garçon lui sourit le plus naturellement possible :
_ Je l’ai récupéré, c’est ce qui nous lie. Toi et moi, je n’ai cessé de t’observer Azalée. Et j’ai vite retrouvé ces Soma après leurs morts.
Leurs regards se croisèrent et un message passa automatiquement entre eux :
« Il sait pour moi » pensa Azalée
Momiji fit un pas vers l’assemblé et annonça d’une voix claire :
_ Nous n’avons plus trop de temps, la situation va devenir critique.

_ Hiro-chan je ne t’ai pas fait mal ? Cria Kisa d’une voie suraigu
Le garçon regarda son bras, une entaille qui avait déchiré son tee-shirt mais n’avait laissé qu’une fine marque sur son bras, elle saignait à peine. Il regarda le coussin prés de lui, littéralement lacéré et déglutit difficilement en se disant que la mousse qui sortait de l’oreiller aurait put être son sang :
_ Tout va bien…je crois.
Il se frotta le bras et le sang ne coula plus, il se sentait un peu plus fort, résistant, l’idée lui vint un instant qu’il pourrait faire barrage de son corps pour protéger Kisa si il lui arrivait malheur :
« Mais à quoi je pense moi ? » se reprocha t il
_ Kisa ? Il y a vraiment un problème là, ça ne répond toujours pas chez Shigure ?
La jeune fille hocha négativement la tête :
_ Non.J’ai lacéré tous mes coussins…toi…et tu ne semble pas souffrir de coups. La malédiction est revenu, je crois que je m’embrouille moi-même là.
Elle s’excusa mais le garçon ne dit rien, ils attendraient, quand toutes les informations seront données, ils recevront leur part.

_ Akito…n’est pas mort, murmura Kyo
Il se sentait tout à coup vidé de ses forces et du s’asseoir, ou plutôt se laisser tomber, sur un coussin pour se calmer. Yuki et Kagura l’imitèrent, alors ces instants de liberté, d’insouciances et de paix n’auraient été que fictifs ? Tohru se plaça à côté de Kyo et posa sa tête sur l’épaule du garçon qui se détendit. Cela n’était pas une illusion puisqu’elle était près d’elle :
_ Mais pourtant je l’ai…je l’ai…
La vois d’Azalée se cassa, elle n’avait jamais put le dire distinctement, elle avait tué Akito Soma. Certes celui-ci risquait de mettre fin aux jours de ses amis, mais elle avait pris une vie de ses propres mains avec sans froid. Shigure tenta de la calmer :
_ Tu l’a tué Azalée, ce que Momiji veut dire c’est qu’il n’a pas disparu. Il à put s’enfuir comme nous, à l’entrée de « l’autre monde » il y à des gardes…
_ Une entrée et aucune sortie, poursuivit Ritsu, Akito les a influencé et s’est sauvé, nous nous en sommes rendu compte qu’après et nous avons eu toute les peines du monde à passer.
Momiji se pencha vers Tohru, tous deux se sourirent comme avant avec calme et chaleur. Leur amitié avait traversé la mort :
_ Merci Tohru, dit le blondinet, merci de m’avoir entendu
La jeune fille revit alors le visage crispé du garçon, sa main tendu à l’extrême, ses cris qui résonnaient en écho à ses oreilles, et elle. Elle qui avait tendu le bras et avait sentit sa main se refermé sur une brise glacée.
Tohru sourit un peu plus, consciente qu’elle ne pouvait guère faire plus…elle ne pouvait faire que des petites choses.
Haru, qui était resté debout et silencieux tout ce temps, décroisa les bras. Il avait accusé chaque annonces avec un air serein que ses cousins lui enviaient, lui, tous semblait l’effleuré. Et pourtant Haru se sentait transpercé de toutes parts, comment rester avec Rin ? Comment continuer à l’aimer sans avoir peur de la perdre à nouveau ?
_ Akito est vivant tout en étant mort ? dit il d’une voix rauque, en gros il veut finir ce qu’il avait commencé ?
Momiji retourna prés de l’assemblé fantomatique et opina sans lâcher le regard du bœuf :
_ Nous devons faire vite, déclara gravement Robin, Akito veut finir sa besogne exactement. Il veut vous tuer et rien ne peut calmer sa haine. Il est entouré d’une aura si sombre que même vous pourriez la voir. Il utilisera les esprits du lapin, du chien et du singe pour parvenir à son désir. Votre dieu est de retour et vos esprits le savent, ils sont revenus pour cela. Ils ne sont pas bêtes, ils sont ancien et savent se battre. Faitesleur confiance.
Il esquissa un sourire qui ne rassura pas vraiment les Soma, faire confiance à des esprits qui leur avaient à tous semblés maléfiques était presque inconcevable.
Robin jeta un regard vers la fenêtre et son visage pris une expression grave :
_ Je vous ne l’ai pas dit, se pressa t il, comme le petit frère de Hiro est jeune, son esprit ne s’est pas attaché à lui. Il ne craint rien.
Son ton s’assombri :
_ La nuit tombe.
Azalée sursauta et balbutia qu’elle devait partir, elle regarda Robin quelques secondes qui s’approchèrent sans un bruit prés de son oreille :
_ Je n’ai jamais été loin…
Elle rougit et se dirigea à grand pas vers la porte :
_ Azalée ! Appela Tohru
Mais la jeune fille s’en était allée dans la nuit noire. La lune se leva et les fantômes les saluèrent brièvement en leur promettant de les surveiller. Ils restèrent seuls, encore chamboulés. L’arrivé d’Azalée, le visage inchangé, le retour de leur cousins morts et l’annonce d’Akito et de la malédiction revenus…Kagura se releva la première, elle proposa d’aller avertir les autres en rentrant. Elle fit rapidement la bise à Tohru et à ses cousins, Haru partit avec elle. Le trio regarda leur ombres disparaître dans les sous bois :
_ Drôle de soirée, annonça simplement Kyo
Ils s’échangèrent un sourire timide et complice.

Tirant avec faiblesse ses draps qui semblaient résolument scotchés à elle, Azalée ouvrit les yeux pour les refermer aussitôt. Il devait être pas loin de midi et le soleil inondait sa chambre, elle se retourna en grognant et tenta de se rendormir. Son bras lui brûla pourtant et elle du se lever appliquer un gant d’eau froide pour soulager la douleur, elle avala un comprimé et s’étira en regardant par la fenêtre. La journée pouvait commencer. Faisant une rapide inspection de sa chambre elle décida d’aller s’acheter quelques trucs pour décorer, contrairement à la dernière fois ce n’était pas vraiment par choix qu’elle avait du s’en aller…et laisser sa mère seule la rendait tellement triste, qu’elle n’avait pas voulue emporter de souvenirs avec elle. Elles les retrouveraient en rentrant, un jour.
Azalée brossa soigneusement ses cheveux, elle attrapa un élastique et fit une natte, ses yeux rivé sur son reflet qui la fixait avec des yeux dur et froid, un regard qui n’était rien d’autre que le sien. Elle prit son sac en bandoulière, prit sa clé à la voler et s’en alla rapidement. Descendant les escaliers quatre à quatre elle salua son voisin du dessous d’un vague geste et d’un sourire et sortie respirer un peu d’air frais.

Marchant dans la rue d’une démarche incertaine Azalée se sentait seule. La solitude. Cela faisait quelque temps qu’elle la ressentait, comme un poids l’empêchant de s’envoler tranquillement. L’image de Robin lui revint en mémoire et elle chercha dans les passants, les enfants qui tiraient sur le bras de leur mères pour un jouet, les femmes qui discutent après s’être retrouvée, les hommes parlant du dernier match de football, les couples qui s’embrassaient…elle cherchait Robin et sentit son esprit s’embrouiller :
_ Azalée !
Un éternelle sourire aux lèvres, Tohru lui faisait de grand signes au milieu de cette foule inconnue. La française se précipita vers elle sans réfléchir :
_ Tohru, haleta t elle
Sans s’en rendre compte elle avait réellement paniqué, une larme s’était formée au coin de son œil. Elle la chassa d’un coup :
_ Tohru ! Allons boire un verre !

_ Et comment vont-ils ? Yuki et Kyo ?
Azalée se tue pour commander un sirop de citron au serveur tandis que Tohru demanda un thé. Elles attendirent, comme stoppée dans leur élan que l’homme leur dépose leurs boissons. Elles le payèrent et se retournèrent l’une vers l’autre, se penchant en avant, dégustant à deux un secret :
_ Ils ne sont pas allez à la fac, répondit Tohru, Yuki-kun à passé la matinée avec un casque sur les oreille…mais ça va mieux maintenant, par contre il à attrapé une vrai migraine. J’ai eu Kyo-kun au téléphone, ajouta t elle devant le regard d’Azalée, lui il se demande s’il ne lui faudrait pas des lunettes qui fonctionnerait en sens inverse. Mais il a renoncé et à part une migraine pour lui aussi il se porte bien.
Azalée sirota un peu de sa boisson et face au silence de son amie elle demanda :
_ Et toi tu vas bien ? Tu ne travaillais pas aujourd’hui ?
_ Si. J’y suis allée ce matin. Je vais bien juste le fait que…revoir Momiji-kun, Ritsu-san et Shigure-san à été un peu…déstabilisant pour moi. Je me suis dit que j’aurais peut être put revoir ma mère, un instant j’y ai crue…

Kyo tapa dans un caillou qui disparu dans un buisson, la route qui menait au dojo était déserte et mis à part les pierres il n’y avait personne. Il ferma un instant les yeux puis les rouvrit, il s’était un peu habitué à pouvoir apercevoir tous ce qu’il voulait à une distance inimaginable. Il avait la vue d’un rapace, un prédateur :
« Mais je ne suis pas un monstre »
Il fit glisser son regard sur son poignet résolument vide, pas de bracelet, pas monstre. Pas de monstre…pas de larmes.
L’heure tournait, aussi se décida t il à accélérer un peu. Il devrait rentrer avant Tohru, il lui restait deux petites heures pour voir son maître. Il courut.

_ Kazuma je pense que vous nous aiderez bien…
_ Sensei je vais reprendre un entraînement plus serré au karaté !
Kazuma tapota la tête de la jeune fille, il n’avait perdue aucune habitude :
_ Kagura calme toi…
_ Mais c’est vrai ! Je ne serais pas utile sin…KYO-CHAN !
Kagura alla retrouver son cousin qui lui sourit, il était resté derrière le mur et avait cru être discret :
_ Je ne pensais pas avoir fait de bruit
La jeune femme éclata de rire :
_ Je t’ai flairé Kyo-chan !
Kazuma alla retrouver son fils adoptif et s’enquit immédiatement de sa santé, de ses études…Kyo répondit avec enthousiasme jusqu'à remarquer un homme derrière son père :
_ Hatori ! Qu’est ce que tu fais là ?
Puis son regard se dirigea vers l’autre mur, lacéré de toutes part. Le vent formait autour d’Hatori de grandes lames scintillantes en guise de réponse, le sang de Kyo se glaça :
_ Et toi ? demanda simplement le médecin
_Apparemment la même chose que vous deux, avoua le garçon, Yuki m’a dit de vous demander de nous aider maître. Il à raison, ils nous faudrait reprendre un entraînement sérieux ! Moi-même j’ai du mal à rester calme alors que je peux voir très loin, c’est énervant…
Kazuma annonça qu’il était prés à les aidez, que c’était son devoir en tant que membre proche du cercle restreint des douze.

Yuki but une longue gorgée d’eau, il se refusait de remettre le gros casque sur les oreilles mais son mal de tête n’avait cessé d’augmenter. Pourtant ça allait de mieux en mieux, son cerveau faisait de lui-même le trie de ce qu’il entendait. Il enviait quand même Kyo d’avoir un pouvoir plus « simple » à contrôler.
Il alla s’asseoir lourdement dans un fauteuil, malgré lui il venait d’entendre des bruits de pas se dirigeant jusqu’ici…Kyo ? Impossible. Si il était bien allé chez Kazuma il ne devrait pas déjà être là. On sonna. Le garçon sursauta, il décida de détruire la sonnette pendant une période indéterminée en allant ouvrir la porte, son visage blêmit :
_ Yuki, soupira Machi, je m’inquiétais, tu n’étais pas à la fac aujourd’hui, j’ai hésité à appeler mais j’ai préféré venir.
La voix de la jeune fille résonna en écho autour de Yuki, elle était si proche de lui et pour la première fois il aurait voulue qu’elle s’éloigne un peu. Il s’excusa en disant qu’il était un peu souffrant, elle s’approcha. Ses bras commencèrent à glisser de chaque côté de la taille de Yuki, se dirigeant vers son dos. Son vieux réflexe refit surface et il s’éloigna d’un seul coup, la poussant en arrière. Elle le regardait avec surprise et tristesse, il avait envi de pleurer :
_ Machi je…je ne peux en ce moment…
Elle baissa les yeux, Yuki sentit son cœur se serrer :
« S’il te plait ne me le demande pas, pensa t il »
_ Faisons une pause sentimentale, lâcha t elle
Le garçon se sentit sombrer, bien sur elle avait raison il ne fallait pas qu’ils se voient :
_ Mais nous sommes amis avant tout ?
C’était plus une affirmation qu’une question mais Yuki lui répondit par un hochement de tête, ses lèvres ne souriaient pas :
_ Cette ombre…qui voilait ton regard la première fois que je t’ai vu au lycée. Cette ombre que je voyais disparaître au fur et à mesure que les jours passaient…elle est revenue.
Elle eut un sourire d’excuse, se mit sur la pointe des pieds et embrassa la joue glacée du garçon avant de s’en aller.

A SUIVRE…
..:new:..
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love_kisa
posté Jan 22 2006, 10:10 AM
Message #16


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Voila je n'avais pas posté ce chap assez tot alors je le remet ^^ c'est ma façon à moi d'acceuillir ce nouveau forum tout beau, tout neuf!
J'éspère que cela va vous plaire.
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love_kisa
posté Feb 8 2006, 10:22 PM
Message #17


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Bo nj'ai eu un gros moment de silence mais le voila, le chapitre 3 ^^

Alors petite note, j'ai remarqué un nombre de personnes assez élevé passant par là ^^; donc je vous demande:
que vous aimez ou pas ce que j'écrit merci de me led ire ^^ les critiques sont les bienvenues.
Voila en éspérant que ce chap vous plaira
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MadEye
posté Feb 8 2006, 10:45 PM
Message #18


~¤Onee-san Super Star¤~ La Magie est Pouvoir


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J'ai tout lu !!
Que de mystères !
Pourquoi Yuki est avec Machi ?
Ah..pardon..me suis trompée XD
Pourquoi Azalée est-elle revenue ? Pourquoi n'at-elle pas changé ?
Que vont faire les âmes des morts ?
Kyô va-t-il mourir (XD) ?

Quoiqu'il en soit, j'aime bien (mon oeil acéré a quand même remarqué les fautes d'orthographe XD).
Vivement la suite !!
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love_kisa
posté Feb 9 2006, 07:47 PM
Message #19


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mouai des faiutes encore et toujours >.>
pourquoi Azalée n'a pas changée? voyons si je te le disais maintenant ce serait plus une surprise XD
Pourquoi Yuki et Machi son ensemble...parce que je le veux, na :p
Kyo va t il mourir? XDDDDD c'est pas encore prévus XDDDD je garde l'idée en reserve
Que vont faire les âmes de smorts? Mon titre est pratique hein? XD et bien....en fait ils ont déjà fait 2/3 truc v_v
*chut LK*

suite...euh...en cour XD
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love_kisa
posté Feb 20 2006, 12:51 PM
Message #20


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Voila le chapitre 4 ^^ j'ai mis pas mal de temps à le faire en grande partie parce que j'écris d'autres trucs ^^;

Sinon ce doit être celui que j'aime le moin (ouioui je sais je viens juste de commencer aussi XD) Mais même en l'aimant moin, c'est toujours un plaisir d'y remettre Azalée ^^

Bonne lecture!
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